Le vice-président de Microsoft en charge des services Web, Antoine Leblond, a présenté en détails le Windows Store, la future boutique d'applications de Microsoft.
La firme de Redmond promet aux développeurs « une plus grosse part du gâteau » pour les attirer : elle prend 30 % de commission au départ, mais dès qu'une application attendra 25 000 $ de chiffre d'affaires, Microsoft se contentera de 20 %. L'accès au Windows Store coûte 99 $ aux sociétés, 49 $ aux développeurs indépendants. Les apps devront passer par un processus de validation dont les différentes étapes seront présentées au développeur, avec une estimation du temps restant avant l'arrivée sur la boutique.
Les applications peuvent être entièrement gratuites, mais le Windows Store offre d'autres options comme le modèle payant simple et le modèle freemium (gratuit + achats in-app), mais aussi des versions de démonstration (limitées dans les fonctions ou dans le temps) ou des applications payantes sur abonnement, et bien sûr les apps financées par la pub. Pour contrer directement Apple, Microsoft se fait un plaisir de mentionner qu'elle acceptera parfaitement les systèmes d'abonnement externes, en faisant la démonstration de l'application du Telegraph.
Le Windows Store n'est heureusement pas conçu que pour les développeurs. Son design, typiquement Metro, met l'accent sur la découverte des apps, l'exposition étant le point clef de toutes les boutiques. Bing indexera les apps du Windows Store, qui possédera évidemment son propre moteur de recherche. Chaque développeur et chaque app ont leur propre page, avec un modèle directement dérivé de l'App Store, qui a ouvert la voie.
Le Windows Store sera disponible dans 231 pays, sur processeurs x86 et ARM, et supportera plus de 100 systèmes de paiement selon les besoins locaux. C'est la seule et unique porte d'entrée pour les applications Metro de Windows 8 : le Windows Store sera disponible en même temps qu'une bêta du prochain système de Microsoft en février 2012, uniquement pour les apps gratuites pour le moment (et sur invitation seulement pour les développeurs). Il faut noter que les entreprises pourront utiliser un mode ad-hoc pour déployer leurs propres apps ou des apps de tierce-partie requises.
La firme de Redmond promet aux développeurs « une plus grosse part du gâteau » pour les attirer : elle prend 30 % de commission au départ, mais dès qu'une application attendra 25 000 $ de chiffre d'affaires, Microsoft se contentera de 20 %. L'accès au Windows Store coûte 99 $ aux sociétés, 49 $ aux développeurs indépendants. Les apps devront passer par un processus de validation dont les différentes étapes seront présentées au développeur, avec une estimation du temps restant avant l'arrivée sur la boutique.
Les applications peuvent être entièrement gratuites, mais le Windows Store offre d'autres options comme le modèle payant simple et le modèle freemium (gratuit + achats in-app), mais aussi des versions de démonstration (limitées dans les fonctions ou dans le temps) ou des applications payantes sur abonnement, et bien sûr les apps financées par la pub. Pour contrer directement Apple, Microsoft se fait un plaisir de mentionner qu'elle acceptera parfaitement les systèmes d'abonnement externes, en faisant la démonstration de l'application du Telegraph.
Le Windows Store n'est heureusement pas conçu que pour les développeurs. Son design, typiquement Metro, met l'accent sur la découverte des apps, l'exposition étant le point clef de toutes les boutiques. Bing indexera les apps du Windows Store, qui possédera évidemment son propre moteur de recherche. Chaque développeur et chaque app ont leur propre page, avec un modèle directement dérivé de l'App Store, qui a ouvert la voie.
Le Windows Store sera disponible dans 231 pays, sur processeurs x86 et ARM, et supportera plus de 100 systèmes de paiement selon les besoins locaux. C'est la seule et unique porte d'entrée pour les applications Metro de Windows 8 : le Windows Store sera disponible en même temps qu'une bêta du prochain système de Microsoft en février 2012, uniquement pour les apps gratuites pour le moment (et sur invitation seulement pour les développeurs). Il faut noter que les entreprises pourront utiliser un mode ad-hoc pour déployer leurs propres apps ou des apps de tierce-partie requises.