Google permet désormais aux utilisateurs de YouTube de piocher dans une bibliothèque de 150 morceaux de musiques libres de droits pour sonoriser leurs vidéos.
Cette bibliothèque audio, présentée pour la première fois lors de la VidCon début août, comporte des bandes sonores instrumentales de divers types et diverses qualités, du Messie d’Haendel, par exemple, à des morceaux de hip-hop en passant par d'autres styles. Cette fonction devrait faciliter la mise en ligne de vidéos de chats ou de vacances en évitant que Google mette en sourdine le MP3 de sa bibliothèque personnelle dont on s'était servi comme fond sonore.

La bibliothèque peut être utilisée gratuitement non seulement pour les vidéos postées sur YouTube, mais pas uniquement puisque Google parle de « toute finalité créative ». Les morceaux sont en MP3 malheureusement, mais au moins échantillonnés à 320 kb/s. On procède à des recherches par humeur, genre, durée et instrument.
Avec 150 morceaux pour le moment, elle fait pâle figure comparée à l'offre AudioSwap qui propose 150 000 morceaux utilisables gratuitement comme fond musical pour les vidéos postées YouTube. Cependant, cette offre de 150 000 bandes sonores est beaucoup plus contraignante que la nouvelle bibliothèque audio YouTube, car il n’est pas possible de télécharger ou de re-mixer ces morceaux. D’autre part, si elle ne compte actuellement que 150 pièces, Google a laissé entendre que sa bibliothèque continuerait à s’enrichir progressivement de nouveaux morceaux.
Au final, la bibliothèque audio reste une offre intéressante, notamment à cause de la notoriété que va lui donner Google et de la facilité à y rechercher des morceaux. Mais ce n’est pas la seule. Il existe d’autres offres, comme la section Audio de l’Internet Archive, les sites proposant des morceaux de musique Creative Commons dont les auteurs acceptent de céder certains de leurs droits librement et de centaines d’autres sites.
Enfin, on trouve même quelques artistes plus grand public, Moby en restant d’ailleurs l’archétype à cause de la volumineuse bibliothèque qu’il propose, qui acceptent parfois de mettre certains de leurs morceaux gracieusement à la disposition d’artistes.
Cette bibliothèque audio, présentée pour la première fois lors de la VidCon début août, comporte des bandes sonores instrumentales de divers types et diverses qualités, du Messie d’Haendel, par exemple, à des morceaux de hip-hop en passant par d'autres styles. Cette fonction devrait faciliter la mise en ligne de vidéos de chats ou de vacances en évitant que Google mette en sourdine le MP3 de sa bibliothèque personnelle dont on s'était servi comme fond sonore.

La bibliothèque peut être utilisée gratuitement non seulement pour les vidéos postées sur YouTube, mais pas uniquement puisque Google parle de « toute finalité créative ». Les morceaux sont en MP3 malheureusement, mais au moins échantillonnés à 320 kb/s. On procède à des recherches par humeur, genre, durée et instrument.
Un morceau de la bibliothèque audio YouTube
Avec 150 morceaux pour le moment, elle fait pâle figure comparée à l'offre AudioSwap qui propose 150 000 morceaux utilisables gratuitement comme fond musical pour les vidéos postées YouTube. Cependant, cette offre de 150 000 bandes sonores est beaucoup plus contraignante que la nouvelle bibliothèque audio YouTube, car il n’est pas possible de télécharger ou de re-mixer ces morceaux. D’autre part, si elle ne compte actuellement que 150 pièces, Google a laissé entendre que sa bibliothèque continuerait à s’enrichir progressivement de nouveaux morceaux.
Au final, la bibliothèque audio reste une offre intéressante, notamment à cause de la notoriété que va lui donner Google et de la facilité à y rechercher des morceaux. Mais ce n’est pas la seule. Il existe d’autres offres, comme la section Audio de l’Internet Archive, les sites proposant des morceaux de musique Creative Commons dont les auteurs acceptent de céder certains de leurs droits librement et de centaines d’autres sites.
Enfin, on trouve même quelques artistes plus grand public, Moby en restant d’ailleurs l’archétype à cause de la volumineuse bibliothèque qu’il propose, qui acceptent parfois de mettre certains de leurs morceaux gracieusement à la disposition d’artistes.