Intel annonce avoir mis au point un châssis plastique pour Ultrabook aussi solide que ceux en aluminium utilisés aujourd'hui dans certains portables. Ce travail a été réalisé par une équipe américaine d'Intel comprenant d'anciens spécialistes en aéronautique et automobile.
Intel n'a pas conçu un nouveau matériau, ni réfléchi à de nouvelles méthodes de fabrication. Le fondeur explique avoir porté ses efforts sur l'agencement des éléments internes d'un portable (SSD, carte mère…) de manière à ce qu'ils contribuent plus efficacement à la robustesse de la structure. À défaut de détails précis, appelons ça une structure unibody plastique.
Le fondeur entend partager le fruit de ses travaux avec ses partenaires, et les premiers portables en profitant pourraient arriver l'an prochain, le principe devant être encore amélioré.
Intel se défend toutefois de vouloir imposer un design unique. Les fabricants auront une marge de manoeuvre pour s'écarter du châssis type, et décider des compromis à faire entre le coût et la solidité de l'assemblage choisi.
L'objectif est de contribuer à baisser le coût de fabrication des Ultrabooks, sans sacrifier leur robustesse. Pour un constructeur, l'économie par rapport à un modèle aluminium équivalent serait de l'ordre de 25 à 75$ (20/60€).
Cette volonté de tirer les coûts vers le bas pour les Ultrabooks en jouant sur les matériaux n'est pas nouvelle. En septembre dernier on prêtait à Intel d'avoir mis en relation des fabricants de PC avec un spécialiste en matériaux associant plastique et fibre de verre (lire Ultrabook : la chasse aux coûts).
Car une part du succès (ou non) des Ultrabooks réside dans la capacité à éloigner leurs prix de ceux de portables plus classiques, plus lourds, mais aussi mieux équipés, sans parler d'Apple dont les MacBook Air démarrent à 999$. Souvent les fabricants de PC ont jugé difficile de faire mieux que ces 1000$ pour des portables ultra-fins équipés des dernières puces d'Intel, alors que ce dernier aimerait qu'ils se dirigent plutôt vers les 700$…
Intel n'a pas conçu un nouveau matériau, ni réfléchi à de nouvelles méthodes de fabrication. Le fondeur explique avoir porté ses efforts sur l'agencement des éléments internes d'un portable (SSD, carte mère…) de manière à ce qu'ils contribuent plus efficacement à la robustesse de la structure. À défaut de détails précis, appelons ça une structure unibody plastique.
Le fondeur entend partager le fruit de ses travaux avec ses partenaires, et les premiers portables en profitant pourraient arriver l'an prochain, le principe devant être encore amélioré.
Intel se défend toutefois de vouloir imposer un design unique. Les fabricants auront une marge de manoeuvre pour s'écarter du châssis type, et décider des compromis à faire entre le coût et la solidité de l'assemblage choisi.
L'objectif est de contribuer à baisser le coût de fabrication des Ultrabooks, sans sacrifier leur robustesse. Pour un constructeur, l'économie par rapport à un modèle aluminium équivalent serait de l'ordre de 25 à 75$ (20/60€).
Cette volonté de tirer les coûts vers le bas pour les Ultrabooks en jouant sur les matériaux n'est pas nouvelle. En septembre dernier on prêtait à Intel d'avoir mis en relation des fabricants de PC avec un spécialiste en matériaux associant plastique et fibre de verre (lire Ultrabook : la chasse aux coûts).
Car une part du succès (ou non) des Ultrabooks réside dans la capacité à éloigner leurs prix de ceux de portables plus classiques, plus lourds, mais aussi mieux équipés, sans parler d'Apple dont les MacBook Air démarrent à 999$. Souvent les fabricants de PC ont jugé difficile de faire mieux que ces 1000$ pour des portables ultra-fins équipés des dernières puces d'Intel, alors que ce dernier aimerait qu'ils se dirigent plutôt vers les 700$…