L'ouvrage "Inside Apple" est en vente aujourd'hui. Cette plongée d'un journaliste de Fortune - Adam Lashinsky - dans la mécanique d'Apple a fait l'objet de nouvelles publications d'extraits.
L'un reprend une anecdote avec Andy Miller, le patron de Quattro Wireless, rachetée en janvier 2010 pour devenir la régie publicitaire iAd. Miller (qui a quitté Apple l'été dernier) avait reçu une invitation à rejoindre le conseil d'administration d'une entreprise (non désignée, mais présentée comme sans relation avec les domaines d'activité d'Apple).
Sollicitant l'autorisation de Jobs, celui-ci a mis les choses au clair « Quoi ? Tu viens à peine d'arriver ici et tu veux consacrer du temps à aider la société de quelqu'un d'autre ? Même Forstall je ne le laisse pas sortir du bureau ».
Une anecdote qui rappelle que l'accès de dirigeants d'Apple aux conseils d'administration d'autres entreprises n'a souffert que d'une seule exception, toujours d'actualité d'ailleurs : Tim Cook. Le nouveau PDG a un siège chez Nike depuis novembre 2005 (lire aussi Apple : le jeu de cadres). Un signe de l'extrême confiance que Steve Jobs avait placée dans son proche collaborateur.
L'autre extrait revient sur le peu de goût de Steve Jobs pour la philanthropie, à titre personnel, mais aussi à travers Apple « Jobs était notoirement pingre quand il s'agissait de donner de l'argent. Il avait fait valoir en privé que l'action la plus philanthropique qu'Apple pourrait engager était d'augmenter la valeur de l'entreprise pour les actionnaires, qui pourraient donner leur fortune aux causes de leur choix, mais ce n'était pas à Apple de le faire ».
Tim Cook s'était démarqué de cette politique qui là aussi n'a souffert que de rares exceptions (lire Jobs : Bono vante la contribution (RED) d'Apple). En septembre dernier, en révisant un programme permettant à Apple d'abonder sur les dons faits par ses employés (lire Apple lance son programme de "Matching Gift" (suite)). Deux mois plus tard, Apple annonçait avoir réuni 2,6 millions de dollars (pour moitié la part des salariés).
L'ouvrage (en anglais) est en vente sur l'iBookstore (14€) et sur Amazon (18,09€) où il est toutefois en rupture de stock.
Sur le même sujet :
- Inside Apple : Jobs et Lytro, Apple et son packaging
- "Inside Apple" : la culture du secret à Cupertino
- Inside Apple : le prochain livre sur les coulisses de Cupertino
L'un reprend une anecdote avec Andy Miller, le patron de Quattro Wireless, rachetée en janvier 2010 pour devenir la régie publicitaire iAd. Miller (qui a quitté Apple l'été dernier) avait reçu une invitation à rejoindre le conseil d'administration d'une entreprise (non désignée, mais présentée comme sans relation avec les domaines d'activité d'Apple).
Sollicitant l'autorisation de Jobs, celui-ci a mis les choses au clair « Quoi ? Tu viens à peine d'arriver ici et tu veux consacrer du temps à aider la société de quelqu'un d'autre ? Même Forstall je ne le laisse pas sortir du bureau ».
Une anecdote qui rappelle que l'accès de dirigeants d'Apple aux conseils d'administration d'autres entreprises n'a souffert que d'une seule exception, toujours d'actualité d'ailleurs : Tim Cook. Le nouveau PDG a un siège chez Nike depuis novembre 2005 (lire aussi Apple : le jeu de cadres). Un signe de l'extrême confiance que Steve Jobs avait placée dans son proche collaborateur.
L'autre extrait revient sur le peu de goût de Steve Jobs pour la philanthropie, à titre personnel, mais aussi à travers Apple « Jobs était notoirement pingre quand il s'agissait de donner de l'argent. Il avait fait valoir en privé que l'action la plus philanthropique qu'Apple pourrait engager était d'augmenter la valeur de l'entreprise pour les actionnaires, qui pourraient donner leur fortune aux causes de leur choix, mais ce n'était pas à Apple de le faire ».
Tim Cook s'était démarqué de cette politique qui là aussi n'a souffert que de rares exceptions (lire Jobs : Bono vante la contribution (RED) d'Apple). En septembre dernier, en révisant un programme permettant à Apple d'abonder sur les dons faits par ses employés (lire Apple lance son programme de "Matching Gift" (suite)). Deux mois plus tard, Apple annonçait avoir réuni 2,6 millions de dollars (pour moitié la part des salariés).
L'ouvrage (en anglais) est en vente sur l'iBookstore (14€) et sur Amazon (18,09€) où il est toutefois en rupture de stock.
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