NAS, pour network attached storage : cet acronyme vous est peut-être familier. Il désigne des systèmes de stockage qui sont de véritables petits serveurs domestiques utilisant un OS basé sur GNU/Linux et conçus pour fonctionner 24h/24 (encombrement minimum, consommation électrique réduite, etc.), accessible sur votre réseau local, ou depuis l'extérieur. Mais dans la jungle des modèles proposés, il est parfois difficile de s'y retrouver…
Comment choisir son NAS
Le choix du NAS prend en compte beaucoup de points, mais c'est l'équilibre entre ces points qui compte le plus. Il y a la capacité qui est importante mais ne sert pas à grand-chose si vous n'avez pas les services qui vont avec. Si votre NAS a le dernier système RAID mais que la communauté est inexistante et que le constructeur semble peu enclin à mettre à jour ses produits vous risquez de vite vouloir en changer… Il faut choisir un matériel et un logiciel cohérent sans privilégier l'un ou l'autre.
Lors du choix de votre NAS la marque est déterminante. Le système d'exploitation est commun et plus vous montez en gamme plus vous obtenez de services, de systèmes matériels évolués - RAID et baies multiples - et plus le prix grimpe…
Synology fait un effort particulier pour intégrer ses NAS dans un environnement dédié aux systèmes Apple. On retrouve évidemment Time Machine et un serveur iTunes, mais aussi des applications iPhone dédiées aux fonctions de partage de musique et de photos depuis le NAS. Ses systèmes offrent une bonne alliance entre un OS et un système d'administration redoutables d'efficacité et un matériel silencieux quoiqu'à la finition parfois tout juste passable.
Chez Netgear, on retrouve un matériel solide avec une interface d'administration quelque peu archaïque en Java. Cet aspect est néanmoins compensé par les services, et une communauté particulièrement active. Cette dernière arrive à donner un coup de jeune à d'anciens modèles avec des services récents et performants.
Qnap, de son côté, propose des NAS très aboutis que ce soit sur le plan matériel ou logiciel avec des fonctions avancées de sauvegarde dans le nuage, d'accès distant ainsi qu'une large gamme d'applications pour les appareils mobiles. Ils sont supportés par une communauté anglophone hyper active, mais restent un peu moins faciles à utiliser pour les débutants.
Mention spéciale pour Drobo, qui conçoit des produits un peu différents, mais souvent utilisés comme des NAS. La marque est connue pour ses disques dur de stockage « classiques » mais se démarque tout de même avec le Drobo FS, un système de sauvegarde qui utilise un système RAID propriétaire.
Configurer son NAS
Une fois votre NAS branché et mis sous tension il va falloir s'y connecter pour le configurer. Certaines marques — comme Netgear avec Raidar — vont vous proposer un assistant de détection de votre NAS sous forme de widget ou d'application dédiée. Vous avez accès au minimum à l'interface de gestion de votre NAS via votre navigateur ou pour certains — comme Drobo — à toutes les fonctionnalités de gestion de l'appareil.
Généralement, vous retrouverez dans la notice de l'appareil les identifiants par défaut pour votre première connexion à l'admin. Une fois la connexion établie, pensez bien à changer ces derniers. Vous commencerez par une configuration guidée de votre NAS qui couvrira les principaux régalages : réseau, compte administrateur, sécurité voir même activation de services.
Pour le réseau, le premier conseil est de « fixer » votre adresse IP. De cette façon en cas de problème de routeur suite à une coupure de courant ou problème d'attribution DHCP vous pourrez toujours retrouver votre appareil sur votre réseau. L'attribution des adresses IP locale via DHCP se fait de façon croissante. Si votre box a l'adresse 192.168.0.1 le premier appareil qui se connectera sera 192.168.0.2, le second 192.168.0.3 etc… Pour éviter un conflit d'IP attribuez une adresse très éloigné — 192.168.0.150 par exemple — de façon à ce qu'un appareil ne vienne pas créer un conflit d'IP avec un appareil.
