Ce 21 et 22 mai se tient la rencontre au sommet entre les dirigeants d'Apple et de Samsung. Tim Cook, flanqué, probablement, de son responsable des affaires juridiques Bruce Sewell d'un côté, et Choi Gee-sung accompagné de JK Shin, responsable de la division mobile de Samsung Electronics de l'autre. Entre eux, un juge qui supervisera les discussions.
Au moment de s'embarquer pour San Francisco, JK Shin a déclaré à Reuters : «Il y a toujours un profond désaccord dans la guerre des brevets avec Apple, mais nous avons plusieurs options de négociation, notamment des licences croisées». Le 24 avril, Tim Cook avait clairement exprimé sa volonté de tenter de trouver une issue à ce contentieux, sans toutefois évoquer une solution précise, sinon qu'il attendait des réparations.
Cette rencontre a été fermement suggérée à la toute fin avril par la juge Lucy Koh qui supervise deux procès entre Apple et Samsung en Californie. Les deux parties n'ont toutefois aucune obligation de trouver un accord. Elle intervient également trois jours après une nouvelle demande d'Apple visant à interdire la Galaxy Tab 10.1 aux Etats-unis. Détail de calendrier, cette tentative de conciliation a lieu quasiment un an jour pour jour après le début des hostilités entre ces deux groupes (lire Apple et Samsung : petits procès entre amis).
Sur le même sujet :
- Samsung et Apple préparent leur procès
- Brevets : Tim Cook réitère son ouverture à la négociation
Au moment de s'embarquer pour San Francisco, JK Shin a déclaré à Reuters : «Il y a toujours un profond désaccord dans la guerre des brevets avec Apple, mais nous avons plusieurs options de négociation, notamment des licences croisées». Le 24 avril, Tim Cook avait clairement exprimé sa volonté de tenter de trouver une issue à ce contentieux, sans toutefois évoquer une solution précise, sinon qu'il attendait des réparations.
J'ai toujours détesté les poursuites, et je les déteste toujours. Nous voulons seulement que les gens inventent leurs propres solutions. Donc si nous pouvons parvenir à une forme d'arrangement ou une autre où nous pouvons être assurés que c'est le cas et où nous obtenons des dommages justes pour ce qui s'est passé, je préférerais largement un accord à une bataille juridique. Mais l'élément-clef, c'est qu'il est très important qu'Apple ne devienne pas le développeur du monde. Nous avons besoin que les gens inventent leurs propres solutions.
Cette rencontre a été fermement suggérée à la toute fin avril par la juge Lucy Koh qui supervise deux procès entre Apple et Samsung en Californie. Les deux parties n'ont toutefois aucune obligation de trouver un accord. Elle intervient également trois jours après une nouvelle demande d'Apple visant à interdire la Galaxy Tab 10.1 aux Etats-unis. Détail de calendrier, cette tentative de conciliation a lieu quasiment un an jour pour jour après le début des hostilités entre ces deux groupes (lire Apple et Samsung : petits procès entre amis).
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