Highland [1.0 / Démo – US – 17,99 € (promo à 8,99 €) – OS X 10.7 – Quote-Unquote Apps] est un nouveau logiciel à destination des scénaristes. Plutôt que de reposer sur le format du très répandu Final Draft, ce logiciel exploite Fountain, un langage créé spécifiquement pour écrire des scénarios et qui est largement inspiré par le Markdown. Ce langage s’apprend très vite et permet de gagner du temps lors de l’écriture d’un script, mais il a surtout l’avantage de reposer sur du texte brut facilement exploitable sans logiciel dédié.
Outre l’écriture, le volet important dans Highland est sa fonction d’import et d’export. Le scénario peut facilement être exporté en PDF, mais aussi au FDX, le format de Final Draft. Mieux, on peut importer un scénario au format PDF et le convertir immédiatement en texte, avant éventuellement de l’exporter en FDX, comme l’explique bien cette vidéo humoristique imaginée par les développeurs du logiciel. Cette fonction est censée être totalement transparente, mais l’application propose d’envoyer un rapport après un import pour faire part de vos remarques sur le résultat.
Côté écriture, les concepteurs de Highland mettent en avant les deux polices conçues exclusivement pour leur logiciel : on peut ainsi utiliser Courier Prime en sortie (format PDF) et Highland Sans pour l’édition, deux polices légèrement différentes de celles que l’on trouve partout. La première peut être téléchargée gratuitement à cette adresse pour les amateurs.
Highland ne propose pas de fonctions pour éviter de tout taper, comme des raccourcis pour les noms des personnages par exemple, un point que regrette le blog Urbanbike. Côté écriture, c’est en effet assez basique, mais le langage Foutain est plaisant à utiliser. L’éditeur propose de toute manière une version de démonstration pour tester avant achat. Gratuite, cette version est inutilisable en production, notamment à cause d’un export largement bridé (watermark et lettres manquantes).
Vendu 17,99 € en temps normal, on peut acheter Highland à 7,99 € jusqu’à la fin du mois. Une bonne affaire qui peut s’avérer rentable uniquement pour sa fonction d’import des documents PDF. Le prix reste vraiment bas à côté d’un Final Draft vendu 249 $ et qui ne peut pas importer de PDF… OS X Lion est nécessaire pour faire tourner ce logiciel qui n’est pas traduit en français.
Outre l’écriture, le volet important dans Highland est sa fonction d’import et d’export. Le scénario peut facilement être exporté en PDF, mais aussi au FDX, le format de Final Draft. Mieux, on peut importer un scénario au format PDF et le convertir immédiatement en texte, avant éventuellement de l’exporter en FDX, comme l’explique bien cette vidéo humoristique imaginée par les développeurs du logiciel. Cette fonction est censée être totalement transparente, mais l’application propose d’envoyer un rapport après un import pour faire part de vos remarques sur le résultat.
Côté écriture, les concepteurs de Highland mettent en avant les deux polices conçues exclusivement pour leur logiciel : on peut ainsi utiliser Courier Prime en sortie (format PDF) et Highland Sans pour l’édition, deux polices légèrement différentes de celles que l’on trouve partout. La première peut être téléchargée gratuitement à cette adresse pour les amateurs.
Highland ne propose pas de fonctions pour éviter de tout taper, comme des raccourcis pour les noms des personnages par exemple, un point que regrette le blog Urbanbike. Côté écriture, c’est en effet assez basique, mais le langage Foutain est plaisant à utiliser. L’éditeur propose de toute manière une version de démonstration pour tester avant achat. Gratuite, cette version est inutilisable en production, notamment à cause d’un export largement bridé (watermark et lettres manquantes).
Vendu 17,99 € en temps normal, on peut acheter Highland à 7,99 € jusqu’à la fin du mois. Une bonne affaire qui peut s’avérer rentable uniquement pour sa fonction d’import des documents PDF. Le prix reste vraiment bas à côté d’un Final Draft vendu 249 $ et qui ne peut pas importer de PDF… OS X Lion est nécessaire pour faire tourner ce logiciel qui n’est pas traduit en français.