L'HackStore est là ! La boutique qui se pose comme une alternative au Mac App Store (MAS), ou une sorte de pendant à Cydia sur OS X, est désormais disponible au téléchargement. Pour rappel, l'HackStore a pour but de recréer l'expérience utilisateur du MAS sans les restrictions imposées par Apple. Ainsi les applications non sandboxées sont par exemple acceptées et les développeurs ne sont pas ponctionnés de 30 % sur chaque vente.
L'HackStore vient se loger dans le dossier Applications comme tout autre logiciel. Lors du premier lancement, une notification en haut à droite avec le message suivant apparait : « No piracy apps here, forever and ever »(pas d'applications piratées ici, pour toujours).
Il est possible de choisir la langue : russe (c'est la nationalité du développeur derrière ce projet) et anglais.
Comme on avait pu le voir sur des images il y a quelques semaines, l'HackStore singe complètement le MAS au niveau de l'interface. On retrouve les différentes sections New (En vedette), Featured (Classement), Categories (Catégories) et Updates (Mises à jour). En revanche la section Achats est ici remplacé par About où sont affichées les conditions d'utilisation. La section Updates est aussi différente de la boutique d'Apple ; elle affiche ici les notes de versions du HackStore et les raccourcis clavier disponibles.
L'HackStore a des limites qui sautent aux yeux dès les premières d'utilisation. Déjà, on note l'absence de boutons Retour/Suivant. Par ailleurs l'application souffre de nombreuses lenteurs et bugs.
La limite la plus importante est certainement son catalogue d'applications et son intégration au système. Ce qui fait la force du MAS est la simplicité d'utilisation : cliquez sur le bouton Télécharger et l'app désirée ira se nicher directement dans votre dossier Applications et dans le Launchpad. Ici, on récupère en fait juste le fichier .dmg dans le dossier Téléchargements. À l'utilisateur de réaliser les étapes supplémentaires. L'HackStore sert en réalité de façade pour masquer les différents sites des éditeurs. Les boutons Download renvoient en fait vers les liens classiques de téléchargement. Ainsi on se retrouve souvent vers une page web Sourceforge.
Parmi les 49 applications disponibles — c'est peu—, on trouve des logiciels assez populaires : Adium, FileZilla, Camino, Opera, LibreOffice, Plex... et surprise iMessage qui renvoie vers le site d'Apple.
L'HackStore est jeune et ça se voit. Outre le nombre réduit d'applications et les lourdeurs de l'interface, la création de compte pose problème : l'opération ne fonctionne pas à tous les coups. Par ailleurs le bandeau supérieur contient des publicités. Cliquez sur l'application mise en avant et vous serez redirigé vers iTunes. On en sait donc un peu plus sur le modèle économique choisi par le développeur : la publicité. Il recherche d'ailleurs d'autres clients.
Pour l'instant, seules des applications gratuites sont disponibles.
L'HackStore est trop limité et trop jeune pour être réellement intéressant à l'heure actuelle. Il souffre d'une intégration inexistante avec OS X qui lui enlève tout son intérêt.
L'HackStore vient se loger dans le dossier Applications comme tout autre logiciel. Lors du premier lancement, une notification en haut à droite avec le message suivant apparait : « No piracy apps here, forever and ever »(pas d'applications piratées ici, pour toujours).
Il est possible de choisir la langue : russe (c'est la nationalité du développeur derrière ce projet) et anglais.
Comme on avait pu le voir sur des images il y a quelques semaines, l'HackStore singe complètement le MAS au niveau de l'interface. On retrouve les différentes sections New (En vedette), Featured (Classement), Categories (Catégories) et Updates (Mises à jour). En revanche la section Achats est ici remplacé par About où sont affichées les conditions d'utilisation. La section Updates est aussi différente de la boutique d'Apple ; elle affiche ici les notes de versions du HackStore et les raccourcis clavier disponibles.
L'HackStore a des limites qui sautent aux yeux dès les premières d'utilisation. Déjà, on note l'absence de boutons Retour/Suivant. Par ailleurs l'application souffre de nombreuses lenteurs et bugs.
La limite la plus importante est certainement son catalogue d'applications et son intégration au système. Ce qui fait la force du MAS est la simplicité d'utilisation : cliquez sur le bouton Télécharger et l'app désirée ira se nicher directement dans votre dossier Applications et dans le Launchpad. Ici, on récupère en fait juste le fichier .dmg dans le dossier Téléchargements. À l'utilisateur de réaliser les étapes supplémentaires. L'HackStore sert en réalité de façade pour masquer les différents sites des éditeurs. Les boutons Download renvoient en fait vers les liens classiques de téléchargement. Ainsi on se retrouve souvent vers une page web Sourceforge.
Parmi les 49 applications disponibles — c'est peu—, on trouve des logiciels assez populaires : Adium, FileZilla, Camino, Opera, LibreOffice, Plex... et surprise iMessage qui renvoie vers le site d'Apple.
L'HackStore est jeune et ça se voit. Outre le nombre réduit d'applications et les lourdeurs de l'interface, la création de compte pose problème : l'opération ne fonctionne pas à tous les coups. Par ailleurs le bandeau supérieur contient des publicités. Cliquez sur l'application mise en avant et vous serez redirigé vers iTunes. On en sait donc un peu plus sur le modèle économique choisi par le développeur : la publicité. Il recherche d'ailleurs d'autres clients.
Pour l'instant, seules des applications gratuites sont disponibles.
L'HackStore est trop limité et trop jeune pour être réellement intéressant à l'heure actuelle. Il souffre d'une intégration inexistante avec OS X qui lui enlève tout son intérêt.