Un NAS a l'avantage d'être accessible par toutes les machines de votre réseau, avantage qui peut devenir un inconvénient. Dans le milieu professionel votre nouveau stagiaire n'a pas besoin d'avoir accès à votre comptabilité ou même à votre domicile, votre enfant n'a peut être pas besoin d'avoir accès à toutes vos données, ne serait-ce que pour prévenir une perte de données malheureuse.
C'est là qu'entre en scène le système d'exploitation de votre NAS, en général basé sur GNU/Linux. De la même façon qu'avec un Linux classique ou OS X, vous pouvez paramétrer ce qu'on appelle les droits des utilisateurs. Chaque utilisateur — ou groupe d'utilisateurs — peut avoir accès à des données du NAS qui n'apparaîtront pas chez d'autres. De cette façon, sur une même machine d'un même réseau vous pouvez segmenter l'accès aux informations.
Avant de vous lancer dans la configuration de votre NAS, réfléchissez bien aux droits et permissions que vous voulez attribuer à chacun. Si vous prenez de bonnes habitudes dès le début il sera simple d'administrer votre NAS par la suite. En revanche, si c'est un peu chaotique vous risquer de vous confronter à ce qu'on appelle les conflits d'autorisations. Du jour au lendemain, vous pourrez ne plus être en mesure d'éditer certains fichiers. Il faudra alors envisager de reconstruire vos droits depuis l'administration de votre NAS voir même d'intervenir en ligne de commande via le terminal pour les plus téméraires d'entre vous.
Certes le NAS est un appareil autonome, doté d'un OS basé sur GNU/Linux et bien souvent d'un système RAID avancé et de plusieurs disques durs, mais il n'en est pas pour autant exempt de problèmes. Votre appareil peut subir des dégâts physiques de la même façon qu'un ordinateur, être volé ou bien le système peut avoir une défaillance et effacer des données. On ne le répètera jamais assez il faut sauvegarder ses données (lire : Un guide de la sauvegarde).
Tous les NAS ont une fonction de sauvegarde intégrée exploitable à partir des ports USB intégrés à l'appareil mais il y a aussi d'autres solutions. Avec Folder Watch par exemple, vous pouvez programmer une sauvegarde de votre NAS sur un disque dur externe connecté à votre Mac.
Les services de votre NAS
Les services d'un NAS sont toutes les applications qui s'executent sur votre NAS et vous donnent des fonctionalités additionnelles au simple espace de stockage représenté par l'appareil. On citera bien sûr Time Machine et un serveur iTunes qui nous intéressent le plus lorsqu'on possède des appareils Apple.
Le fonctionnement de Time Machine est en général transparent, même si le passage à Lion a cassé la compatibilité de la plupart des NAS, qui ont dû être mis à jour par leurs fabricants.
Les serveurs iTunes, eux, sont plus ou moins réussis, et les résultats sont assez… aléatoires. Cette option se contente le plus souvent de partager votre musique sur le réseau au travers d'une bibliothèque partagée dans iTunes. En cas de problème, il est assez dur d'otenir les mêmes résultats d'une marque à l'autre et diagnostiquer les problèmes est assez compliqué.
C'est là que la présence d'une communauté autour d'une marque fera la différence. Selon la marque et l'activité de la communauté derrière cette dernière vous aurez accès à un certains nombres d'applications tierses développées par les communautés d'utilisateurs. N'oubliez surtout pas ce paramètre dans votre choix. Les marques proposent certes des services livrés de base avec un appareil, mais les utilisateurs les plus avancés sont réactifs et à l'affût des mises à jour ou de nouvelles fonctions.
iOS et votre NAS
Pour peu que votre iPhone ou iPad soient connectés au réseau vous avez théoriquement accès à votre NAS. Pourquoi "théoriquement" ? N'ayant pas de Finder, il est tout de suite plus compliqué d'accéder à vos données comme si vous étiez sur votre Mac.
