Très populaire sur Mac, sur les appareils iOS et même sur Windows, 1Password est un gestionnaire de mots de passe très complet et capable de sauvegarder les identifiants de quasiment tous les sites visités. Depuis plusieurs mois déjà, ses concepteurs préparent une quatrième mise à jour majeure sur Mac, mais la sortie de cette nouvelle version a pris plus de temps que prévu (lire : 1Password 4 : pas pour tout de suite, et pas sur OS X Lion).
Nous avons eu l’occasion de tester la version actuelle de 1Password 4. Affublée du statut de bêta, l’application fonctionne pourtant d’ores et déjà très bien et elle peut être utilisée au quotidien. Il faut dire qu'il s'agit de la vingt-deuxième bêta, signe que son développement est bien avancé. Petit tour rapide des nouveautés surtout esthétiques de cette nouvelle version qui n’est pas attendue avant l’automne. Rappelons qu’elle devrait être gratuite pour les utilisateurs de la version 3, mais réservée à OS X Mountain Lion et OS X Mavericks.
Dès le lancement, on découvre les nouveaux choix d’interface pour cette quatrième version de 1Password. Plus claire, l’interface de connexion reprend les grands traits de la version précédente, mais élimine totalement l’aspect fenêtre standard d’OS X. Il n’y a plus de barre d’outils en haut, ni de barre d’état en bas, il n’y a même pas le trio d’icônes en haut à gauche pour gérer la fenêtre.
Une fois débloqué, le logiciel adopte aussi une interface réduite. Comme plusieurs logiciels OS X avant lui, 1Password abandonne la fenêtre traditionnelle du système et son interface n’est encadrée par aucun élément de contrôle. En haut, il n’y a aucun nom de fenêtre et l’interface se termine de manière abrupte, un peu comme sur iOS. Les boutons de gestion de la fenêtre sont bien au rendez-vous, mais ils se fondent dans la barre latérale à gauche. On retrouve les favoris venus d'iOS pour mettre de côté les identifiants les plus utilisés, tandis que la synchronisation iCloud est de la partie, si vous la préférez à Dropbox.
Au-delà des changements esthétiques, le fonctionnement de l’application n’a pas fondamentalement changé. Les habitués retrouveront la présentation en trois colonnes (liste des rubriques, liste des identifiants, fiche de chaque identifiant) et la disposition générale reste la même, même si on a moins de choix pour la modifier. Les changements esthétiques sont affaire de goût, on peut au moins noter que 1Password se rapproche en partie de 1Password [4.2.2 – Français – 15,99 € – iPhone/iPad – iOS 6 – AgileBits Inc.], même si chaque système garde ses spécificités. Parmi elles, la version OS X s’intègre directement aux navigateurs et cela ne change pas avec la mise à jour.
L’extension a également reçu un coup de peinture bien mérité avec une toute nouvelle interface qui la rapproche d’un menu standard. On trouve toujours un champ de recherche en haut et on a toujours accès aux cartes de crédit ou encore au générateur de mots de passe, mais cette fois sans clic supplémentaire. Avec 1Password 4, il suffit en effet de passer le curseur pour avoir le détail et on peut même afficher ses papiers officiels ou ses licences de logiciel, même si on ne voit pas vraiment l’intérêt depuis le navigateur. Trois extensions pour Safari, Chrome et Firefox sont actuellement proposées.
Pour vous proposer d’enregistrer automatiquement un identifiant qu’il ne connaît pas, 1Password n’ajoute plus une barre dans le navigateur, mais présente un petit pop-up. En un clic, le mot de passe peut-être enregistré, mais on peut toujours modifier le nom du site ou encore remplacer un identifiant existant.
1Password 4 peut également rester actif en permanence, ce qui se traduit, à la demande, par la présence d’une icône dans la barre des menus. Le menu associé s’approche, sans surprise, de celui de l’extension navigateur. À noter que dans cette version, la fonction est nommée 1Password mini.
Deux autres nouveautés pour terminer ce tour d’horizon rapide. D’abord la présence de nouvelles catégories d’identifiants prêtes à l’emploi quand on ajoute un élément à 1Password. On peut dorénavant enregistrer son numéro de sécurité sociale, son permis de pêche ou encore des identifiants pour se connecter à un serveur, ou ceux qui permettent de se connecter à un réseau sans-fil.
Enfin, on peut partager n’importe quel élément en envoyant un mail ou un iMessage. Dans tous les cas, 1Password crée un lien qui permet à la personne qui doit recevoir l’identifiant de l’ajouter à sa version en un clic. Bien évidemment, les informations sensibles ne sont pas transmises en clair, mais sous la forme d’une longue liste de caractères incompréhensibles. Jusque-là, il fallait exporter un identifiant et envoyer le fichier d’export comme une pièce jointe, par exemple.
