Samsung a fait une proposition à Apple pour régler leur contentieux en Australie. Depuis le mois d'août le lancement dans le pays de la Galaxy Tab 10,1" est empêché et celle-ci a déjà reçu quelques dix modifications esthétiques et logicielles pour répondre aux constats d'infractions d'Apple.
Deux violations de brevets sont toujours citées par Apple. L'une sur le procédé de fabrication des écrans capacitifs de l'iPad 2 et l'autre concerne la manière de corriger le déplacement du doigt de l'utilisateur sur l'écran lorsqu'il effectue un déplacement vertical.
Bloomberg explique que les termes de l'accord proposé à la cour et à Apple n'ont pas été divulgués par David Catterns, l'avocat de Samsung. Steven Burley, l'avocat d'Apple, a de son côté fait savoir que son client aurait besoin de temps pour apprécier la proposition.
Hier, la juge Annabelle Bennet avait prolongé l'injonction empêchant la vente de la tablette afin d'avoir le temps d'étudier les arguments des deux parties. Elle se donnait jusqu'à la semaine prochaine pour décider si l'injonction devait être prolongée jusqu'à un jugement sur le fond (au mieux en novembre, ce qui avait la faveur d'Apple ou vers le début 2012, ce que préférait Samsung) où si cette injonction serait temporairement levée.
Apple poussait vers le maintien, Samsung vers la levée et les deux parties avaient chacune avancé leurs arguments mais sans trouver de terrain d'entente (lire Apple et Samsung : Steve Jobs, concurrence et concessions).
Deux violations de brevets sont toujours citées par Apple. L'une sur le procédé de fabrication des écrans capacitifs de l'iPad 2 et l'autre concerne la manière de corriger le déplacement du doigt de l'utilisateur sur l'écran lorsqu'il effectue un déplacement vertical.
Bloomberg explique que les termes de l'accord proposé à la cour et à Apple n'ont pas été divulgués par David Catterns, l'avocat de Samsung. Steven Burley, l'avocat d'Apple, a de son côté fait savoir que son client aurait besoin de temps pour apprécier la proposition.
Hier, la juge Annabelle Bennet avait prolongé l'injonction empêchant la vente de la tablette afin d'avoir le temps d'étudier les arguments des deux parties. Elle se donnait jusqu'à la semaine prochaine pour décider si l'injonction devait être prolongée jusqu'à un jugement sur le fond (au mieux en novembre, ce qui avait la faveur d'Apple ou vers le début 2012, ce que préférait Samsung) où si cette injonction serait temporairement levée.
Apple poussait vers le maintien, Samsung vers la levée et les deux parties avaient chacune avancé leurs arguments mais sans trouver de terrain d'entente (lire Apple et Samsung : Steve Jobs, concurrence et concessions).