La plupart des administration accessibles via un navigateur sont compatibles avec Safari Mobile, et disposent d'un navigateur de fichiers basique. En général vous serez assez vite limité, particulièrement si vous pensez faire du streaming qui n'est pas vraiment optimisé dans ce cas de figure.
On peut aussi se tourner vers des applications. La plupart des constructeurs proposent leurs propres applications pour accéder à leurs services propriétaires : Synology en est l'exemple type, mais Netgear ou Qnap ne sont pas loin derrière. Il existe aussi autant d'applications indépendantes que d'usages possibles : Air Video, par exemple, permet de streamer des vidéos depuis son NAS sur son iPhone ou son iPad, sans intermédiaire.
L'accès distant
Le NAS étant relié à votre réseau, il y a fort à parier que ce dernier soit aussi relié à votre connexion internet et donc… à internet. Vos obtenez ainsi un nuage personnel dont vous avez le contrôle à 100 %.
Depuis votre domicile, ce dernier offre de très bons débits, mais à l'extérieur, la vitesse de votre connexion dépendra du débit de votre connexion ADSL, et de celle de votre point d'accès. Avec la fibre optique, les débits sont de plus en plus importants et les connexion gagnent en fiabilité. Ils permettent toutefois rarement le stream d'un film depuis une connexion extérieure mais sont largements suffisants pour faire tourner un petit service de calendrier synchronisé sur votre iPhone par exemple ou un serveur FTP pour récupérer quelques documents.
Les inconvénients
Tout n'est pas rose dans le monde des NAS. Ces derniers peuvent souvent souffrir de lenteurs souvent inhérentes au réseau ou, pour les modèles les moins chers, à leurs petits processeurs et leur peu de mémoire RAM.
Le NAS est un appareil qui tourne 24h/24 et qui est conçu comme tel : son ventilateur ne s'arrête quasiment jamais, et génère un bruit qu'il faut prendre en compte. N'oubliez pas aussi que ces appareils ont un impact certain sur votre facteur d'électricité, même s'ils se font de plus en plus économes. C'est le prix à payer pour avoir chez soi et en déplacement plusieurs To de stockage à portée de mains.
Comment choisir son NAS
Le choix du NAS prend en compte beaucoup de points, mais c'est l'équilibre entre ces points qui compte le plus. Il y a la capacité qui est importante mais ne sert pas à grand-chose si vous n'avez pas les services qui vont avec. Si votre NAS a le dernier système RAID mais que la communauté est inexistante et que le constructeur semble peu enclin à mettre à jour ses produits vous risquez de vite vouloir en changer… Il faut choisir un matériel et un logiciel cohérent sans privilégier l'un ou l'autre.
Lors du choix de votre NAS la marque est déterminante. Le système d'exploitation est commun et plus vous montez en gamme plus vous obtenez de services, de systèmes matériels évolués - RAID et baies multiples - et plus le prix grimpe…
Synology fait un effort particulier pour intégrer ses NAS dans un environnement dédié aux systèmes Apple. On retrouve évidemment Time Machine et un serveur iTunes, mais aussi des applications iPhone dédiées aux fonctions de partage de musique et de photos depuis le NAS. Ses systèmes offrent une bonne alliance entre un OS et un système d'administration redoutables d'efficacité et un matériel silencieux quoiqu'à la finition parfois tout juste passable.
Chez Netgear, on retrouve un matériel solide avec une interface d'administration quelque peu archaïque en Java. Cet aspect est néanmoins compensé par les services, et une communauté particulièrement active. Cette dernière arrive à donner un coup de jeune à d'anciens modèles avec des services récents et performants.
Qnap, de son côté, propose des NAS très aboutis que ce soit sur le plan matériel ou logiciel avec des fonctions avancées de sauvegarde dans le nuage, d'accès distant ainsi qu'une large gamme d'applications pour les appareils mobiles. Ils sont supportés par une communauté anglophone hyper active, mais restent un peu moins faciles à utiliser pour les débutants.
