Intel lancera sa nouvelle gamme de processeurs, surnommée Haswell, le 4 juin prochain. D’ici là, on en apprend un petit peu plus sur les composants de cette génération, et en particulier sur la puce graphique qui accompagne désormais les processeurs du fondeur. Même si cette puce intégrée a fait des progrès cette dernière année, elle n’est toujours pas au niveau des puces dédiées quand il s’agit de jeux ou d’applications gourmandes. Cela pourrait toutefois changer avec cette génération.
Les nouvelles puces graphiques Iris 5100 et Iris Pro 5200 seront jusqu’à trois fois plus puissantes que la génération actuelle selon Intel. Dans un ultrabook où la puissance doit s’accorder avec un impératif de consommation limitée, on devrait pouvoir doubler les performances… mais dans certains cas seulement. Comme le montre ce graphique, les performances doublées ne sont atteintes qu’avec la puce la plus puissante et aussi celle qui consomme le plus (TDP de 28 W).
Pour préserver l’autonomie, les constructeurs devront plutôt opter pour le modèle beaucoup moins gourmand sur le plan électrique (TDP de 15 W), mais qui ne propose qu’une amélioration légère sur les performances graphiques. Dans ce dernier cas, Haswell ne fonctionnera pas avec une nouvelle puce Iris, mais avec l’Intel HD Graphics 5000 qui est apparemment une mise à jour moins importante. Apple devrait utiliser des puces de ce type dans ses futurs MacBook Air, il ne faudra ainsi pas s’attendre à des performances graphiques bien meilleures, même si elles devraient être en progrès.
Pour ses MacBook Pro, Apple pourrait toutefois adopter les nouvelles générations de processeurs d’Intel plus puissants, mais qui consomment un petit peu plus (un TDP autour de 45 W). Sur ces modèles, le fondeur promet des performances en hausse, avec des puces graphiques plus de deux fois plus puissantes que les générations actuelles. De quoi, peut-être, soulager le MacBook Pro Retina 13 pouces qui repose entièrement sur une puce graphique Intel qui a du mal à gérer correctement son écran Retina.
Dans les ordinateurs fixes où la consommation énergétique n’est pas un problème aussi central, la nouvelle puce d’Intel devrait faire vraiment mieux. Le constructeur promet ainsi des performances triplées pour le futur Core i7 haut de gamme, de quoi peut-être rendre superflu l’achat d’une carte graphique dédiée. Apple pourrait utiliser ce processeur dans ses futurs iMac, même si une puce graphique dédiée est systématiquement présente dans les modèles haut de gamme.
Les nouvelles puces graphiques Iris 5100 et Iris Pro 5200 seront jusqu’à trois fois plus puissantes que la génération actuelle selon Intel. Dans un ultrabook où la puissance doit s’accorder avec un impératif de consommation limitée, on devrait pouvoir doubler les performances… mais dans certains cas seulement. Comme le montre ce graphique, les performances doublées ne sont atteintes qu’avec la puce la plus puissante et aussi celle qui consomme le plus (TDP de 28 W).
Pour préserver l’autonomie, les constructeurs devront plutôt opter pour le modèle beaucoup moins gourmand sur le plan électrique (TDP de 15 W), mais qui ne propose qu’une amélioration légère sur les performances graphiques. Dans ce dernier cas, Haswell ne fonctionnera pas avec une nouvelle puce Iris, mais avec l’Intel HD Graphics 5000 qui est apparemment une mise à jour moins importante. Apple devrait utiliser des puces de ce type dans ses futurs MacBook Air, il ne faudra ainsi pas s’attendre à des performances graphiques bien meilleures, même si elles devraient être en progrès.
Pour ses MacBook Pro, Apple pourrait toutefois adopter les nouvelles générations de processeurs d’Intel plus puissants, mais qui consomment un petit peu plus (un TDP autour de 45 W). Sur ces modèles, le fondeur promet des performances en hausse, avec des puces graphiques plus de deux fois plus puissantes que les générations actuelles. De quoi, peut-être, soulager le MacBook Pro Retina 13 pouces qui repose entièrement sur une puce graphique Intel qui a du mal à gérer correctement son écran Retina.
Dans les ordinateurs fixes où la consommation énergétique n’est pas un problème aussi central, la nouvelle puce d’Intel devrait faire vraiment mieux. Le constructeur promet ainsi des performances triplées pour le futur Core i7 haut de gamme, de quoi peut-être rendre superflu l’achat d’une carte graphique dédiée. Apple pourrait utiliser ce processeur dans ses futurs iMac, même si une puce graphique dédiée est systématiquement présente dans les modèles haut de gamme.