Quelques semaines après sa nomination au poste de CEO de HP, Meg Whitman est revenue sur une décision de son prédécesseur : HP va finalement conserver sa division Personal Systems Group (PSG), celle qui conçoit notamment des ordinateurs personnels.
« HP est intimement lié à PSG, et ensemble, nous sommes plus forts. », explique Meg Whitman : « Il apparaît clairement après notre analyse que conserver PSG au sein d’HP est la meilleure alternative, tant pour les clients et les partenaires d’HP que pour ses actionnaires et employés ». À l'issue de l'évaluation de ses options, HP a décidé de rester dans le marché de l'informatique grand-public. Todd Bradley conserve son poste de dirigeant du Personal System Group, numéro 1 mondial du PC. Cette décision était attendue par de nombreux observateurs, qui avaient évalué que le coût de l'opération pourrait dépasser les avantages, en plus de réduire la marge de manœuvre de HP avec ses fournisseurs.
HP n'a pas précisé si l'acquisition d'Autonomy était remise en cause par ce changement d'avis, les actionnaires du spécialiste du traitement en masse des données non structurées n'étant pas particulièrement enthousiastes à l'idée de rejoindre HP (lire : L'acquisition d'Autonomy par HP retardée par les actionnaires). Meg Whitman n'a pas non plus encore clarifié ses intentions à l'endroit de webOS. La communication de HP, déjà sérieusement critiquée (lire : HP : une plainte contre la communication du groupe), ne gagne pas en clarté après ce nouveau revirement complet de stratégie.
« HP est intimement lié à PSG, et ensemble, nous sommes plus forts. », explique Meg Whitman : « Il apparaît clairement après notre analyse que conserver PSG au sein d’HP est la meilleure alternative, tant pour les clients et les partenaires d’HP que pour ses actionnaires et employés ». À l'issue de l'évaluation de ses options, HP a décidé de rester dans le marché de l'informatique grand-public. Todd Bradley conserve son poste de dirigeant du Personal System Group, numéro 1 mondial du PC. Cette décision était attendue par de nombreux observateurs, qui avaient évalué que le coût de l'opération pourrait dépasser les avantages, en plus de réduire la marge de manœuvre de HP avec ses fournisseurs.
HP n'a pas précisé si l'acquisition d'Autonomy était remise en cause par ce changement d'avis, les actionnaires du spécialiste du traitement en masse des données non structurées n'étant pas particulièrement enthousiastes à l'idée de rejoindre HP (lire : L'acquisition d'Autonomy par HP retardée par les actionnaires). Meg Whitman n'a pas non plus encore clarifié ses intentions à l'endroit de webOS. La communication de HP, déjà sérieusement critiquée (lire : HP : une plainte contre la communication du groupe), ne gagne pas en clarté après ce nouveau revirement complet de stratégie.