Mention spéciale pour Drobo, qui conçoit des produits un peu différents, mais souvent utilisés comme des NAS. La marque est connue pour ses disques dur de stockage « classiques » mais se démarque tout de même avec le Drobo FS, un système de sauvegarde qui utilise un système RAID propriétaire.
Configurer son NAS
Une fois votre NAS branché et mis sous tension il va falloir s'y connecter pour le configurer. Certaines marques — comme Netgear avec Raidar — vont vous proposer un assistant de détection de votre NAS sous forme de widget ou d'application dédiée. Vous avez accès au minimum à l'interface de gestion de votre NAS via votre navigateur ou pour certains — comme Drobo — à toutes les fonctionnalités de gestion de l'appareil.
Généralement, vous retrouverez dans la notice de l'appareil les identifiants par défaut pour votre première connexion à l'admin. Une fois la connexion établie, pensez bien à changer ces derniers. Vous commencerez par une configuration guidée de votre NAS qui couvrira les principaux régalages : réseau, compte administrateur, sécurité voir même activation de services.
Pour le réseau, le premier conseil est de « fixer » votre adresse IP. De cette façon en cas de problème de routeur suite à une coupure de courant ou problème d'attribution DHCP vous pourrez toujours retrouver votre appareil sur votre réseau. L'attribution des adresses IP locale via DHCP se fait de façon croissante. Si votre box a l'adresse 192.168.0.1 le premier appareil qui se connectera sera 192.168.0.2, le second 192.168.0.3 etc… Pour éviter un conflit d'IP attribuez une adresse très éloigné — 192.168.0.150 par exemple — de façon à ce qu'un appareil ne vienne pas créer un conflit d'IP avec un appareil.
Un NAS a l'avantage d'être accessible par toutes les machines de votre réseau, avantage qui peut devenir un inconvénient. Dans le milieu professionel votre nouveau stagiaire n'a pas besoin d'avoir accès à votre comptabilité ou même à votre domicile, votre enfant n'a peut être pas besoin d'avoir accès à toutes vos données, ne serait-ce que pour prévenir une perte de données malheureuse.
C'est là qu'entre en scène le système d'exploitation de votre NAS, en général basé sur GNU/Linux. De la même façon qu'avec un Linux classique ou OS X, vous pouvez paramétrer ce qu'on appelle les droits des utilisateurs. Chaque utilisateur — ou groupe d'utilisateurs — peut avoir accès à des données du NAS qui n'apparaîtront pas chez d'autres. De cette façon, sur une même machine d'un même réseau vous pouvez segmenter l'accès aux informations.
Avant de vous lancer dans la configuration de votre NAS, réfléchissez bien aux droits et permissions que vous voulez attribuer à chacun. Si vous prenez de bonnes habitudes dès le début il sera simple d'administrer votre NAS par la suite. En revanche, si c'est un peu chaotique vous risquer de vous confronter à ce qu'on appelle les conflits d'autorisations. Du jour au lendemain, vous pourrez ne plus être en mesure d'éditer certains fichiers. Il faudra alors envisager de reconstruire vos droits depuis l'administration de votre NAS voir même d'intervenir en ligne de commande via le terminal pour les plus téméraires d'entre vous.
Certes le NAS est un appareil autonome, doté d'un OS basé sur GNU/Linux et bien souvent d'un système RAID avancé et de plusieurs disques durs, mais il n'en est pas pour autant exempt de problèmes. Votre appareil peut subir des dégâts physiques de la même façon qu'un ordinateur, être volé ou bien le système peut avoir une défaillance et effacer des données. On ne le répètera jamais assez il faut sauvegarder ses données (lire : Un guide de la sauvegarde).
Tous les NAS ont une fonction de sauvegarde intégrée exploitable à partir des ports USB intégrés à l'appareil mais il y a aussi d'autres solutions. Avec Folder Watch par exemple, vous pouvez programmer une sauvegarde de votre NAS sur un disque dur externe connecté à votre Mac.
