Le « neuvième Elements », comme le surnomme Adobe, a été présenté à la presse aujourd'hui. La grande nouveauté de la neuvième édition des produits grand public d'Adobe est l'arrivée de Premiere Elements sur Mac.
L'ensemble de la gamme Elements est donc désormais disponible sur Mac OS X. Les amateurs de Bridge seront déçus : l'interface de navigation d'Adobe disparaît sur Mac, au profit d'un organiseur qui a été porté depuis la version Windows. Fichiers, projets et catalogues sont intégralement compatibles entre les deux plateformes. Gérant photos et vidéos, il reprend l'interface à onglets que l'on retrouve par exemple dans Lightroom : organiser (avec gestion des mots-clefs et un affichage par date), retoucher, créer (à partir de modèles) et partager (avec intégration des réseaux sociaux).
Côté vidéo, Premiere Elements 9 fait donc son arrivée sur Mac. L'interface à onglets est là encore de mise : l'onglet Organiser qui est un chutier avec interface d'import intégrée, l'onglet Modifier contient thèmes et effets, l'onglet Menus du disque permet de créer des DVD ou BDR, et l'onglet Partage… permet de partager. On aime ou on n’aime pas, mais on doit avouer que le fonctionnement très linéaire semble adapté aux débutants. Contrairement à iMovie, Premiere Elements est multipiste audio/vidéo (99 pistes).
On peut utiliser des fichiers de sources diverses dans un même projets : Premiere adaptera le projet selon le format du premier fichier. Les fichiers seront down- ou upscalés en conséquence. Premiere Elements 9 est capable de nettoyer les bruits de fond d'une vidéo prise par exemple avec un téléphone ou une petite caméra HD. L'effet compresse un peu le son, mais est réellement efficace. Premiere Elements 9 embarque plus de 70 effets à l'utilité discutable, mais qui sont pour la plupart modifiables à volonté — et sont surtout appliqués en direct à la vidéo, sans temps de rendu.
De même, les menus DVD prennent par défaut le contrôle du placement des vidéos, mais il est possible de les modifier et de les enrichir, selon son degré d'expérience. Si l'on peut envoyer son film sur DVD ou sur Blu-ray (on appréciera l'humour d'Adobe sur le sujet, puisqu'on a pas fini d'attendre les lecteurs compatibles sur Mac), on peut aussi en faire une sorte de DVD web, une page Web qui s'affiche comme un menu et qui permet de lire les vidéos de manière interactive… en Flash (FLV ou MP4).
Côté image, Photoshop Elements 9 hérite de certaines fonctions de Photoshop CS5, mais s'agrémente aussi de fonctions résolument grand public. Photoshop Elements 9 intègre lui aussi une galerie de filtres à la mode, comme l'effet Pop Art ou Lomo, mais aussi des effets de photomontage. Ces effets sont présentés sous la forme de « recettes », des tutoriels intégrés à Photoshop Elements contenant directement les outils nécessaires. Si l'on est un peu plus expérimenté, on peut toujours avoir accès aux calques qui ont permis la création de l'effet ou du photomontage.
Elements 9 reprend le moteur de Photoshop CS5 pour par exemple proposer la réparation des photos ou la correction localisée avec prise en compte du contenu : on peut désormais remplir automatiquement les zones manquantes d'un panorama, plutôt que de le rogner, ou enlever des éléments parasites d'une image (une sorte d'outil clonage automatisé). Les résultats sont convaincants… tant qu'on ne zoome pas à 100 %. Enfin, Premiere comme Photoshop Elements 9 intègrent les réseaux sociaux : il est possible d'exporter ses créations sur Facebook ou Flickr.
Photoshop Elements 9 comme Premiere Elements 9 sont disponibles dès aujourd'hui pour 99 € chacun. Le même disque d'installation contient la version Windows et la version Mac. Un pack à 149 € contient les deux logiciels.
L'ensemble de la gamme Elements est donc désormais disponible sur Mac OS X. Les amateurs de Bridge seront déçus : l'interface de navigation d'Adobe disparaît sur Mac, au profit d'un organiseur qui a été porté depuis la version Windows. Fichiers, projets et catalogues sont intégralement compatibles entre les deux plateformes. Gérant photos et vidéos, il reprend l'interface à onglets que l'on retrouve par exemple dans Lightroom : organiser (avec gestion des mots-clefs et un affichage par date), retoucher, créer (à partir de modèles) et partager (avec intégration des réseaux sociaux).
Côté vidéo, Premiere Elements 9 fait donc son arrivée sur Mac. L'interface à onglets est là encore de mise : l'onglet Organiser qui est un chutier avec interface d'import intégrée, l'onglet Modifier contient thèmes et effets, l'onglet Menus du disque permet de créer des DVD ou BDR, et l'onglet Partage… permet de partager. On aime ou on n’aime pas, mais on doit avouer que le fonctionnement très linéaire semble adapté aux débutants. Contrairement à iMovie, Premiere Elements est multipiste audio/vidéo (99 pistes).
On peut utiliser des fichiers de sources diverses dans un même projets : Premiere adaptera le projet selon le format du premier fichier. Les fichiers seront down- ou upscalés en conséquence. Premiere Elements 9 est capable de nettoyer les bruits de fond d'une vidéo prise par exemple avec un téléphone ou une petite caméra HD. L'effet compresse un peu le son, mais est réellement efficace. Premiere Elements 9 embarque plus de 70 effets à l'utilité discutable, mais qui sont pour la plupart modifiables à volonté — et sont surtout appliqués en direct à la vidéo, sans temps de rendu.
De même, les menus DVD prennent par défaut le contrôle du placement des vidéos, mais il est possible de les modifier et de les enrichir, selon son degré d'expérience. Si l'on peut envoyer son film sur DVD ou sur Blu-ray (on appréciera l'humour d'Adobe sur le sujet, puisqu'on a pas fini d'attendre les lecteurs compatibles sur Mac), on peut aussi en faire une sorte de DVD web, une page Web qui s'affiche comme un menu et qui permet de lire les vidéos de manière interactive… en Flash (FLV ou MP4).
Côté image, Photoshop Elements 9 hérite de certaines fonctions de Photoshop CS5, mais s'agrémente aussi de fonctions résolument grand public. Photoshop Elements 9 intègre lui aussi une galerie de filtres à la mode, comme l'effet Pop Art ou Lomo, mais aussi des effets de photomontage. Ces effets sont présentés sous la forme de « recettes », des tutoriels intégrés à Photoshop Elements contenant directement les outils nécessaires. Si l'on est un peu plus expérimenté, on peut toujours avoir accès aux calques qui ont permis la création de l'effet ou du photomontage.
Elements 9 reprend le moteur de Photoshop CS5 pour par exemple proposer la réparation des photos ou la correction localisée avec prise en compte du contenu : on peut désormais remplir automatiquement les zones manquantes d'un panorama, plutôt que de le rogner, ou enlever des éléments parasites d'une image (une sorte d'outil clonage automatisé). Les résultats sont convaincants… tant qu'on ne zoome pas à 100 %. Enfin, Premiere comme Photoshop Elements 9 intègrent les réseaux sociaux : il est possible d'exporter ses créations sur Facebook ou Flickr.
Photoshop Elements 9 comme Premiere Elements 9 sont disponibles dès aujourd'hui pour 99 € chacun. Le même disque d'installation contient la version Windows et la version Mac. Un pack à 149 € contient les deux logiciels.