Le père Noël vous a apporté un peu d’argent et vous avez une folle envie de le dépenser ? Pourquoi ne pas investir dans un Icebreaker, un magnifique clavier mécanique vendu à partir 1 500 $ ? Construit sur la base d'un seul bloc d'aluminium usiné CNC, cet accessoire arbore un design inspiré du Flatiron Building de New York. Construit par Serene Industries, il dispose des touches échangeables en alu et d’un rétroéclairage RGB configurable.
Images Serene Industries
Ce clavier format 65% sans pavé numérique affiche des dimensions de 50 x 44 x 24mm. Les inscriptions sur les touches sont microperforées afin de faire passer le rétroéclairage, et on trouve également sur la partie gauche un bouton rotatif configurable. Serene Industries vante des amortisseurs en silicone pour réduire le bruit et les vibrations. Plusieurs points de montage 1/4-20" sont dispersés sur le clavier, permettant par exemple d’y fixer ou de le fixer sur un accessoire.
L’accessoire se branche en USB-C, et une version Bluetooth tenant 3 mois sur une charge est également disponible pour 1 600 $. Deux coloris sont disponibles, avec une version noire facturée 500 $ de plus. Aucun détail n’a été donné sur le poids de l’Icebreaker ou sur le type de switches utilisés. Les précommandes sont ouvertes jusqu’au 28 janvier. Attention, car il ne s'agit visiblement que d'un modèle QWERTY.
Vous avez eu la chance de recevoir un Mac pour Noël ? Quelle excellente nouvelle ! Mais saviez-vous qu'un Mac, bien que réputé pour sa sécurité, peut quand même être la cible de cyberattaques ?
Eh oui, même les Mac ne sont pas à l’abri des malwares, des tentatives de fraude, des vols de données, et autres cybermenaces qui peuvent toucher n’importe quel personne, qu’il utilise un Mac ou autre appareil...
Alors, pourquoi ne pas en profiter pour protéger votre nouveau compagnon dès maintenant ? Intego vous offre des solutions de sécurité pensées spécialement pour macOS, et en plus, vous pouvez bénéficier d'une offre spéciale de Noël sur ses logiciels, ainsi que sur un VPN puissant pour surfer en toute tranquillité.
Les solutions Intego : une sécurité sans compromis pour votre Mac
Mac Internet Security X9 : ce logiciel combine VirusBarrier X9 et NetBarrier X9 pour vous offrir une protection en temps réel contre les virus, les logiciels espions et les attaques réseau. Il veille sur vos fichiers et bloque toute tentative d'intrusion.
Mac Premium Bundle X9 : un pack complet pour sécuriser et optimiser votre Mac, comprenant :
VirusBarrier X9 : une protection avancée contre les malwares.
NetBarrier X9 : un pare-feu intelligent qui gère et sécurise vos connexions réseau.
Washing Machine : un outil pour nettoyer, organiser et améliorer les performances de votre Mac.
Personal Backup : pour sauvegarder vos données importantes et éviter toute perte imprévue.
ContentBarrier X9 : protégez vos enfants en filtrant les contenus inappropriés et surveillez leurs activités en ligne.
Intego Privacy Protection VPN : surfez en toute sécurité et confidentialité avec le VPN d’Intego. Il chiffre votre connexion et vous permet de naviguer anonymement. Que vous soyez sur un Wi-Fi public ou que vous souhaitiez masquer votre localisation, ce VPN vous garantit une confidentialité totale et l'accès à des contenus géo-restreints, où que vous soyez.
Pourquoi faire confiance à Intego pour protéger votre Mac ?
Intego a été spécialement conçu pour les appareils Apple, ce qui garantit une compatibilité parfaite avec macOS et une performance optimale, à partir de la version Mac OS X 10.13. Vous n’avez donc pas à vous soucier de la compatibilité : tout fonctionne en harmonie pour protéger votre Mac de manière efficace.
Ce qui distingue vraiment Intego, c’est sa protection proactive. L'outil détecte et bloque les menaces avant même qu'elles aient la possibilité d'affecter vos données ou de ralentir votre Mac. Grâce à cette technologie de pointe, vous pouvez être sûr que votre appareil reste protégé sans jamais sacrifier sa performance.
Intego ne se contente pas de protéger contre les malwares, c’est une solution complète qui s'attaque à tous les aspects de la sécurité. Que ce soit pour la protection contre les virus, l’optimisation de votre système, ou même le contrôle parental, Intego couvre tout pour que vous soyez tranquille sur tous les fronts.
