Le nouvel iMac 21,5" était disponible aujourd'hui dans l'un des deux Apple Store lyonnais. L'occasion de repartir du centre de la Part-Dieu délesté de 1 549€ avec la version la plus puissante de cette famille, le Core i5 à 2,9 GHz (sans options).
Sachez que les Apple Premium Resellers sont aussi livrés, mais les quantités sont limitées. L'un d'entre eux nous disait cette semaine s'apprêter à recevoir des lots deux fois inférieurs à la normale.
Le seul iMac dont nous disposons chez MacG est un 27" de la génération précédente. Difficile de comparer stricto sensu les deux machines, mais on peut apprécier l'évolution du design. On a tous vu les photos ou vidéos sur le Net mais comme de coutume avec les tout nouveaux produits d'Apple, c'est une chose de les voir à distance, c'en est une autre de les toucher.
Avec une épaisseur de 5 mm à son point le plus mince, ce design ne manque pas d'étonner. La différence est flagrante avec les précédentes lignes qui soudain paraissent bien épaisses. Si l'on peut dresser un parallèle, on prendra l'exemple du premier iPad comparé à l'iPad 2. On avait cette même impression qu'un coup de rabot très franc avait été passé sur toute la surface pour affiner fortement la tablette.
C'est d'ailleurs amusant lorsqu'on veut utiliser le bouton de mise en marche situé à l'arrière. Une main habituée à l'épaisseur des anciens iMac se retrouve à pincer de l'air, en cherchant le contact avec le châssis.
Cela se traduit aussi sur cet iMac par un poids quasiment divisé par deux (5,68 kg au lieu de 9,3 kg sur l'ancien 21,5") et une profondeur moindre jusqu'à l'arrière du pied (17,5 cm contre 18,85 cm). Les hauteurs et largeurs sont quasi sinon identiques entre les deux générations.
De 2,31 cm, les bords de l'iMac sont passés à 5 mm — mais il y a une astuce. Si l'on prend en compte la distance entre l'écran et la naissance du pied, l'iMac est presque aussi épais qu'avant : il est beaucoup plus bombé, presque rondouillard. Cette finesse accrue permet de gagner un peu en profondeur totale, mais là encore pas tant que ça : l'ancien iMac avait besoin d'un dégagement de 18,8 cm, le nouveau de 17,5 cm.
D'aucuns resteront probablement fâchés avec cette évolution qui condamne le SuperDrive au profit d'un dessin dont on ne profite pas franchement. L'iMac n'est pas un portable (quoique) et on travaille en face de son écran, pas de profil ou derrière. Le passage du cathodique au LCD marquait un changement d'époque, ici c'est plus discutable. Encore que… si l'on considère la suppression du lecteur optique sur cette machine utilisée autant par des pros que des particuliers, c'est aussi à un changement d'époque qu'invite Apple qui continue à bannir les supports physiques. Les opinions resteront donc tranchées.
Toutefois ce gain de légèreté a aussi un avantage. Les connecteurs restant à l'arrière et étant rejoints par le lecteur de cartes SD qui n'a plus de place pour figurer sur le côté, c'est aussi un monobloc nettement plus commode à tourner que l'on manipule pour brancher ou débrancher ses câbles.
En parlant de l'écran, il faut souligner les progrès réalisés sur sa capacité à réfléchir ce qui l'entoure, un autre point de contentieux entre les utilisateurs d'iMac. Il y a toujours des reflets, mais ils sont considérablement atténués, donnant du crédit à l'affirmation d'Apple d'une baisse de 75%. Sur notre 27" on voit assez bien le visage de l'utilisateur sur des éléments d'interface assez sombres. Sur le 21,5", le visage se fait halo, il est nettement moins marqué. Ce n'est certainement pas du zéro reflet, mais la différence est absolument flagrante.
On le constate aussi avec les reflets des spots de notre plafond. Sur le 27" les points lumineux sont doublement réfléchis par la vitre puis par la dalle derrière, produisant deux spots pour le prix d'un. Sur le nouvel iMac, un seul point lumineux apparaît grâce au procédé de lamination de l'écran qui supprime la fine lame d'air de 2 mm entre la dalle et la vitre de protection (une vitre qui paraît collée tant il est difficile de la retirer avec deux ventouses, là où sur le 27" elle se détache sans gros efforts).
On ne manquera pas de revenir sur cette machine lors de tests de performance, même si l'on n'attend pas de grosses surprises. Sa génération de processeurs est déjà entrée dans les MacBook Pro et Mac mini déjà testés, sauf dans cette fréquence plus élevée. Un test est aussi prévu sur le même iMac pris avec l'option Fusion Drive (il est en attente de livraison).
On a simplement passé QuickBench et observé des débits un peu inférieurs à ceux du dernier Mac mini. Celui-ci utilisait comme cet iMac un disque dur Hitachi 2,5" de 5 400 t/min (5K1000 référence HTS541010A9E662) qui affichait une moyenne de 95 Mo/s en lecture et presque 94 Mo en écriture séquentielle sur le petit ordinateur. L'iMac est un peu en dessous avec respectivement 92,7 Mo/s et 91,2 Mo/s.
