PDG de l'Aspen Institute et biographe reconnu, Walter Isaacson a dirigé CNN et Time. L'hebdomadaire américain offre à Steve Jobs une septième Une, et a rappelé son ancien rédacteur en chef pour un dossier spécial, Isaacson devant prochainement publier une biographie sur Steve Jobs (lire : La biographie de Steve Jobs avancée au 2 novembre). Si vous ne pouvez pas vous procurer Time en kiosque, sachez que le magazine est disponible sur iPad.
Dans ce numéro remanié dans l'urgence hier, Walter Isaacson revient sur sa dernière visite avec Steve Jobs, il y a quelques semaines, dans le cadre de la préparation de son ouvrage :
Le biographe de Jobs revient aussi sur la vision, la stratégie, le talent de gestionnaire, de recruteur et de coordinateur du co-fondateur d'Apple, qui a « révolutionné six industries, les ordinateurs personnels, les films d'animation, la musique, les téléphones, les tablettes et la publication numérique », et « réimaginé » une septième, la distribution. Lev Grossman et Harry McCracken décrivent Steve Jobs comme « l'inventeur du futur », et Diana Walker fait découvrir l'homme Jobs par le biais de ses photos.
James Poniewozik conclut : « comme je l'ai expliqué à mes enfants, c'est la raison pour laquelle je suis triste au sujet d'un type qui dirigeait une entreprise comme une autre : c'est parce mon expérience de ces produits [iPhone, iPad et Mac] était si personnelle. »
Dans ce numéro remanié dans l'urgence hier, Walter Isaacson revient sur sa dernière visite avec Steve Jobs, il y a quelques semaines, dans le cadre de la préparation de son ouvrage :
Il y a quelques semaines, j'ai rendu une dernière visite à Steve Jobs, chez lui, à Palo Alto. Il avait emménagé dans une chambre au rez-de-chaussée, parce qu'il n'avait plus la force de monter et descendre les escaliers. Il était recroquevillé, éprouvant une certaine douleur, mais son esprit était encore vif et son humour mordant. Nous avons parlé de son enfance, et il m'a donné quelques photos de son père et de sa famille à l'usage de ma biographie.
En tant qu'écrivain, j'ai appris à être détaché, mais j'ai été emporté par une vague de tristesse au moment où j'ai essayé de dire au revoir. Pour cacher mon émotion, j'ai posé la seule question qui me taraudait encore : pourquoi avait-il été si enclin, au long de 50 entretiens et conversations au cours des deux précédentes années, à se dévoiler autant pour un livre, lui qui était habituellement si discret ?
« Je voulais que mes enfants me connaissent », a-t-il dit. Je n'ai pas toujours été présent pour eux, et je voulais qu'ils sachent pourquoi et qu'ils comprennent ce que j'ai fait. »
Le biographe de Jobs revient aussi sur la vision, la stratégie, le talent de gestionnaire, de recruteur et de coordinateur du co-fondateur d'Apple, qui a « révolutionné six industries, les ordinateurs personnels, les films d'animation, la musique, les téléphones, les tablettes et la publication numérique », et « réimaginé » une septième, la distribution. Lev Grossman et Harry McCracken décrivent Steve Jobs comme « l'inventeur du futur », et Diana Walker fait découvrir l'homme Jobs par le biais de ses photos.
James Poniewozik conclut : « comme je l'ai expliqué à mes enfants, c'est la raison pour laquelle je suis triste au sujet d'un type qui dirigeait une entreprise comme une autre : c'est parce mon expérience de ces produits [iPhone, iPad et Mac] était si personnelle. »