Avec Intego Privacy Protection VPN, vous pouvez naviguer en toute sérénité. Il protège vos données des pirates et vous permet d’accéder à des contenus qui sont normalement bloqués selon votre emplacement. Si vous avez besoin de plus de confidentialité ou de débloquer du contenu, ce VPN est l'outil idéal pour garantir votre sécurité en ligne.
L’interface d’Intego est simple, intuitive et très agréable à utiliser. Peu importe votre niveau, que vous soyez débutant ou plus expérimenté, vous trouverez que chaque fonctionnalité est facilement accessible et bien pensée, rendant l’expérience encore plus agréable.
Enfin, avec plus de 25 ans d’expérience, Intego a su se faire une place parmi les références en matière de sécurité informatique. C’est une marque de confiance utilisée par des millions d’utilisateurs à travers le monde, et vous pouvez être certain qu’elle prendra soin de votre Mac et de vos données, avec expertise et fiabilité !
Offre spéciale Noël : offrez à votre Mac une sécurité maximale à prix doux
Mac Internet Security X9 : 24,99 € (au lieu de 49,99 €).
Mac Security & Performance : 26,99 € (au lieu de 69,99 €).
Mac Premium Bundle X9 : 29,99 € (au lieu de 89,99 €).
Vous pouvez également ajouter en option :
Intego Privacy Protection VPN : Seulement 1,67€/mois avec l’abonnement annuel (19,99€).
Essayez-le, sans engagement
Vous avez encore des doutes ? Aucun souci ! Intego propose une garantie de satisfaction de 30 jours. Prenez le temps de découvrir toutes les fonctionnalités de ses produits et voyez s’ils répondent à vos attentes. Si ce n’est pas le cas, vous êtes remboursé, sans tracas ni démarches compliquées.
Commencez l’année 2025 sereinement !
Offrir à votre Mac la meilleure protection possible et garantir votre vie privée, c’est une façon simple d’assurer la sécurité de vos données et de votre navigation en ligne. Avec Intego, vous avez l’esprit tranquille, chez vous ou en déplacement.
Les Mac et l'USB, c'est parfois un peu compliqué : la norme USB 3.2 Gen 2x2, qui permet des débits de 20 Gb/s (environ 2 Go/s en pratique), n'est pas compatible directement avec les Mac… mais elle fonctionne tout de même avec les Mac. Nous n'avons pas trop bu à Noël, il y a en réalité une petite astuce technique qui permet aux Mac d'en profiter.
Ce SSD atteint 2 Go/s. Mais pas directement sur Mac. Image Crucial.
Les SSD USB 3.2 à 20 Gb/s sont de plus en plus populaires, et de nombreux fabricants en proposent avec un surcoût assez faible par rapport à la version à 10 Gb/s, alors que l'USB4 ou le Thunderbolt (qui atteignent 40 Gb/s) sont très onéreux. On retrouve par exemple le Crucial X10 Pro, le Lexar SL500 ou le Kingston XS2000. Mais une fois branchés sur un Mac en direct, les SSD en question sont limités à 10 Gb/s (environ 1 Go/s en pratique).
Un dock Thunderbolt 5 et tout est réglé
La solution est simple et compliquée à la fois : un dock Thunderbolt 5. C'est Howard Oakley qui le montre : avec un dock de ce type, les SSD passent en USB 3.2. Gen 2x2 (ouf). Un Mac Thunderbolt 5 n'est pas nécessaire, le Thunderbolt est rétrocompatible, mais il y a quand même un petit problème : les docks Thunderbolt 5 sont rares et chers. Le modèle de Kensington vaut plus de 400 €, celui d'OWC n'est pas disponible.
20 Gb/s. Image Howard Oakley.
Si vous vous demandez pourquoi un dock Thunderbolt permet la norme, c'est une simple question technique. Le contrôleur USB conçu par Apple, présent dans les systèmes sur puce, ne prend pas en charge la norme. Mais le contrôleur USB Intel qui est employé dans les docks Thunderbolt 5, lui, est compatible. Quand vous branchez un périphérique sur un dock Thunderbolt, c'est en réalité le contrôleur du dock qui prend la main, et il peut être plus rapide — ou plus lent — que celui des Mac.
Le dock Thunderbolt 5 de Kensington. Image Kensington.
Dans la pratique, ce n'est donc pas nécessairement intéressant : le coût du dock Thunderbolt 5 est trop élevé. Mais la manipulation montre que macOS prend bien en charge la norme.
Alors que Google risque gros aux États-Unis pour son abus de position dominante sur le marché de la recherche en ligne, Apple a expliqué une nouvelle fois au tribunal sa position dans cette affaire. Dans une déclaration versée au dossier le 23 décembre, Eddy Cue a indiqué pourquoi « il est peu probable » qu'Apple crée un moteur de recherche dans le futur, et ce quelle que soit l’issue du procès qui vise Google.