Il faut enfin souligner le silence de fonctionnement alors qu'un crépitement était perceptible sur le mini. Cet iMac nous a également paru tout à fait silencieux. À confirmer lors d'une utilisation plus poussée.
Sachez que les Apple Premium Resellers sont aussi livrés, mais les quantités sont limitées. L'un d'entre eux nous disait cette semaine s'apprêter à recevoir des lots deux fois inférieurs à la normale.
Le seul iMac dont nous disposons chez MacG est un 27" de la génération précédente. Difficile de comparer stricto sensu les deux machines, mais on peut apprécier l'évolution du design. On a tous vu les photos ou vidéos sur le Net mais comme de coutume avec les tout nouveaux produits d'Apple, c'est une chose de les voir à distance, c'en est une autre de les toucher.
Avec une épaisseur de 5 mm à son point le plus mince, ce design ne manque pas d'étonner. La différence est flagrante avec les précédentes lignes qui soudain paraissent bien épaisses. Si l'on peut dresser un parallèle, on prendra l'exemple du premier iPad comparé à l'iPad 2. On avait cette même impression qu'un coup de rabot très franc avait été passé sur toute la surface pour affiner fortement la tablette.
C'est d'ailleurs amusant lorsqu'on veut utiliser le bouton de mise en marche situé à l'arrière. Une main habituée à l'épaisseur des anciens iMac se retrouve à pincer de l'air, en cherchant le contact avec le châssis.
Cela se traduit aussi sur cet iMac par un poids quasiment divisé par deux (5,68 kg au lieu de 9,3 kg sur l'ancien 21,5") et une profondeur moindre jusqu'à l'arrière du pied (17,5 cm contre 18,85 cm). Les hauteurs et largeurs sont quasi sinon identiques entre les deux générations.
De 2,31 cm, les bords de l'iMac sont passés à 5 mm — mais il y a une astuce. Si l'on prend en compte la distance entre l'écran et la naissance du pied, l'iMac est presque aussi épais qu'avant : il est beaucoup plus bombé, presque rondouillard. Cette finesse accrue permet de gagner un peu en profondeur totale, mais là encore pas tant que ça : l'ancien iMac avait besoin d'un dégagement de 18,8 cm, le nouveau de 17,5 cm.
D'aucuns resteront probablement fâchés avec cette évolution qui condamne le SuperDrive au profit d'un dessin dont on ne profite pas franchement. L'iMac n'est pas un portable (quoique) et on travaille en face de son écran, pas de profil ou derrière. Le passage du cathodique au LCD marquait un changement d'époque, ici c'est plus discutable. Encore que… si l'on considère la suppression du lecteur optique sur cette machine utilisée autant par des pros que des particuliers, c'est aussi à un changement d'époque qu'invite Apple qui continue à bannir les supports physiques. Les opinions resteront donc tranchées.
Toutefois ce gain de légèreté a aussi un avantage. Les connecteurs restant à l'arrière et étant rejoints par le lecteur de cartes SD qui n'a plus de place pour figurer sur le côté, c'est aussi un monobloc nettement plus commode à tourner que l'on manipule pour brancher ou débrancher ses câbles.
En parlant de l'écran, il faut souligner les progrès réalisés sur sa capacité à réfléchir ce qui l'entoure, un autre point de contentieux entre les utilisateurs d'iMac. Il y a toujours des reflets, mais ils sont considérablement atténués, donnant du crédit à l'affirmation d'Apple d'une baisse de 75%. Sur notre 27" on voit assez bien le visage de l'utilisateur sur des éléments d'interface assez sombres. Sur le 21,5", le visage se fait halo, il est nettement moins marqué. Ce n'est certainement pas du zéro reflet, mais la différence est absolument flagrante.
On le constate aussi avec les reflets des spots de notre plafond. Sur le 27" les points lumineux sont doublement réfléchis par la vitre puis par la dalle derrière, produisant deux spots pour le prix d'un. Sur le nouvel iMac, un seul point lumineux apparaît grâce au procédé de lamination de l'écran qui supprime la fine lame d'air de 2 mm entre la dalle et la vitre de protection (une vitre qui paraît collée tant il est difficile de la retirer avec deux ventouses, là où sur le 27" elle se détache sans gros efforts).
On ne manquera pas de revenir sur cette machine lors de tests de performance, même si l'on n'attend pas de grosses surprises. Sa génération de processeurs est déjà entrée dans les MacBook Pro et Mac mini déjà testés, sauf dans cette fréquence plus élevée. Un test est aussi prévu sur le même iMac pris avec l'option Fusion Drive (il est en attente de livraison).
On a simplement passé QuickBench et observé des débits un peu inférieurs à ceux du dernier Mac mini. Celui-ci utilisait comme cet iMac un disque dur Hitachi 2,5" de 5 400 t/min (5K1000 référence HTS541010A9E662) qui affichait une moyenne de 95 Mo/s en lecture et presque 94 Mo en écriture séquentielle sur le petit ordinateur. L'iMac est un peu en dessous avec respectivement 92,7 Mo/s et 91,2 Mo/s.
Il faut enfin souligner le silence de fonctionnement alors qu'un crépitement était perceptible sur le mini. Cet iMac nous a également paru tout à fait silencieux. À confirmer lors d'une utilisation plus poussée.