Microsoft a répondu à quelques-unes des critiques récurrentes formulées dans les premiers tests de sa dernière tablette équipée de Windows 8 (lire La Surface avec Windows 8 Pro brille par ses compromis).
Sur Reddit, Panos Panay, le général manager pour Surface et ses collaborateurs ont apporté le point de vue de Microsoft sur les questions de la batterie, de l'affichage, de l'espace de stockage.
Les testeurs se sont tous émus de l'autonomie de cette tablette, évaluée à 4h30/5h30. Une durée acceptable si on la compare à un ultraportable, mais décevante face aux tablettes ARM qui tiennent aisément le double.
Pour Microsoft, sur ce point, cette Surface est à comparer à un portable, puissances et performances comprises, mais bénéficiant du format d'une tablette.
Une comparaison est faite, avec le MacBook Air, avec qui la Surface ferait jeu égal en terme d'autonomie sous réserve d'avoir une batterie de dimensions identiques. Toutefois, elle a été choisie d'un volume inférieur afin de contenir l'épaisseur de la Surface « Bien que ces compromis représentent autant des challenges que des opportunités, nous pensons qu'il s'agit d'un produit épatant au vu des performances et de l'expérience que vous en retirerez ».
En somme, malgré une insistance à parler de tablettes sans compromis, dans les faits, la Surface ne peut offrir à égalité le meilleur d'un Ultrabook et celui d'une tablette. Le marketing se confronte à la réalité et ses évidences.
D'autres critiques portaient sur l'espace de stockage réellement disponible. Panos Panay explique que Microsoft a voulu proposer « toute la puissance de Windows 8 », la possibilité d'installer facilement Office et rassurer le client par la présence de l'image de restauration du système en cas de problème. En somme, tout ce qu'offre un PC avec ce que cela implique en volume de fichiers.
Résultat, la version finale de Surface laisse 30 Go à l'utilisateur sur le modèle 64 Go et 90 Go sur le 128 Go. Pour avoir plus, Microsoft pointe les 7 Go de Skydrive offerts et les ports microSDXC et USB 3.0 pour ajouter du Go.
L'éditeur concède qu'il y a des compromis inévitables à faire si l'on veut donner le plus d'espace de stockage au client tout en lui proposant tous les outils d'emblée « Idéalement vous n'aurez jamais besoin de l'image de restauration, c'est toutefois un choix que nous préférons laisser à l'utilisateur plutôt qu'il se trouve dans la situation d'en avoir besoin et d'être obligé de la créer ».
En sachant que cette version 128 Go est vendue 1000$, sans son clavier (difficile à écarter avec ce modèle) facturé entre 120$ et 130$.
Panos Panay a également fait savoir qu'une mise à jour à terme corrigerait le problème d'affichage qui fait que branché à un écran externe, la Surface ne peut proposer deux définitions adaptées à chacun. En attendant, il donne toute une série de réglages pour certains cas de figure selon l'application que l'on utilise avec une double configuration-écran.
La Surface Pro dispose aussi de davantage de contacts sur son connecteur. Aujourd'hui il reçoit les claviers, mais il est en mesure d'alimenter des périphériques plus puissants… qui vont arriver. Mais sans détails sur leur nature. Enfin, l'équipe Surface a confirmé que rien n'empêchait d'installer d'autres OS que Windows sur cette version de la Surface.
Sur Reddit, Panos Panay, le général manager pour Surface et ses collaborateurs ont apporté le point de vue de Microsoft sur les questions de la batterie, de l'affichage, de l'espace de stockage.
Les testeurs se sont tous émus de l'autonomie de cette tablette, évaluée à 4h30/5h30. Une durée acceptable si on la compare à un ultraportable, mais décevante face aux tablettes ARM qui tiennent aisément le double.
Pour Microsoft, sur ce point, cette Surface est à comparer à un portable, puissances et performances comprises, mais bénéficiant du format d'une tablette.
« Le produit a été conçu pour tirer pleinement profit de Windows 8, couplé avec un processeur Intel Ivy Bridge (Core i5 à 1,7 GHz, ndlr). Nous avons créé un produit qui ne fait aucun compromis sur la vitesse et les performances. Avec lui nous voulions avoir le meilleur portable de sa catégorie, tout en le proposant dans le format d'une tablette. »
Une comparaison est faite, avec le MacBook Air, avec qui la Surface ferait jeu égal en terme d'autonomie sous réserve d'avoir une batterie de dimensions identiques. Toutefois, elle a été choisie d'un volume inférieur afin de contenir l'épaisseur de la Surface « Bien que ces compromis représentent autant des challenges que des opportunités, nous pensons qu'il s'agit d'un produit épatant au vu des performances et de l'expérience que vous en retirerez ».
En somme, malgré une insistance à parler de tablettes sans compromis, dans les faits, la Surface ne peut offrir à égalité le meilleur d'un Ultrabook et celui d'une tablette. Le marketing se confronte à la réalité et ses évidences.
D'autres critiques portaient sur l'espace de stockage réellement disponible. Panos Panay explique que Microsoft a voulu proposer « toute la puissance de Windows 8 », la possibilité d'installer facilement Office et rassurer le client par la présence de l'image de restauration du système en cas de problème. En somme, tout ce qu'offre un PC avec ce que cela implique en volume de fichiers.
Résultat, la version finale de Surface laisse 30 Go à l'utilisateur sur le modèle 64 Go et 90 Go sur le 128 Go. Pour avoir plus, Microsoft pointe les 7 Go de Skydrive offerts et les ports microSDXC et USB 3.0 pour ajouter du Go.
L'éditeur concède qu'il y a des compromis inévitables à faire si l'on veut donner le plus d'espace de stockage au client tout en lui proposant tous les outils d'emblée « Idéalement vous n'aurez jamais besoin de l'image de restauration, c'est toutefois un choix que nous préférons laisser à l'utilisateur plutôt qu'il se trouve dans la situation d'en avoir besoin et d'être obligé de la créer ».
« Nous avons décidé de sortir un modèle Pro de 64 Go car il propose assez de capacité de stockage pour plusieurs grosses applications de productivité, des jeux, etc, qui généralement pèsent quelques Go. Vous avez aussi la possibilité d'étendre cette capacité en cas de besoin. Si vous devez transporter plus de contenus personnels et les stocker en local, notre version 128 Go est la meilleure option. »
En sachant que cette version 128 Go est vendue 1000$, sans son clavier (difficile à écarter avec ce modèle) facturé entre 120$ et 130$.
Panos Panay a également fait savoir qu'une mise à jour à terme corrigerait le problème d'affichage qui fait que branché à un écran externe, la Surface ne peut proposer deux définitions adaptées à chacun. En attendant, il donne toute une série de réglages pour certains cas de figure selon l'application que l'on utilise avec une double configuration-écran.
La Surface Pro dispose aussi de davantage de contacts sur son connecteur. Aujourd'hui il reçoit les claviers, mais il est en mesure d'alimenter des périphériques plus puissants… qui vont arriver. Mais sans détails sur leur nature. Enfin, l'équipe Surface a confirmé que rien n'empêchait d'installer d'autres OS que Windows sur cette version de la Surface.