Eddy Cue en 2017. Image Apple.
Premièrement, le développement d’un moteur de recherche coûterait des milliards de dollars et prendrait des années, justifie le patron des services. On pourrait rétorquer que ce n’est pas un souci en soi pour Apple, mais l’entreprise préfère se concentrer sur d’autres secteurs.
Deuxièmement, le marché de la recherche en ligne est en train de se transformer en raison de nouvelles technologies liées à l’intelligence artificielle. « Il est donc économiquement risqué de consacrer les énormes ressources nécessaires à la création d’un moteur de recherche », déclare Eddy Cue. Cet argument est assez spécieux : puisque le secteur est en pleine mutation, c’est justement le bon moment pour qu’Apple tente sa chance.
Quoi qu’il en soit, le vétéran a une troisième justification : « un moteur de recherche viable nécessiterait la création d'une plateforme pour vendre de la publicité ciblée, ce qui n'est pas le cœur de métier d'Apple. » Là encore, cela peut se débattre, la Pomme ne s’étant pas privée d’introduire de la pub dans l’App Store et même quelques autres services.
Précédemment, Eddy Cue avait aussi défendu l’accord passé avec Google en arguant qu’il s’agissait tout simplement du meilleur moteur de recherche. En fait, Apple n’a pas intérêt à ce que la justice américaine bouleverse l’ordre des choses : en 2022, Google lui a versé pas moins de 20 milliards de dollars pour rester le moteur de recherche par défaut de l’iPhone, de l’iPad et du Mac.
Alors que le département de la justice des États-Unis soumet des mesures aussi radicales que la vente de Chrome pour remédier à la situation, Google a récemment proposé d’assouplir son contrat avec Apple et les autres fabricants. Par exemple, la Pomme ne serait plus tenue d'utiliser Google Search par défaut sur tous ses appareils. Le jugement est prévu en août 2025.
Dans la course à l’intelligence artificielle, alors que tous les acteurs achètent des camions entiers de cartes graphiques Nvidia pour entraîner leurs modèles, Apple se tient le plus à l’écart possible de la firme au caméléon. Cette défiance ne date pas d’aujourd’hui, comme le relate The Information dans une grande enquête.
L’un des premiers contentieux entre Apple et Nvidia intervient autour de 2001. Si cette année-là Steve Jobs se réjouit publiquement d’accueillir les GPU de la firme de Santa Clara dans des Mac, en coulisses, les relations sont tendues. Au cours d’une réunion, le CEO d’Apple accuse son partenaire d’employer une technologie de Pixar (dont Jobs est alors propriétaire) de manière indue dans ses GPU. Un cadre de Nvidia rétorque que Pixar détient moins de brevets et que c’est cette boîte qui devrait être poursuivie en justice. Si le différend ne va pas plus loin, pendant le reste de la réunion, Steve Jobs ignore ostensiblement cet employé de Nvidia.
Dans les années qui suivent, les employés de Nvidia considèrent Apple comme un client trop exigeant au regard de son poids sur le marché. Le CEO Jensen Huang lui-même ne veut pas accorder beaucoup de ressources aux Mac compte tenu des faibles revenus que son entreprise en tire. Alors côté Apple, il faut faire des pieds et des mains pour obtenir des ingénieurs de Nvidia qu’ils contribuent au contrôle qualité.
Le point de rupture se produit en 2007-2008, quand les GeForce 8600M GT des MacBook Pro se révèlent gravement défaillantes. Nvidia refuse au départ d’endosser la responsabilité du défaut, tandis qu’Apple est obligé d’étendre la garantie des machines concernées. Cet épisode, qui rend Steve Jobs furieux, pousse en partie Apple à changer de fournisseur. AMD, qui a alors besoin de nouveaux clients, se montre plus flexible que son concurrent tant au niveau des tarifs que de la personnalisation des puces.
Pour ne rien arranger, au début des années 2010, Nvidia tente de faire payer à Apple et à d’autres marques des royalties pour l’utilisation de GPU dans les terminaux mobiles. Jensen Huang estime que les circuits graphiques employés dans les smartphones violent ses brevets. Nvidia perd finalement son procès contre Samsung et ne risque pas une nouvelle déconvenue face à la Pomme.
Plus récemment, c’est donc dans le domaine de l’intelligence artificielle qu’Apple se tient à distance de Nvidia. The Information raconte que quand John Giannandrea prend les rênes de l’IA à Cupertino en 2018 après un passage chez Google, l’une des premières choses demandées par ses équipes est un gros lot de GPU Nvidia. À la place, John Giannandrea leur offre des puces conçues par… Google.
