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Deux thèses s'affrontent : la première veut que les deux hommes aient tout simplement mené leurs missions respectives à bien et aient l'envie (légitime) de passer à autre chose. Après tout, Mac OS X est sur de bons rails, tout comme les Apple Store qui poussent comme des champignons aux quatre coins du monde.
Concernant Ron Johnson, Dan Lyons n'est pas tout à fait de cet avis. Pour lui, son départ est "politique". Le journaliste de Newsweek doute que Steve Jobs revienne à plein temps et estime qu'un remplaçant finira bien par être annoncé tôt ou tard.
Il évoque la thèse de Jean-Louis Gassée, lequel estime que Ron Johnson avait des vues sur le poste, mais s'est rendu compte que sa candidature ne serait pas retenue. À ce petit jeu, Tim Cook est sans doute le mieux placé à ce jour si Apple doit recruter en interne (lire : Apple : le jeu de cadres).
Alors à défaut d'être P.D.G. d'Apple, Ron Jonhson aurait opté pour le même poste, mais chez JC Penney. On rappellera qu'il y a quelques années de cela, Jon Rubinstein, qui a longtemps été Monsieur hardware chez Apple, avait quitté sa retraite dorée pour devenir le patron de Palm, avec le "succès" que l'on sait…
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