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Black Friday : Apple lance ses promotions sur l'Apple Store

Florian Innocente

vendredi 29 novembre à 06:06

AAPL

Chez Apple, la participation au Black Friday s'appelle « l'Événement shopping Apple Store ». Il a démarré aujourd'hui en France. Cette opération s'achèvera le 2 décembre (conditions générales). Elle se déroule en ligne comme dans les 20 Apple Store de l'Hexagone.

Image Apple.

Le principe de fonctionnement reste le même qu'en 2023, Apple a sélectionné plusieurs de ses produits (Beats compris) dont l'achat donne droit à une somme créditée sur une carte cadeau à utiliser plus tard (pour du matériel comme des apps ou des services tels iCloud, Apple TV+, etc.) On peut aussi la décompter immédiatement du prix de l'article acheté. Parmi les conditions il est stipulé qu'on ne peut acheter que deux produits éligibles pour chacune des catégories.

Voici les différents montants de la carte cadeau ou de la remise immédiate pour les produits retenus (ne cherchez pas les nouveaux iPad mini, Mac M4 ou iPhone 16…) :

Il peut y avoir des opportunités sur des produits qui ont été ignorés par le Black Friday comme les HomePod, AirPods Max ou les iPad Pro. Mais les réductions sont parfois plus importantes ailleurs chez Amazon ou à la Fnac.

Les meilleures promos du Black Friday : iPhone 16 à 833 €, AirPods Pro 2 à 190 €, 4 AirTags à 89 €…

Les meilleures promos du Black Friday : iPhone 16 à 833 €, AirPods Pro 2 à 190 €, 4 AirTags à 89 €…

L’AppleStore est fermé pour préparer le Black Friday

Greg Onizuka

jeudi 28 novembre à 21:48

AAPL

L’Apple Store est fermé, mais ne paniquez pas : aucun nouveau produit ne devrait sortir à la réouverture de celui-ci. Comme tous les ans, la pomme ferme sa boutique en ligne, pour marquer le coup d’envoi de Thanksgiving, et surtout, du Black Friday qui s’en suit.

Les autres n’ayant pas attendu Apple pour ça, vous pouvez dors et déjà retrouver des promos sur les AirTags, les AirPods, les HomePod mini, et bien d’autres.

Europol démonte un réseau d’IPTV à 22 millions d’abonnés

Greg Onizuka

jeudi 28 novembre à 21:45

Ailleurs

L’IPTV, le moyen de piratage qui a le vent en poupe... au point que les autorités commencent (enfin ?) à s’y intéresser sérieusement, et les premières grosses prises arrivent : Europol a ce 27 novembre effectué 11 interpellations dans 3 pays différents, comme rapporté par Numérama.

Si le Torrent était la mode dans les années 2000, l’IPTV est maintenant reine. Image nrkbeta (CC BY-SA 2.0).

Le chiffre peut paraître ridiculement bas, mais rappellera à quel point il suffit d’une toute petite équipe pour mener un business d’envergure dans le domaine du piratage d’œuvres protégées : ces 11 personnes réparties entre le Royaume-Uni, l’Italie et la Croatie étaient responsables d’un réseau diffusant de manière illégale plus de 2500 chaînes de télévision, sans compter les diffuseurs de contenu type Amazon Prime Video, Netflix ou Disney+ qui étaient bien entendu touchés.

Grâce à ces contenus attrayants, les malandrins avaient dans leurs fichiers 22 millions de clients, consommant les contenus répliqués sur 29 serveurs responsables de 270 services d’IPTV. Cette clientèle conséquente rapportait au réseau 250 millions d’euros par mois, soit un joli pactole de 3 milliards de d’euros annuels. Europol estime que cette activité causait aux diffuseurs de contenus un préjudice de 10 milliards d’euros par an... une paille !

Durant leurs 112 perquisitions, les autorités ont retrouvé 1,7 millions d’euros en espèces et en cryptomonnaie, ainsi que de la drogue et des armes. Si ce coup de filet est notable, Europol n’en a pas fini avec le piratage, loin de là : les tarifs des abonnements aux compétitions sportives ayant explosé, Canal+ et DAZN sont les premiers touchés par la diffusion sur IPTV, et ont toutes les peines du monde à rattraper les clients ayant préféré le piratage face aux tarifs des diffuseurs légaux.

