NeoOffice [2013 – Français – 8,99 € – OS X 10.8 – 392 Mo – Planamesa Inc.] est désormais proposé dans le Mac App Store. La suite bureautique dérivée d’OpenOffice et adaptée uniquement au système d’Apple y est proposée dans une version spécifique numérotée 2013 et payante. En apparence, les fonctions sont les mêmes, mais cette page du site officiel liste les différences qui ne sont pas si anodines que cela.
L’exigence de respect du sandboxing a forcé les développeurs du projet NeoOffice à quelques ajustements, ou plus exactement à des retraits. Toutes les fonctions basées sur Java ou Python sont absentes de cette version et c’est la gestion des bases des données de la suite bureautique qui est la plus touchée. Les rapports de Base ne peuvent pas être ouverts, tandis que les bases au format HSQLDB ne sont pas gérées. Les extensions qui utilisent ces langages ne fonctionneront pas mieux et plusieurs outils de base ont également été retirés, sans que l’on sache lesquels.
NeoOffice 2013 est également plus regardant sur les fichiers ouverts et vous verrez plus souvent la boîte de dialogue par défaut pour pouvoir ouvrir tous vos documents. Le navigateur de médias qui permet d’intégrer une photo ou encore un morceau depuis iTunes a été complètement retiré. L’éditeur a aussi intégré dix-neuf langues, dont le français, mais on ne peut plus ajouter un pack de langue après installation.
En contrepartie de tous ces changements, installer NeoOffice n’a sans doute jamais été aussi simple et les mises à jour se feront via le Mac App Store, avec tous les autres logiciels et les composants système. Nonobstant les différences signalées précédemment, cette version intègre les nouveautés de la 3.3 et notamment la gestion des écrans Retina, le mode plein écran et le versionnement de Lion.
Qu’on la prenne sur le Mac App Store ou sur le site de l’éditeur, la suite bureautique est payante, mais le fonctionnement est différent. Sur le site, il faut effectuer un don d’au moins 8 € pour pouvoir télécharger NeoOffice pendant un an et l’installer sur autant de Mac que désiré. Sur le Mac App Store, on effectue un paiement unique de 9 €, mais les mises à jour payantes n’étant pas possibles, on devrait bénéficier de toutes les versions à venir. Sauf si l’éditeur décide de créer un nouveau logiciel à chaque nouvelle version…
L’exigence de respect du sandboxing a forcé les développeurs du projet NeoOffice à quelques ajustements, ou plus exactement à des retraits. Toutes les fonctions basées sur Java ou Python sont absentes de cette version et c’est la gestion des bases des données de la suite bureautique qui est la plus touchée. Les rapports de Base ne peuvent pas être ouverts, tandis que les bases au format HSQLDB ne sont pas gérées. Les extensions qui utilisent ces langages ne fonctionneront pas mieux et plusieurs outils de base ont également été retirés, sans que l’on sache lesquels.
NeoOffice 2013 est également plus regardant sur les fichiers ouverts et vous verrez plus souvent la boîte de dialogue par défaut pour pouvoir ouvrir tous vos documents. Le navigateur de médias qui permet d’intégrer une photo ou encore un morceau depuis iTunes a été complètement retiré. L’éditeur a aussi intégré dix-neuf langues, dont le français, mais on ne peut plus ajouter un pack de langue après installation.
En contrepartie de tous ces changements, installer NeoOffice n’a sans doute jamais été aussi simple et les mises à jour se feront via le Mac App Store, avec tous les autres logiciels et les composants système. Nonobstant les différences signalées précédemment, cette version intègre les nouveautés de la 3.3 et notamment la gestion des écrans Retina, le mode plein écran et le versionnement de Lion.
Qu’on la prenne sur le Mac App Store ou sur le site de l’éditeur, la suite bureautique est payante, mais le fonctionnement est différent. Sur le site, il faut effectuer un don d’au moins 8 € pour pouvoir télécharger NeoOffice pendant un an et l’installer sur autant de Mac que désiré. Sur le Mac App Store, on effectue un paiement unique de 9 €, mais les mises à jour payantes n’étant pas possibles, on devrait bénéficier de toutes les versions à venir. Sauf si l’éditeur décide de créer un nouveau logiciel à chaque nouvelle version…