Les ventes de PC sont toujours en berne en France. D'après GFK, elles ont chuté de 15 % entre janvier et mai. IDC affirme de son côté que la baisse est supérieure à 20 % pour certains fabricants, notamment Acer, Sony et Samsung.
L'ordinateur personnel est passé de mode. Tel est le verdict de nombreux observateurs. Il est partagé par Sabine Turkieltaub, la responsable marketing de HP France, qui ne peut que constater qu'il y a "une véritable cannibalisation du marché des PC par les smartphones et les tablettes". En ces temps de crise, il faut faire un choix et celui-ci est souvent en défaveur du PC.
Le segment qui souffre actuellement le plus, c'est celui des netbooks. GFK s'attend à ce que 800 000 unités trouvent preneur cette année dans l'Hexagone, soit 30 % de moins qu'en 2010. Chez GFK, on n'hésite pas à parler "d'obsolescence du concept" pour les netbooks.
Les principaux fabricants estiment que les inondations en Thaïlande, qui ont considérablement ralenti la production de disques durs, ont eu un impact sur les ventes de PC d'entrée de gamme. Enfin, la conjoncture économique, avec la baisse de l'euro, n'a pas arrangé les affaires des constructeurs de PC.
Actuellement, il y a deux motifs d'espoir pour les concurrents d'Apple : le prix des ultrabooks qui commence à baisser et l'arrivée prochaine de Windows 8. Ces deux éléments sont susceptibles de donner un nouvel élan aux ventes du PC. C'est du moins ce que veulent croire les constructeurs.
La crise a eu également pour conséquence un changement de mentalités en matière de stratégie commerciale de la part des fabricants de PC. Daniel Trachino, directeur d'Acer France, déclare au Figaro : "Nous ne sommes plus dans la course aux parts de marché, mais nous concentrons sur les segments de produits susceptibles de dégager plus de marge". Rappelons qu'Apple a été l'un des rares fabricants d'ordinateurs à rester à l'écart de la guerre des prix qui sévit dans cette industrie depuis plusieurs années. On l'a vu encore avec le MacBook Pro Retina qui est vendu bien plus cher que ses prédécesseurs.
L'ordinateur personnel est passé de mode. Tel est le verdict de nombreux observateurs. Il est partagé par Sabine Turkieltaub, la responsable marketing de HP France, qui ne peut que constater qu'il y a "une véritable cannibalisation du marché des PC par les smartphones et les tablettes". En ces temps de crise, il faut faire un choix et celui-ci est souvent en défaveur du PC.
Le segment qui souffre actuellement le plus, c'est celui des netbooks. GFK s'attend à ce que 800 000 unités trouvent preneur cette année dans l'Hexagone, soit 30 % de moins qu'en 2010. Chez GFK, on n'hésite pas à parler "d'obsolescence du concept" pour les netbooks.
Les principaux fabricants estiment que les inondations en Thaïlande, qui ont considérablement ralenti la production de disques durs, ont eu un impact sur les ventes de PC d'entrée de gamme. Enfin, la conjoncture économique, avec la baisse de l'euro, n'a pas arrangé les affaires des constructeurs de PC.
Actuellement, il y a deux motifs d'espoir pour les concurrents d'Apple : le prix des ultrabooks qui commence à baisser et l'arrivée prochaine de Windows 8. Ces deux éléments sont susceptibles de donner un nouvel élan aux ventes du PC. C'est du moins ce que veulent croire les constructeurs.
La crise a eu également pour conséquence un changement de mentalités en matière de stratégie commerciale de la part des fabricants de PC. Daniel Trachino, directeur d'Acer France, déclare au Figaro : "Nous ne sommes plus dans la course aux parts de marché, mais nous concentrons sur les segments de produits susceptibles de dégager plus de marge". Rappelons qu'Apple a été l'un des rares fabricants d'ordinateurs à rester à l'écart de la guerre des prix qui sévit dans cette industrie depuis plusieurs années. On l'a vu encore avec le MacBook Pro Retina qui est vendu bien plus cher que ses prédécesseurs.