Prévu le mois prochain chez Wacom, Inkling permet d'obtenir une version numérique de ses croquis réalisés sur quasiment n'importe quel type de support (carnet, bloc-note, etc) pour peu que ses dimensions soient comprises entre l'A4 et l'A7. Engadget propose une démo en vidéo de ce système qui comprend un stylo émetteur et un boîtier récepteur que l'on clipse sur son support de dessin. Boîtier que l'on branchera sur son Mac pour en récupérer les contenus. Les deux petits périphériques sont équipés d'une batterie, pas de fil à la patte donc.
Dans le cas présent, le petit boîtier vient pincer plusieurs page d'un Moleskine. Il faut prendre soin de ne pas tenir le stylo trop près de la pointe pour ne pas bloquer le transfert des informations. De même, on évitera de faire obstacle avec le récepteur en posant par exemple une règle devant la mine (il vaut mieux la garder derrière la pointe du stylo).
Pour chaque coup de crayon un signal lumineux sur le boîtier confirme la réception de l'information (infra-rouge et ultras-sons). Toujours sur ce boîtier, un bouton permet de créer des calques. Entre chaque pression, ce que vous dessinez est considéré comme appartenant à un calque.
Lorsqu'on relie (en USB) le boîtier à son Mac, un logiciel de Wacom, le Sketch Manager, décharge les croquis et le cas échéant affiche leurs calques. Les dessins peuvent être envoyés directement vers Photoshop (en bitmap 600 dpi), Illustrator (ils sont vectorisés) ou dans SketchBook Pro/Designer. Elements n'est pas supporté en direct du fait de contraintes techniques. A défaut on peut exporter ces croquis en png, jpeg, pdf, svg, bmp ou tiff, mais on perdra les calques au passage.
Le dessin fait pendant la démo est plus que sommaire mais un autre plus fouillé est montré. Son poids une fois stocké dans le boîtier ne dépasserait pas la centaine de kilo-octets. Sachant que la capacité de stockage est de 2 Go on peut donc en transporter pas mal.
Pour mémoire, l'Inkling sera vendu 170 en octobre avec quatre mine de rechange et un câble USB pour recharger simultanément le stylo et le récepteur, même lorsqu'ils sont rangés dans leur petite boîte de transport (lire aussi Inkling, le scanner à croquis de Wacom).
Dans le cas présent, le petit boîtier vient pincer plusieurs page d'un Moleskine. Il faut prendre soin de ne pas tenir le stylo trop près de la pointe pour ne pas bloquer le transfert des informations. De même, on évitera de faire obstacle avec le récepteur en posant par exemple une règle devant la mine (il vaut mieux la garder derrière la pointe du stylo).
Pour chaque coup de crayon un signal lumineux sur le boîtier confirme la réception de l'information (infra-rouge et ultras-sons). Toujours sur ce boîtier, un bouton permet de créer des calques. Entre chaque pression, ce que vous dessinez est considéré comme appartenant à un calque.
Lorsqu'on relie (en USB) le boîtier à son Mac, un logiciel de Wacom, le Sketch Manager, décharge les croquis et le cas échéant affiche leurs calques. Les dessins peuvent être envoyés directement vers Photoshop (en bitmap 600 dpi), Illustrator (ils sont vectorisés) ou dans SketchBook Pro/Designer. Elements n'est pas supporté en direct du fait de contraintes techniques. A défaut on peut exporter ces croquis en png, jpeg, pdf, svg, bmp ou tiff, mais on perdra les calques au passage.
Le dessin fait pendant la démo est plus que sommaire mais un autre plus fouillé est montré. Son poids une fois stocké dans le boîtier ne dépasserait pas la centaine de kilo-octets. Sachant que la capacité de stockage est de 2 Go on peut donc en transporter pas mal.
Pour mémoire, l'Inkling sera vendu 170 en octobre avec quatre mine de rechange et un câble USB pour recharger simultanément le stylo et le récepteur, même lorsqu'ils sont rangés dans leur petite boîte de transport (lire aussi Inkling, le scanner à croquis de Wacom).