La montée en puissance du Mac se poursuit à un rythme de sénateur. Depuis le passage à Intel, Apple a pris l'habitude de croître au mois trois fois plus vite que la moyenne. Les premiers chiffres de Gartner et d'IDC pour le second trimestre poussent une nouvelle fois à l'optimisme.
C'est aux États-Unis que la progression d'Apple est la plus impressionnante. Gartner confère à Apple pour le second trimestre une part de marché de 8,5 %, soit 2,1 points de plus que lors de la même période l'année dernière. En plein ralentissement économique, les ventes de PC n'ont crû que de 4,2 % outre-Atlantique. La firme de Cupertino se paie le luxe d'avoir une croissance pratiquement dix fois supérieure (+ 38 %).
Les chiffres d'IDC sont un peu moins élevés, mais la courbe est identique : 7,8 % de part de marché au trimestre dernier contre 6,2 % à la même époque en 2007. Selon cet institut, Apple est le quatrième constructeur informatique aux États-Unis, juste derrière Acer qui est le seul fabricant à afficher une plus forte croissance si l'on exclut ses acquisitions de Gateway et de Packard Bell. Mais pour Gartner, Apple occupe bel et bien la troisième place.
Mais les pas-de-géant d'Apple aux États-Unis se transforment en pas de nain au niveau mondial. Toujours selon IDC, le Mac ne pèse que 3,3 % du marché de la micro-informatique, un chiffre en progression de 0,4 point par rapport au deuxième trimestre 2007, mais en léger retrait par rapport au trimestre précédent. La société californienne est encore loin du top 5 dont la dernière place est occupée par Toshiba avec une part de marché de 4,4 %. Elle aurait durant cette période vendue un peu plus de 2,3 millions de Macintosh.
À l'international, Apple croît plus rapidement que la moyenne, mais le ratio est moins impressionnant qu'aux États-Unis. Avec une croissance de 30 % environ, les ventes de Macintosh progressent à un rythme deux fois supérieures par rapport au reste de l'industrie.
Si ces gains peuvent paraître modestes à certains, ils pèsent lourd dans les comptes. Au premier trimestre 2008, la division Mac pesait 3,5 milliards de dollars, contre 1,5 milliard de dollars trois ans plus tôt…
C'est aux États-Unis que la progression d'Apple est la plus impressionnante. Gartner confère à Apple pour le second trimestre une part de marché de 8,5 %, soit 2,1 points de plus que lors de la même période l'année dernière. En plein ralentissement économique, les ventes de PC n'ont crû que de 4,2 % outre-Atlantique. La firme de Cupertino se paie le luxe d'avoir une croissance pratiquement dix fois supérieure (+ 38 %).
Les chiffres d'IDC sont un peu moins élevés, mais la courbe est identique : 7,8 % de part de marché au trimestre dernier contre 6,2 % à la même époque en 2007. Selon cet institut, Apple est le quatrième constructeur informatique aux États-Unis, juste derrière Acer qui est le seul fabricant à afficher une plus forte croissance si l'on exclut ses acquisitions de Gateway et de Packard Bell. Mais pour Gartner, Apple occupe bel et bien la troisième place.
Mais les pas-de-géant d'Apple aux États-Unis se transforment en pas de nain au niveau mondial. Toujours selon IDC, le Mac ne pèse que 3,3 % du marché de la micro-informatique, un chiffre en progression de 0,4 point par rapport au deuxième trimestre 2007, mais en léger retrait par rapport au trimestre précédent. La société californienne est encore loin du top 5 dont la dernière place est occupée par Toshiba avec une part de marché de 4,4 %. Elle aurait durant cette période vendue un peu plus de 2,3 millions de Macintosh.
À l'international, Apple croît plus rapidement que la moyenne, mais le ratio est moins impressionnant qu'aux États-Unis. Avec une croissance de 30 % environ, les ventes de Macintosh progressent à un rythme deux fois supérieures par rapport au reste de l'industrie.
Si ces gains peuvent paraître modestes à certains, ils pèsent lourd dans les comptes. Au premier trimestre 2008, la division Mac pesait 3,5 milliards de dollars, contre 1,5 milliard de dollars trois ans plus tôt…