Des pirates revendiquent une attaque contre SFR, qui dément fermement

Greg Onizuka

jeudi 28 novembre à 20:15

Services

Alors que nombre d’articles sortent depuis quelques semaines concernant des fuites de données ici ou ailleurs (Free, Boulanger, Cultura, Tile,... liste non exhaustive), SFR fait de nouveau parler de lui, à sa grande déconvenue, suite à l’annonce du groupe de pirates Near2tlg affirmant détenir les données de plus de 3,6 millions de clients de l’opérateur.

Le campus d’Altice, maison-mère de SFR. Image Altice.

Il semble cependant, comme le rapporte Clubic, que la réalité soit un peu différente. Dans un premier temps, ces pirates ont revendiqué l’attaque du logiciel maison SIBO360 de SFR le 24 novembre, soft permettant l’accès à la vaste base de données clients du carré rouge. Pour cela, comme c’est de coutume, le groupe de malandrins a publié un échantillon de ces fichiers, prouvant ainsi sa « bonne foi ».

Chose étonnante, le groupe ne demandait qu’une somme paraissant ridiculement basse (500 €) pour une telle quantité de fichiers, et l’opérateur de son côté contestait fortement la réalité du piratage, arguant que l’échantillon présenté provenait de l’attaque du mois de septembre dûment signalée aux autorités, comme toute entreprise sensible en a l’obligation.

Furieux de se faire ainsi contredire, nos margoulins ont joué le tout pour le tout : ils ont mis le fichier complet en ligne, gratuitement. Pourquoi ? Il semblerait que les flibustiers, en mal de reconnaissance sur un domaine où la concurrence est rude, souhaitaient frapper un grand coup afin de prouver leur sérieux. Manque de chance, ils sont encore une fois contredits par SFR : le fichier complet, après examen, semble contenir de nombreux doublons, des éléments incomplets ou corrompus, et fait plus penser à une compilation d’anciens forfaits (dans tous les sens du terme) qu’à une réelle nouvelle fuite.

Quoiqu’il en soit, les aigrefins de Near2tlg devraient refaire parler d’eux tôt ou tard : ils ont annoncé officiellement (oui, on en est là...) qu’ils avaient parmi leurs prochaines cibles la SNCF. Même si ce dernier coup d’éclat semble être un coup de bluff, il reste à espérer que le transporteur français redouble de vigilance, entre les appels à la grève et la météo capricieuse, il serait dommage de rajouter un piratage pour faire dérailler l’entreprise.

Le site pornographique Xhamster toujours accessible à cause d'une bourde liée à un sous-domaine

Pierre Dandumont

jeudi 28 novembre à 19:00

Ailleurs

Il y a quelques jours, la justice demandait le blocage de plusieurs sites pornographiques par les fournisseurs d'accès Internet, au motif que ces derniers ne respectent pas la loi en permettant à des mineurs d'y accéder un peu trop facilement. Et un des sites en question, Xhamster, n'est pas réellement bloqué par les FAI à cause d'une erreur un peu étonnante : la décision de justice demande explicitement aux fournisseurs d'accès de bloquer « fr.pornhub.com ; mrsexe.com ; iciporno.com ; tukif.com ; xnxx.com ; fr.xhamster.com ; xvideos.com ; youporn.com ; fr.redtube.com ainsi que leurs sous-domaines. »

Xhamster est accessible en France, sans vérifications particulières de votre âge.

Dans le cas de Xhamster, Pornhub et Redtube, c'est bien le sous-domaine fr.xxx.com qui est indiqué et les fournisseurs respectent scrupuleusement les demandes. Pour Xhamster, la page principale (sans sous-domaine) reste donc totalement accessible, et le site Internet a tout simplement décidé de modifier son sous-domaine francophone pour passer à un fra.xxx.com, qui n'est logiquement pas bloqué.

La justice bloque Xhamster, Tukif et d

La justice bloque Xhamster, Tukif et d'autres sites pornographiques, mais pas chez tous les FAI

Le cas des deux autres est différent, nous l'avions expliqué : comme ils sont basés dans l'Union européenne, leurs avocats arguent que les législations locales des pays européens prévalent sur la législation française. La question a été renvoyée par la Cour d’appel à la Cour de justice de l’Union européenne, ce qui empêche pour le moment le blocage.

Nos confrères de l'Informé expliquent que l'association à l'origine de la demande confirme l'impair et espère pouvoir réassigner les FAI avec de nouveaux constats d'huissier sur les bonnes URL, une modification qui pourrait être rapide en référé.