Le fabricant chinois Lenovo, qui pointe à la deuxième place des constructeurs de PC dans le monde et qui marque plus que jamais à la culotte HP (lire : IDC : un trimestre plus mitigé pour les ventes d'Apple), va s'implanter aux États-Unis l'année prochaine.
L'usine d'assemblage qui ouvrira en Caroline du Nord comptera une centaine d'employés. L'investissement réalisé par Lenovo se compte en une poignée de millions de dollars seulement, mais il fait partie d'une stratégie plus importante qui sera développée dans le futur.
David Schmoock, le patron de Lenovo en Amérique du Nord, motive cette implantation par le fait qu'il s'agit d' « un élément différenciateur auquel les gens attachent de la valeur. » Et de faire un parallèle avec la place de plus en plus importante de l'écologie dans l'industrie, « alors que ce n'est pas forcément l'option la moins chère pour beaucoup d'entreprises, mais vous le faites car vos clients et vos partenaires apprécient que vous soyez écolo. »
Tandis que le coût du travail est plus élevé outre Atlantique qu'en Chine, le constructeur justifie également sa décision par la possibilité de répondre plus facilement aux attentes du marché américain.
Il n'en fallait pas plus pour qu'un analyste de Forbes se demande si Lenovo ne devrait pas acheter HP. Selon lui, une telle acquisition entrerait parfaitement dans la stratégie d'expansion de l'entreprise asiatique. Mais une opération de cette ampleur rencontrerait certainement de nombreuses embûches comme l'aval des autorités étatiques.
Le mois dernier, le CEO de Lenovo, Yang Yuanqing, n'a pas caché ses ambitions quant au marché chinois : « Nous voulons gagner sur le marché des smartphones et même sur le marché des TV. » Le constructeur, qui avait acheté la division ordinateurs personnels d'IBM en 2005, ne se limite en effet plus au PC et investit les secteurs les plus porteurs, comme les smartphones et les tablettes. Pour Yang Yuanqing, sa marque est capable de faire mieux qu'Apple et Samsung en Chine. Un vœu déjà réalisé en ce qui concerne la firme de Cupertino (lire : L'iPhone perd du terrain en Chine)...
L'usine d'assemblage qui ouvrira en Caroline du Nord comptera une centaine d'employés. L'investissement réalisé par Lenovo se compte en une poignée de millions de dollars seulement, mais il fait partie d'une stratégie plus importante qui sera développée dans le futur.
David Schmoock, le patron de Lenovo en Amérique du Nord, motive cette implantation par le fait qu'il s'agit d' « un élément différenciateur auquel les gens attachent de la valeur. » Et de faire un parallèle avec la place de plus en plus importante de l'écologie dans l'industrie, « alors que ce n'est pas forcément l'option la moins chère pour beaucoup d'entreprises, mais vous le faites car vos clients et vos partenaires apprécient que vous soyez écolo. »
Tandis que le coût du travail est plus élevé outre Atlantique qu'en Chine, le constructeur justifie également sa décision par la possibilité de répondre plus facilement aux attentes du marché américain.
Il n'en fallait pas plus pour qu'un analyste de Forbes se demande si Lenovo ne devrait pas acheter HP. Selon lui, une telle acquisition entrerait parfaitement dans la stratégie d'expansion de l'entreprise asiatique. Mais une opération de cette ampleur rencontrerait certainement de nombreuses embûches comme l'aval des autorités étatiques.
Le mois dernier, le CEO de Lenovo, Yang Yuanqing, n'a pas caché ses ambitions quant au marché chinois : « Nous voulons gagner sur le marché des smartphones et même sur le marché des TV. » Le constructeur, qui avait acheté la division ordinateurs personnels d'IBM en 2005, ne se limite en effet plus au PC et investit les secteurs les plus porteurs, comme les smartphones et les tablettes. Pour Yang Yuanqing, sa marque est capable de faire mieux qu'Apple et Samsung en Chine. Un vœu déjà réalisé en ce qui concerne la firme de Cupertino (lire : L'iPhone perd du terrain en Chine)...