qGIS est un puissant SIG libre, gratuit et disponible sur toutes les plateformes. On avait déjà eu l'occasion de l'évoquer dans un tutoriel expliquant comme l'installer sur Mac OS X (lire : Astuce : installer Qgis sur Mac OS X). L'application a été mise à jour et la version 1.8 est désormais disponible en version finale, y compris pour Mac OS X. Comme toujours, la liste des nouveautés est longue, trop pour être exhaustif.
Parmi les nouveautés les plus importantes, un gestionnaire de données a été ajouté à qGIS. La plupart des SIG concurrents proposent eux aussi un catalogue de données et cet ajout sera indéniablement utile pour tous ceux qui utilisent l'application. Ce catalogue est accompagné du DB Manager, un gestionnaire de base de données qui ne remplacera pas un gestionnaire complet, mais qui a l'avantage d'être intégré et il propose plusieurs fonctions, dont un exécuteur de requêtes SQL.
La partie cartographie a également été améliorée avec des symboles supplémentaires, une extension analyse de terrain ou encore un outil qui permet de dessiner des ellipses à placer ensuite sur ses cartes. qGIS sait aussi importer un projet dans le projet actuel, on peut grouper plusieurs couches par un clic droit et l'interface gagne en personnalisation. On peut définir précisément ce que l'on veut afficher et ainsi simplifier une interface assez chargée par défaut.
En vrac, d'autres nouveautés de cette version : des échelles prédéfinies pour faciliter la navigation, la possibilité de copier le style d'une couche, une nouvelle fenêtre de sélection du système de coordonnées, un tout nouveau dépôt pour les extensions Python qui enrichissent qGIS ou encore la définition de l'ordre de la légende différent de l'ordre d'affichage pour les couches. Ou encore une nouvelle interface de suivi GPS, un outil pour créer des cartes de chaleur, les étiquettes peuvent se baser sur des expressions, de nouveaux outils pour manipuler les vecteurs, le support WFS, etc.
Comme d'habitude, cette version est à récupérer sur le site de KyngChaos. On y trouvera également les dépendances indispensables à la bonne installation de qGIS. Au passage, cette version n'est compatible désormais qu'avec les Mac 64 bits et avec Snow Leopard ou OS X Lion.
Parmi les nouveautés les plus importantes, un gestionnaire de données a été ajouté à qGIS. La plupart des SIG concurrents proposent eux aussi un catalogue de données et cet ajout sera indéniablement utile pour tous ceux qui utilisent l'application. Ce catalogue est accompagné du DB Manager, un gestionnaire de base de données qui ne remplacera pas un gestionnaire complet, mais qui a l'avantage d'être intégré et il propose plusieurs fonctions, dont un exécuteur de requêtes SQL.
La partie cartographie a également été améliorée avec des symboles supplémentaires, une extension analyse de terrain ou encore un outil qui permet de dessiner des ellipses à placer ensuite sur ses cartes. qGIS sait aussi importer un projet dans le projet actuel, on peut grouper plusieurs couches par un clic droit et l'interface gagne en personnalisation. On peut définir précisément ce que l'on veut afficher et ainsi simplifier une interface assez chargée par défaut.
En vrac, d'autres nouveautés de cette version : des échelles prédéfinies pour faciliter la navigation, la possibilité de copier le style d'une couche, une nouvelle fenêtre de sélection du système de coordonnées, un tout nouveau dépôt pour les extensions Python qui enrichissent qGIS ou encore la définition de l'ordre de la légende différent de l'ordre d'affichage pour les couches. Ou encore une nouvelle interface de suivi GPS, un outil pour créer des cartes de chaleur, les étiquettes peuvent se baser sur des expressions, de nouveaux outils pour manipuler les vecteurs, le support WFS, etc.
Comme d'habitude, cette version est à récupérer sur le site de KyngChaos. On y trouvera également les dépendances indispensables à la bonne installation de qGIS. Au passage, cette version n'est compatible désormais qu'avec les Mac 64 bits et avec Snow Leopard ou OS X Lion.