À l'occasion d'une réunion de ses actionnaires, HTC a annoncé qu'elle finaliserait au bout du compte son acquisition de S3 Graphics. Le fabricant de téléphones avait déboursé près de 300 millions de dollars pour s'offrir le contrôle de S3 Graphics et de son portefeuille de 270 brevets, alors que le concepteur de puces graphiques venait de gagner contre Apple face à l'ITC.
Ces brevets se sont néanmoins révélés plus faibles que prévu, et l'ITC a finalement décidé qu'Apple ne violait pas de brevets de S3 Graphics. HTC a alors imaginé ne pas finaliser l'acquisition des parts de S3 Graphics, d'autant que VIA, co-propriétaire de S3, appartient comme HTC au groupe Formosa Plastics. Le fabricant taïwanais de smartphones a finalement décidé d'aller jusqu'au bout, estimant peut-être qu'au-delà des brevets, les technologies de S3 pouvaient aussi l'intéresser.
De son côté, Kodak a pris les premières mesures destinées à vendre tout ou partie des 1 100 brevets sur l'image numérique qu'elle possède encore. Le pionnier de l'image, en faillite, cherche à retrouver des couleurs en monétisant sa propriété intellectuelle, qui lui a déjà permis de gagner de nombreux procès et de signer des accords de licence.
Une vingtaine de sociétés ont signé des accords de confidentialité pour pouvoir évaluer le portefeuille de brevets de Kodak, en attendant que la société recoive l'autorisation de l'écouler d'ici le début du mois de juillet. On rappelera qu'un procès entre Kodak et Apple (et HTC) est toujours en cours autour de la violation de brevets sur l'imagerie numérique, alors que les deux sociétés avaient travaillé main dans la main sur le sujet dans le passé.
Ces brevets se sont néanmoins révélés plus faibles que prévu, et l'ITC a finalement décidé qu'Apple ne violait pas de brevets de S3 Graphics. HTC a alors imaginé ne pas finaliser l'acquisition des parts de S3 Graphics, d'autant que VIA, co-propriétaire de S3, appartient comme HTC au groupe Formosa Plastics. Le fabricant taïwanais de smartphones a finalement décidé d'aller jusqu'au bout, estimant peut-être qu'au-delà des brevets, les technologies de S3 pouvaient aussi l'intéresser.
De son côté, Kodak a pris les premières mesures destinées à vendre tout ou partie des 1 100 brevets sur l'image numérique qu'elle possède encore. Le pionnier de l'image, en faillite, cherche à retrouver des couleurs en monétisant sa propriété intellectuelle, qui lui a déjà permis de gagner de nombreux procès et de signer des accords de licence.
Une vingtaine de sociétés ont signé des accords de confidentialité pour pouvoir évaluer le portefeuille de brevets de Kodak, en attendant que la société recoive l'autorisation de l'écouler d'ici le début du mois de juillet. On rappelera qu'un procès entre Kodak et Apple (et HTC) est toujours en cours autour de la violation de brevets sur l'imagerie numérique, alors que les deux sociétés avaient travaillé main dans la main sur le sujet dans le passé.