Les services de votre NAS
Les services d'un NAS sont toutes les applications qui s'executent sur votre NAS et vous donnent des fonctionalités additionnelles au simple espace de stockage représenté par l'appareil. On citera bien sûr Time Machine et un serveur iTunes qui nous intéressent le plus lorsqu'on possède des appareils Apple.
Le fonctionnement de Time Machine est en général transparent, même si le passage à Lion a cassé la compatibilité de la plupart des NAS, qui ont dû être mis à jour par leurs fabricants.
Les serveurs iTunes, eux, sont plus ou moins réussis, et les résultats sont assez… aléatoires. Cette option se contente le plus souvent de partager votre musique sur le réseau au travers d'une bibliothèque partagée dans iTunes. En cas de problème, il est assez dur d'otenir les mêmes résultats d'une marque à l'autre et diagnostiquer les problèmes est assez compliqué.
C'est là que la présence d'une communauté autour d'une marque fera la différence. Selon la marque et l'activité de la communauté derrière cette dernière vous aurez accès à un certains nombres d'applications tierses développées par les communautés d'utilisateurs. N'oubliez surtout pas ce paramètre dans votre choix. Les marques proposent certes des services livrés de base avec un appareil, mais les utilisateurs les plus avancés sont réactifs et à l'affût des mises à jour ou de nouvelles fonctions.
iOS et votre NAS
Pour peu que votre iPhone ou iPad soient connectés au réseau vous avez théoriquement accès à votre NAS. Pourquoi "théoriquement" ? N'ayant pas de Finder, il est tout de suite plus compliqué d'accéder à vos données comme si vous étiez sur votre Mac.
La plupart des administration accessibles via un navigateur sont compatibles avec Safari Mobile, et disposent d'un navigateur de fichiers basique. En général vous serez assez vite limité, particulièrement si vous pensez faire du streaming qui n'est pas vraiment optimisé dans ce cas de figure.
On peut aussi se tourner vers des applications. La plupart des constructeurs proposent leurs propres applications pour accéder à leurs services propriétaires : Synology en est l'exemple type, mais Netgear ou Qnap ne sont pas loin derrière. Il existe aussi autant d'applications indépendantes que d'usages possibles : Air Video, par exemple, permet de streamer des vidéos depuis son NAS sur son iPhone ou son iPad, sans intermédiaire.
L'accès distant
Le NAS étant relié à votre réseau, il y a fort à parier que ce dernier soit aussi relié à votre connexion internet et donc… à internet. Vos obtenez ainsi un nuage personnel dont vous avez le contrôle à 100 %.
Depuis votre domicile, ce dernier offre de très bons débits, mais à l'extérieur, la vitesse de votre connexion dépendra du débit de votre connexion ADSL, et de celle de votre point d'accès. Avec la fibre optique, les débits sont de plus en plus importants et les connexion gagnent en fiabilité. Ils permettent toutefois rarement le stream d'un film depuis une connexion extérieure mais sont largements suffisants pour faire tourner un petit service de calendrier synchronisé sur votre iPhone par exemple ou un serveur FTP pour récupérer quelques documents.
Les inconvénients
Tout n'est pas rose dans le monde des NAS. Ces derniers peuvent souvent souffrir de lenteurs souvent inhérentes au réseau ou, pour les modèles les moins chers, à leurs petits processeurs et leur peu de mémoire RAM.
Le NAS est un appareil qui tourne 24h/24 et qui est conçu comme tel : son ventilateur ne s'arrête quasiment jamais, et génère un bruit qu'il faut prendre en compte. N'oubliez pas aussi que ces appareils ont un impact certain sur votre facteur d'électricité, même s'ils se font de plus en plus économes. C'est le prix à payer pour avoir chez soi et en déplacement plusieurs To de stockage à portée de mains.