Nous avons eu l’occasion de tester la version actuelle de 1Password 4. Affublée du statut de bêta, l’application fonctionne pourtant d’ores et déjà très bien et elle peut être utilisée au quotidien. Il faut dire qu'il s'agit de la vingt-deuxième bêta, signe que son développement est bien avancé. Petit tour rapide des nouveautés surtout esthétiques de cette nouvelle version qui n’est pas attendue avant l’automne. Rappelons qu’elle devrait être gratuite pour les utilisateurs de la version 3, mais réservée à OS X Mountain Lion et OS X Mavericks.
Dès le lancement, on découvre les nouveaux choix d’interface pour cette quatrième version de 1Password. Plus claire, l’interface de connexion reprend les grands traits de la version précédente, mais élimine totalement l’aspect fenêtre standard d’OS X. Il n’y a plus de barre d’outils en haut, ni de barre d’état en bas, il n’y a même pas le trio d’icônes en haut à gauche pour gérer la fenêtre.
Une fois débloqué, le logiciel adopte aussi une interface réduite. Comme plusieurs logiciels OS X avant lui, 1Password abandonne la fenêtre traditionnelle du système et son interface n’est encadrée par aucun élément de contrôle. En haut, il n’y a aucun nom de fenêtre et l’interface se termine de manière abrupte, un peu comme sur iOS. Les boutons de gestion de la fenêtre sont bien au rendez-vous, mais ils se fondent dans la barre latérale à gauche. On retrouve les favoris venus d'iOS pour mettre de côté les identifiants les plus utilisés, tandis que la synchronisation iCloud est de la partie, si vous la préférez à Dropbox.
Au-delà des changements esthétiques, le fonctionnement de l’application n’a pas fondamentalement changé. Les habitués retrouveront la présentation en trois colonnes (liste des rubriques, liste des identifiants, fiche de chaque identifiant) et la disposition générale reste la même, même si on a moins de choix pour la modifier. Les changements esthétiques sont affaire de goût, on peut au moins noter que 1Password se rapproche en partie de 1Password [4.2.2 – Français – 15,99 € – iPhone/iPad – iOS 6 – AgileBits Inc.], même si chaque système garde ses spécificités. Parmi elles, la version OS X s’intègre directement aux navigateurs et cela ne change pas avec la mise à jour.
L’extension a également reçu un coup de peinture bien mérité avec une toute nouvelle interface qui la rapproche d’un menu standard. On trouve toujours un champ de recherche en haut et on a toujours accès aux cartes de crédit ou encore au générateur de mots de passe, mais cette fois sans clic supplémentaire. Avec 1Password 4, il suffit en effet de passer le curseur pour avoir le détail et on peut même afficher ses papiers officiels ou ses licences de logiciel, même si on ne voit pas vraiment l’intérêt depuis le navigateur. Trois extensions pour Safari, Chrome et Firefox sont actuellement proposées.
Pour vous proposer d’enregistrer automatiquement un identifiant qu’il ne connaît pas, 1Password n’ajoute plus une barre dans le navigateur, mais présente un petit pop-up. En un clic, le mot de passe peut-être enregistré, mais on peut toujours modifier le nom du site ou encore remplacer un identifiant existant.
1Password 4 peut également rester actif en permanence, ce qui se traduit, à la demande, par la présence d’une icône dans la barre des menus. Le menu associé s’approche, sans surprise, de celui de l’extension navigateur. À noter que dans cette version, la fonction est nommée 1Password mini.
Deux autres nouveautés pour terminer ce tour d’horizon rapide. D’abord la présence de nouvelles catégories d’identifiants prêtes à l’emploi quand on ajoute un élément à 1Password. On peut dorénavant enregistrer son numéro de sécurité sociale, son permis de pêche ou encore des identifiants pour se connecter à un serveur, ou ceux qui permettent de se connecter à un réseau sans-fil.
Enfin, on peut partager n’importe quel élément en envoyant un mail ou un iMessage. Dans tous les cas, 1Password crée un lien qui permet à la personne qui doit recevoir l’identifiant de l’ajouter à sa version en un clic. Bien évidemment, les informations sensibles ne sont pas transmises en clair, mais sous la forme d’une longue liste de caractères incompréhensibles. Jusque-là, il fallait exporter un identifiant et envoyer le fichier d’export comme une pièce jointe, par exemple.