Microsoft s'est donné comme objectif d'afficher une empreinte carbone neutre à compter du 1er juillet. Cela inclut ses data-centers, ses bureaux, ses laboratoires et un recours moins important au transport aérien au profit des solutions maison de visioconférence. C'est la poursuite d'un effort engagé il y a trois ans [PDF].
Cette action va être mesurée afin d'être encouragée au sein des différentes divisions du groupe. Une taxe interne sera mise en place pour responsabiliser financièrement les filiales dans leur consommation. L'usage d'énergies renouvelables sera stimulé par le décompte des coûts de fonctionnement, désormais associés à ceux nécessaires pour les contrebalancer et neutraliser l'empreinte carbone. Lorsque cette réduction n'est pas possible, Microsoft achètera des crédits carbone.
L'éditeur, dans un billet qui détaille cette initiative, s'enorgueillit d'avoir été désigné par l'agence américaine de protection de l'environnement comme le troisième client dans le pays en énergies renouvelables. Cela s'est traduit par 1,5 milliard de kWh l'année dernière, soit l'équivalent de 46% de sa consommation électrique.
L'entreprise faisait partie des mal notées par Greenpeace (qui n'est pas cité dans ce billet) au travers de son rapport sur la part d'énergies renouvelables utilisées dans le fonctionnement des data-centers de grands groupes Internet et informatique. Apple était logée un cran derrière son rival et elle fait l'objet d'une campagne de terrain de la part de l'ONG, auprès de ses fournisseurs et boutiques (lire Greenpeace se remet sur le chemin d'Apple).
Cette action va être mesurée afin d'être encouragée au sein des différentes divisions du groupe. Une taxe interne sera mise en place pour responsabiliser financièrement les filiales dans leur consommation. L'usage d'énergies renouvelables sera stimulé par le décompte des coûts de fonctionnement, désormais associés à ceux nécessaires pour les contrebalancer et neutraliser l'empreinte carbone. Lorsque cette réduction n'est pas possible, Microsoft achètera des crédits carbone.
L'éditeur, dans un billet qui détaille cette initiative, s'enorgueillit d'avoir été désigné par l'agence américaine de protection de l'environnement comme le troisième client dans le pays en énergies renouvelables. Cela s'est traduit par 1,5 milliard de kWh l'année dernière, soit l'équivalent de 46% de sa consommation électrique.
L'entreprise faisait partie des mal notées par Greenpeace (qui n'est pas cité dans ce billet) au travers de son rapport sur la part d'énergies renouvelables utilisées dans le fonctionnement des data-centers de grands groupes Internet et informatique. Apple était logée un cran derrière son rival et elle fait l'objet d'une campagne de terrain de la part de l'ONG, auprès de ses fournisseurs et boutiques (lire Greenpeace se remet sur le chemin d'Apple).