Intel a annoncé un chiffre d'affaires trimestriel de 12,6 milliards de dollars pour 2 milliards de résultat net. Comparé à la même période de 2012, c'est une baisse de 2,3% pour le CA et surtout de 25% sur les bénéfices.
L'activité PC reste celle qui pèse le plus lourd dans le chiffre d'affaires d'Intel, avec 63,5%. Cela se traduit par 8 milliards de CA, et là aussi une baisse de 6,6% sur ces trois derniers mois et de -6% sur un an.
Que ce soit les portables ou les ordinateurs de bureau, aucun n'est venu épauler l'autre, le premier a vu les ventes de processeurs baisser de 6% sur un an et de 7% pour les desktops.
L'activité data center est aussi en baisse trimestrielle (-6,9%) mais en hausse de 7,5% comparé à l'année dernière. Elle ne pèse cependant "que" 20% dans le chiffre d'affaires du fondeur. A noter aussi la marge qui est passée de 62% en avril 2012 à 56% ce trimestre-ci (-10,71%).
Pour le trimestre à venir les résultats estimés par Intel sont également inférieurs à ceux de 2012 : 12,9 milliards de CA (à 500 millions près) contre 13,5 milliards l'année dernière et une marge d'à peu près 58% contre 64% en 2012. Sur l'année 2013, Intel s'attend à une croissance à un seul (petit) chiffre.
Dans le cadre de cette annonce de résultats, le PDG d'Intel, Paul Otellini, a déclaré que l'on verrait arriver, ces six prochains mois, des portables à écrans tactiles, dotés de Windows 8 et des nouveaux processeurs Atom "Bay Trail", à des prix démarrant à 200$. Des tarifs de l'ordre de ce que l'on a plutôt l'habitude de rencontrer pour les tablettes. Mais il n'a pas été question des caractéristiques techniques de ces petits portables peu chers qui rappellent les Chromebooks de Google.
Quant à leurs aînés, les Ultrabooks, basés sur la prochaine famille de puces Core ix "Haswell", attendue ces toutes prochaines semaines, Intel table sur pas mal de modèles tactiles positionnés dès 500$ ou 600$. Soit les prix dont rêvait initialement le fondeur pour cette catégorie de portables ultralégers.
Otellini a également concédé que la courbe d'apprentissage de Windows 8 était plus ardue que celle nécessaire pour aller d'XP à Windows 7. Mais en abaissant le prix des portables dotés de dalles tactiles - Ottlini les juge encore chers - il y a l'espoir de séduire de nouveaux clients.
L'activité PC reste celle qui pèse le plus lourd dans le chiffre d'affaires d'Intel, avec 63,5%. Cela se traduit par 8 milliards de CA, et là aussi une baisse de 6,6% sur ces trois derniers mois et de -6% sur un an.
Que ce soit les portables ou les ordinateurs de bureau, aucun n'est venu épauler l'autre, le premier a vu les ventes de processeurs baisser de 6% sur un an et de 7% pour les desktops.
L'activité data center est aussi en baisse trimestrielle (-6,9%) mais en hausse de 7,5% comparé à l'année dernière. Elle ne pèse cependant "que" 20% dans le chiffre d'affaires du fondeur. A noter aussi la marge qui est passée de 62% en avril 2012 à 56% ce trimestre-ci (-10,71%).
Pour le trimestre à venir les résultats estimés par Intel sont également inférieurs à ceux de 2012 : 12,9 milliards de CA (à 500 millions près) contre 13,5 milliards l'année dernière et une marge d'à peu près 58% contre 64% en 2012. Sur l'année 2013, Intel s'attend à une croissance à un seul (petit) chiffre.
Dans le cadre de cette annonce de résultats, le PDG d'Intel, Paul Otellini, a déclaré que l'on verrait arriver, ces six prochains mois, des portables à écrans tactiles, dotés de Windows 8 et des nouveaux processeurs Atom "Bay Trail", à des prix démarrant à 200$. Des tarifs de l'ordre de ce que l'on a plutôt l'habitude de rencontrer pour les tablettes. Mais il n'a pas été question des caractéristiques techniques de ces petits portables peu chers qui rappellent les Chromebooks de Google.
Quant à leurs aînés, les Ultrabooks, basés sur la prochaine famille de puces Core ix "Haswell", attendue ces toutes prochaines semaines, Intel table sur pas mal de modèles tactiles positionnés dès 500$ ou 600$. Soit les prix dont rêvait initialement le fondeur pour cette catégorie de portables ultralégers.
Otellini a également concédé que la courbe d'apprentissage de Windows 8 était plus ardue que celle nécessaire pour aller d'XP à Windows 7. Mais en abaissant le prix des portables dotés de dalles tactiles - Ottlini les juge encore chers - il y a l'espoir de séduire de nouveaux clients.