Après les ordinateurs et les smartphones, le navigateur Opera arrive sur les tablettes, et sera bientôt disponible sur iPad. Une version proche de la finalisation est en démonstration dans les allées du Mobile World Congress de Barcelone.
Cette version iPad utilise le même cœur que la version iPhone : il s'agit donc d'un Opera Mini malgré son appellation officielle « Opera pour les tablettes ». On retrouve donc la technologie de compression des pages faisant appel aux serveurs proxy d'Opera qui renvoient des pages allégées : sur des réseaux 2G ou 3G très encombrés, Opera serait jusqu'à six fois plus rapide que Safari.
Le très rapide réseau privé d'Opera, qui ne s'est pas risqué à utiliser le très encombré réseau ouvert du salon, ne permet pas de confirmer ce chiffre, mais force est de constater que les ingénieurs norvégiens ont amélioré l'intégration de leur navigateur à iOS. Cette version d'Opera est très fluide, utilise le pincer-pour-zoomer, et aligne toute son interface vers le haut, interface classique sur iPad. On retrouve le classique Speed Dial d'Opera (avec synchronisation entre les différentes versions), et un système d'onglets rappelant celui d'iCab.
Cette version pour tablette est considérée comme Opera Mini 6. À l'heure actuelle, les équipes d'Opera n'ont pas encore soumis l'application à Apple, car elles n'ont pas encore arrêté de position sur la manière de soumettre cette application. La balance penche pour le moment en une mise à jour d'Opera Mini 5 vers une application universelle qui tournerait sur iPhone comme sur iPad. La sortie est officiellement prévue pour « bientôt, le plus vite possible », mais on nous a soufflé que si Apple faisait moins de difficultés que la première fois, ce « bientôt » pourrait vouloir dire « mars ».
Cette version iPad utilise le même cœur que la version iPhone : il s'agit donc d'un Opera Mini malgré son appellation officielle « Opera pour les tablettes ». On retrouve donc la technologie de compression des pages faisant appel aux serveurs proxy d'Opera qui renvoient des pages allégées : sur des réseaux 2G ou 3G très encombrés, Opera serait jusqu'à six fois plus rapide que Safari.
Le très rapide réseau privé d'Opera, qui ne s'est pas risqué à utiliser le très encombré réseau ouvert du salon, ne permet pas de confirmer ce chiffre, mais force est de constater que les ingénieurs norvégiens ont amélioré l'intégration de leur navigateur à iOS. Cette version d'Opera est très fluide, utilise le pincer-pour-zoomer, et aligne toute son interface vers le haut, interface classique sur iPad. On retrouve le classique Speed Dial d'Opera (avec synchronisation entre les différentes versions), et un système d'onglets rappelant celui d'iCab.
Cette version pour tablette est considérée comme Opera Mini 6. À l'heure actuelle, les équipes d'Opera n'ont pas encore soumis l'application à Apple, car elles n'ont pas encore arrêté de position sur la manière de soumettre cette application. La balance penche pour le moment en une mise à jour d'Opera Mini 5 vers une application universelle qui tournerait sur iPhone comme sur iPad. La sortie est officiellement prévue pour « bientôt, le plus vite possible », mais on nous a soufflé que si Apple faisait moins de difficultés que la première fois, ce « bientôt » pourrait vouloir dire « mars ».