Vous voulez savoir à quel point vous êtes dépendant des services de Google ? Il vous suffit de vous inscrire à un énième service de la firme de Mountain View, « Activité du compte », lancé en bêta : Google vous enverra alors chaque mois un rapport détaillé sur l'activité de votre compte pour l'ensemble des produits de la société.
Pour ce faire, Google indexe tout simplement l'intégralité de votre activité :
Les données ainsi recueillies sont censées permettre à l'utilisateur de mieux comprendre son utilisation des services de Google : la société explique ainsi que l'on pourra suivre l'évolution du nombre de courriels envoyés et reçus, ou les types de recherches effectuées selon les moments de l'année. Mieux, cette indexation de l'intégralité de l'activité de votre compte serait in fine une fonction de sécurité : vous pourrez vérifier que vous êtes le seul à vous connecter à votre compte et qu'il n'y a eu aucune activité suspecte.
Google s'inscrit ici dans le mouvement récent de la statistique personnelle, et répond en quelque sorte aux travaux de Facebook sur le sujet, la « timeline » du réseau de Mark Zuckerberg pouvant servir de synthèse de l'activité d'une personne. À chaque fois que Google court derrière Facebook cependant, c'est un nouveau verrou qui saute dans la manière dont la firme de Mountain View abordait les problématiques de gestion de la vie privée, et, justement, de l'activité de ses utilisateurs. Les rapports sont heureusement protégées derrière un mot de passe.
Dans un domaine connexe, Google a justement mis à jour son réseau social Google+, là aussi pour mieux concurrencer Facebook. Le système de chat vidéo, Hangouts, a été augmenté de nombreuses applications, comme un jeu de poker, des effets visuels, un outil de présentation, etc.
Pour ce faire, Google indexe tout simplement l'intégralité de votre activité :
Chaque mois, le rapport sur l'activité de votre compte recueille et résume les données de votre compte Google, telles que les e-mails envoyés ou les recherches les plus fréquentes. La suppression de données à la source de données, par exemple dans votre historique Web, n'a aucune incidence sur les rapports publiés.
Les données ainsi recueillies sont censées permettre à l'utilisateur de mieux comprendre son utilisation des services de Google : la société explique ainsi que l'on pourra suivre l'évolution du nombre de courriels envoyés et reçus, ou les types de recherches effectuées selon les moments de l'année. Mieux, cette indexation de l'intégralité de l'activité de votre compte serait in fine une fonction de sécurité : vous pourrez vérifier que vous êtes le seul à vous connecter à votre compte et qu'il n'y a eu aucune activité suspecte.
Google s'inscrit ici dans le mouvement récent de la statistique personnelle, et répond en quelque sorte aux travaux de Facebook sur le sujet, la « timeline » du réseau de Mark Zuckerberg pouvant servir de synthèse de l'activité d'une personne. À chaque fois que Google court derrière Facebook cependant, c'est un nouveau verrou qui saute dans la manière dont la firme de Mountain View abordait les problématiques de gestion de la vie privée, et, justement, de l'activité de ses utilisateurs. Les rapports sont heureusement protégées derrière un mot de passe.
Dans un domaine connexe, Google a justement mis à jour son réseau social Google+, là aussi pour mieux concurrencer Facebook. Le système de chat vidéo, Hangouts, a été augmenté de nombreuses applications, comme un jeu de poker, des effets visuels, un outil de présentation, etc.