1 million d'iPhone ont été vendus depuis son lancement le 29 juin. Une annonce d'Apple qui arrive fort à propos juste après la polémique sur la chute de prix du téléphone. Steve Jobs dresse au passage un parallèle avec l'iPod qui avait dû attendre deux ans avant d'afficher pareil résultat. Si ce n'est que l'iPod n'avait été disponible que sur Mac à ses débuts et sur un marché du MP3 encore balbutiant…
Avec 1 million d'iPhone dans la nature, Apple est en avance d'une quinzaine de jours sur ses prévisions publiques de vente. Même décalage chez des analystes qui, au milieu de l'été, prédisaient un volume de 800 000 iPhone pour la fin septembre. La courbe des ventes sur ces 74 jours serait toutefois riche d'enseignements. Car durant le premier week-end de sa disponibilité, l'iPhone s'était déjà vendu à 270 000 unités, soit pas moins de 1/5 du total actuel en seulement quelques heures !
Le challenge maintenant pour Apple est de tenir son objectif de 10 millions d'iPhone d'ici la fin 2008. Elle devrait être aidée en cela par la récente baisse de prix de 200 €, l'arrivée du téléphone sur le continent européen dans quelques semaines puis en Asie l'année prochaine.
Pour la disponibilité de l'iPhone en France, c'est Orange qui s'est exprimé en dernier par la voix de son directeur exécutif. Il déclarait à la fin juillet que rien n'était encore signé, même si des discussions avaient bien lieu avec la Pomme.
Enfin en périphérie de l'actualité de l'iPhone, l'hebdomadaire BusinessWEEK affirme aujourd'hui qu'Apple pèserait le pour et le contre pour se porter candidate à des enchères (aux États-Unis) visant à céder une bande de fréquence radio utilisable pour des transmissions sans fil à grande vitesse. Apple deviendrait ainsi un opérateur, avec une liberté plus grande sur les services et les prix qu'elle pourrait offrir à ses clients.
Une fois maître d'un espace de communication, l'éventail des possibles est large pour une société qui entend rééditer l'exploit de l'iPod avec son iPhone et propose déjà des services de téléchargement de contenus (iTunes) et de synchronisation et hébergement de données (.mac). Cependant, d'autres comme Google sont aussi sur les rangs et, si elle l'emportait, Apple serait légalement tenue d'ouvrir son réseau à tout périphérique de tierce partie. Et l'on connaît le goût de la firme de Steve Jobs pour le partage…
Avec 1 million d'iPhone dans la nature, Apple est en avance d'une quinzaine de jours sur ses prévisions publiques de vente. Même décalage chez des analystes qui, au milieu de l'été, prédisaient un volume de 800 000 iPhone pour la fin septembre. La courbe des ventes sur ces 74 jours serait toutefois riche d'enseignements. Car durant le premier week-end de sa disponibilité, l'iPhone s'était déjà vendu à 270 000 unités, soit pas moins de 1/5 du total actuel en seulement quelques heures !
Le challenge maintenant pour Apple est de tenir son objectif de 10 millions d'iPhone d'ici la fin 2008. Elle devrait être aidée en cela par la récente baisse de prix de 200 €, l'arrivée du téléphone sur le continent européen dans quelques semaines puis en Asie l'année prochaine.
Pour la disponibilité de l'iPhone en France, c'est Orange qui s'est exprimé en dernier par la voix de son directeur exécutif. Il déclarait à la fin juillet que rien n'était encore signé, même si des discussions avaient bien lieu avec la Pomme.
Enfin en périphérie de l'actualité de l'iPhone, l'hebdomadaire BusinessWEEK affirme aujourd'hui qu'Apple pèserait le pour et le contre pour se porter candidate à des enchères (aux États-Unis) visant à céder une bande de fréquence radio utilisable pour des transmissions sans fil à grande vitesse. Apple deviendrait ainsi un opérateur, avec une liberté plus grande sur les services et les prix qu'elle pourrait offrir à ses clients.
Une fois maître d'un espace de communication, l'éventail des possibles est large pour une société qui entend rééditer l'exploit de l'iPod avec son iPhone et propose déjà des services de téléchargement de contenus (iTunes) et de synchronisation et hébergement de données (.mac). Cependant, d'autres comme Google sont aussi sur les rangs et, si elle l'emportait, Apple serait légalement tenue d'ouvrir son réseau à tout périphérique de tierce partie. Et l'on connaît le goût de la firme de Steve Jobs pour le partage…