Dans le cortège de déclarations autour de Jobs depuis sa démission, une nouvelle voix s'est fait entendre, celle de Bono, le co-fondateur de U2. En marge de ses activités musicales il s'est investi depuis longtemps auprès du Fonds Mondial de Lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Dans une lettre adressée au New York Times, il met en relief la contribution d'Apple aux actions du Fonds, à travers les matériels estampillés (RED). Débutée en 2006 chez Apple, cette opération concerne aujourd'hui une série spéciale d'iPod nano et une Smart Cover pour l'iPad, tous deux vendus exclusivement sur l'Apple Store. Apple ne précise pas la proportion des bénéfices reversés sur chacune de ces ventes, mais les montants accumulés sont importants écrit Bono.
«En tant que fondateur de (PRODUCT) RED, je tiens à souligner que la contribution d'Apple pour notre lutte contre le SIDA en Afrique a été inestimable. Parmi les partenaires de (RED), Apple a été le plus important contributeur au Fonds - en donnant des dizaines de millions de dollars qui ont transformé la vie de plus de deux millions d'Africains à travers le dépistage du VIH, le traitement et la pédagogie. C'est quelque chose de réel et de significatif. Et l'implication d'Apple a encouragé d'autres entreprises à s'engager».
Parmi les autres marques vendant de tels produits on compte Converse, Gap, Dell, Starbuck, Nike ou encore Emporio Armani. Bono ajoute que Jobs - qu'il décrit comme un poète, un artiste et un homme d'affaires - a tout de suite accroché avec l'idée de contribuer à la campagne (RED) « Il n'y a rien de mieux que la chance de pouvoir sauver des vies » lui aurait répondu le patron d'Apple (lire aussi La Pomme voit rouge).
Cette sortie de Bono vient en réaction à une chronique parue sur le New York Times et dans laquelle son auteur s'interrogeait sur la manière dont Jobs abordait les questions de philanthropie. L'ancien P.D.G d'Apple étant extrêmement discret sur le sujet alors que davantage de publicité est faite sur l’action et les dons de ses pairs, de Bill Gates à Mark Zuckerberg. Il y eu toutefois quelques exceptions publiques comme sa forte implication l'année pour promouvoir l'adoption d'une loi facilitant le don d'organes en Californie ou la présence connue de son épouse, Laurene Powell, au conseil d'administration de l'organisation Teach for America.
Dans une lettre adressée au New York Times, il met en relief la contribution d'Apple aux actions du Fonds, à travers les matériels estampillés (RED). Débutée en 2006 chez Apple, cette opération concerne aujourd'hui une série spéciale d'iPod nano et une Smart Cover pour l'iPad, tous deux vendus exclusivement sur l'Apple Store. Apple ne précise pas la proportion des bénéfices reversés sur chacune de ces ventes, mais les montants accumulés sont importants écrit Bono.
«En tant que fondateur de (PRODUCT) RED, je tiens à souligner que la contribution d'Apple pour notre lutte contre le SIDA en Afrique a été inestimable. Parmi les partenaires de (RED), Apple a été le plus important contributeur au Fonds - en donnant des dizaines de millions de dollars qui ont transformé la vie de plus de deux millions d'Africains à travers le dépistage du VIH, le traitement et la pédagogie. C'est quelque chose de réel et de significatif. Et l'implication d'Apple a encouragé d'autres entreprises à s'engager».
Parmi les autres marques vendant de tels produits on compte Converse, Gap, Dell, Starbuck, Nike ou encore Emporio Armani. Bono ajoute que Jobs - qu'il décrit comme un poète, un artiste et un homme d'affaires - a tout de suite accroché avec l'idée de contribuer à la campagne (RED) « Il n'y a rien de mieux que la chance de pouvoir sauver des vies » lui aurait répondu le patron d'Apple (lire aussi La Pomme voit rouge).
Cette sortie de Bono vient en réaction à une chronique parue sur le New York Times et dans laquelle son auteur s'interrogeait sur la manière dont Jobs abordait les questions de philanthropie. L'ancien P.D.G d'Apple étant extrêmement discret sur le sujet alors que davantage de publicité est faite sur l’action et les dons de ses pairs, de Bill Gates à Mark Zuckerberg. Il y eu toutefois quelques exceptions publiques comme sa forte implication l'année pour promouvoir l'adoption d'une loi facilitant le don d'organes en Californie ou la présence connue de son épouse, Laurene Powell, au conseil d'administration de l'organisation Teach for America.