Alors que Kodak a annoncé l'arrêt de la production d'appareils photo grand public il y a quelques jours, Apple vient de demander l'autorisation à la US Bankrupcy Court de New York d'intenter deux nouvelles procédures à l'encontre de Kodak, l'une auprès de l'International Trade Commission, et l'autre auprès de la cour du district de Manhattan (relocalisant la procédure déjà en cours à Rochester où se trouve le siège social de Kodak). Rappelons qu'Eastman Kodak s'est placée au début de cette année sous le régime du chapitre 11, une disposition américaine pour la protection des entreprises en faillite.
Apple et Kodak se disputent la paternité de brevets développés conjointement, et le démantèlement de Kodak pourrait mettre des brevets revendiqués par Apple entre d'autres mains (lire Kodak : Apple assure avoir co-inventé la photo numérique).
Alors que Kodak fait face à de grosses difficultés depuis quelques années, elle s'était beaucoup rabattue sur son portefeuille de brevets pour continuer à gagner de l'argent, soit par le biais d'accords de licence, soit en justice, ou même en les revendant. Apple fait partie des diverses entreprises visées par les procédures intentées par Kodak.
Apple a indiqué qu'en dépit du fait que les mesures de protection des entreprises placées en redressement ne les exempt pas de poursuites, elle souhaitait obtenir cette autorisation des instances juridiques par excès de prudence.
Apple et Kodak se disputent la paternité de brevets développés conjointement, et le démantèlement de Kodak pourrait mettre des brevets revendiqués par Apple entre d'autres mains (lire Kodak : Apple assure avoir co-inventé la photo numérique).
Alors que Kodak fait face à de grosses difficultés depuis quelques années, elle s'était beaucoup rabattue sur son portefeuille de brevets pour continuer à gagner de l'argent, soit par le biais d'accords de licence, soit en justice, ou même en les revendant. Apple fait partie des diverses entreprises visées par les procédures intentées par Kodak.
Apple a indiqué qu'en dépit du fait que les mesures de protection des entreprises placées en redressement ne les exempt pas de poursuites, elle souhaitait obtenir cette autorisation des instances juridiques par excès de prudence.