Apple a finalement déposé ce vendredi ses résultats auprès de la SEC, l'autorité américaine des marchés. Ceux-ci incluent des réajustements de certaines stock-options attribuées entre 1997 et 2002. Pour régler le problème de manière définitive d'un point de vue comptable, la firme de Cupertino a inscrit dans ses comptes un total additionnel de dépenses de 84 millions de dollars après impôts. L'impact sur de la période 1998-2003 s'élève à 63 millions de dollars après impôts.
Dans le même temps, Apple a fait connaître les conclusions de l'enquête indépendante menée par un comité spécial de son conseil d'administration sur ses pratiques comptables. Il s'avère que Steve Jobs était au courant de certaines attributions favorables de stock-options - il en a également recommandé - mais qu'il en ignorait les implications comptables. D'autre part, Steve Jobs n'en a jamais financièrement bénéficié. Le conseil d'administration d'Apple a tenu à réaffirmer sa "pleine confiance en Steve Jobs et en l'équipe de direction". Tout comme dans son rapport préliminaire publié début octobre, les conclusions mettent en cause deux anciens cadres qui auraient joué un rôle clé dans cette affaire. Apple a refusé de livrer leurs noms, mais les regards se tournent vers l'ancien Directeur financier, Fred Anderson, et l'ancienne Secrétaire générale Nancy Heinen qui ont quitté Cupertino ces derniers mois.
Les investisseurs ont accueilli ces nouvelles avec soulagement. Le titre gagne actuellement plus de 4 %. Pour Gene Munster du cabinet d'études Piper Jaffray, le message fort délivré par le conseil d'administration et les éclaircissements comptables fournis par Apple doivent permettre à la SEC de classer cette histoire. Espérons-le…
Dans le même temps, Apple a fait connaître les conclusions de l'enquête indépendante menée par un comité spécial de son conseil d'administration sur ses pratiques comptables. Il s'avère que Steve Jobs était au courant de certaines attributions favorables de stock-options - il en a également recommandé - mais qu'il en ignorait les implications comptables. D'autre part, Steve Jobs n'en a jamais financièrement bénéficié. Le conseil d'administration d'Apple a tenu à réaffirmer sa "pleine confiance en Steve Jobs et en l'équipe de direction". Tout comme dans son rapport préliminaire publié début octobre, les conclusions mettent en cause deux anciens cadres qui auraient joué un rôle clé dans cette affaire. Apple a refusé de livrer leurs noms, mais les regards se tournent vers l'ancien Directeur financier, Fred Anderson, et l'ancienne Secrétaire générale Nancy Heinen qui ont quitté Cupertino ces derniers mois.
Les investisseurs ont accueilli ces nouvelles avec soulagement. Le titre gagne actuellement plus de 4 %. Pour Gene Munster du cabinet d'études Piper Jaffray, le message fort délivré par le conseil d'administration et les éclaircissements comptables fournis par Apple doivent permettre à la SEC de classer cette histoire. Espérons-le…