Longtemps, Steve Jobs a voulu lancer un service d'accès à Internet. À la dernière minute, ou presque (deux semaines avant le lancement officiel), l'enfant terrible de la Silicon Valley fit marche arrière estimant que le marché n'était pas rentable. D'un projet de FAI, le patron d'Apple passa à celui d'iPod, comme nous l'apprend cet article paru ce week-end dans le New York Times. Très riche en enseignements sur le caractère du leader charismatique d'Apple, son auteur revient sur la genèse d'iPod. Contrairement au Macintosh dont la gestation fut longue et douloureuse, le lecteur MP3 d'Apple fut conçu et commercialisé en à peine six mois. Un record dans l'histoire de la Pomme !
Créé par une équipe de 35 designers, l'objet jalousé par toutes les sociétés high-tech aurait bien pu finir dans les joutes de Real Networks. L'instigateur du projet, Tony Fadell, qui a par le passé travaillé pour General Magic et Philips, a dans un premier temps monté sa propre société qui avait pour ambition de réaliser des appareils électroniques grand public. Malheureusement, Fadell ne trouva pas de sources de financement et dut se résoudre à chercher un employeur. Pendant six semaines, l'homme travailla pour RealNetworks qui désirait concevoir un appareil basé sur son logiciel RealPlayer. Néanmoins, le courant ne passa pas avec le P.D.G., Rob Glaser, et Tony Fadell fut dans la foulée embauché par Apple en tant que Responsable d'iPod et d'autres projets spéciaux. La suite, tout le monde la connaît....
Le journaliste du New York Times estime qu'Apple ne va pas s'arrêter en si bonne route. Au lieu de permettre au Macintosh de regagner des parts de marché, iPod va pousser la Pomme à sortir d'autres appareils numériques. Au vu des récents efforts de Cupertino, le journal estime que la Pomme a sans doute un bon coup à jouer dans le marché de la téléphonie. La voix sur IP est un marché en pleine croissance et Apple a tous les ingrédients pour commercialiser un produit aussi excitant qu’iPod. Alors, à quand un iPhone ? Pourquoi pas dès la WWDC !
Créé par une équipe de 35 designers, l'objet jalousé par toutes les sociétés high-tech aurait bien pu finir dans les joutes de Real Networks. L'instigateur du projet, Tony Fadell, qui a par le passé travaillé pour General Magic et Philips, a dans un premier temps monté sa propre société qui avait pour ambition de réaliser des appareils électroniques grand public. Malheureusement, Fadell ne trouva pas de sources de financement et dut se résoudre à chercher un employeur. Pendant six semaines, l'homme travailla pour RealNetworks qui désirait concevoir un appareil basé sur son logiciel RealPlayer. Néanmoins, le courant ne passa pas avec le P.D.G., Rob Glaser, et Tony Fadell fut dans la foulée embauché par Apple en tant que Responsable d'iPod et d'autres projets spéciaux. La suite, tout le monde la connaît....
Le journaliste du New York Times estime qu'Apple ne va pas s'arrêter en si bonne route. Au lieu de permettre au Macintosh de regagner des parts de marché, iPod va pousser la Pomme à sortir d'autres appareils numériques. Au vu des récents efforts de Cupertino, le journal estime que la Pomme a sans doute un bon coup à jouer dans le marché de la téléphonie. La voix sur IP est un marché en pleine croissance et Apple a tous les ingrédients pour commercialiser un produit aussi excitant qu’iPod. Alors, à quand un iPhone ? Pourquoi pas dès la WWDC !