Nortel mettra en vente aux enchères 6000 brevets. Initialement, les enchères devaient avoir lieu le 20 juin, elles ont été repoussées d'une semaine.
Le portefeuille de brevets de la société canadienne est extrêmement vaste : cela va des télécommunications sans fil à la recherche sur internet en passant par les réseaux sociaux et les nouvelles technologies de transmission de données pour appareils mobiles.
Google s'est récemment vu valider son offre de 900 millions de dollars par le département américain de la justice, qui étudierait de très près l'offre d'Apple (lire : Apple et Google se disputent les brevets de Nortel). Parmi les autres sociétés susceptibles d'acquérir ces 6000 brevets, il y aurait également sur les rangs RIM, Ericsson, RPX et Nokia.
Si le département américain de la justice ne s'inquiète pas de l'éventualité d'un rachat du portefeuille de brevets de Nortel par Google, ce n'est pas le cas de Microsoft. Redmond a fait part de ses réserves en début de semaine, car il avait signé à ce sujet en 2006 avec la firme canadienne. Elle a déposé une requête auprès du tribunal de Delaware afin qu'une clause soit ajoutée à la session, imposant à l'acquéreur de respecter les précédents accords.
Google est sans doute l’entreprise qui joue le plus gros dans cette affaire. Par rapport à ses concurrents, le géant de l'internet dispose de très peu de brevets (lire : Les brevets : le point faible de HTC et de Google ?). C'est incontestablement l’un de ses principaux points faibles face à des sociétés comme Microsoft, Nokia, et Apple. D'ailleurs suite à l'accord intervenu dans la semaine entre Apple et Nokia (lire : Retour sur l'accord Apple-Nokia), certains observateurs estimaient que les services juridiques des deux compagnies allaient pouvoir concentrer leurs efforts sur Android. À suivre…
Le portefeuille de brevets de la société canadienne est extrêmement vaste : cela va des télécommunications sans fil à la recherche sur internet en passant par les réseaux sociaux et les nouvelles technologies de transmission de données pour appareils mobiles.
Google s'est récemment vu valider son offre de 900 millions de dollars par le département américain de la justice, qui étudierait de très près l'offre d'Apple (lire : Apple et Google se disputent les brevets de Nortel). Parmi les autres sociétés susceptibles d'acquérir ces 6000 brevets, il y aurait également sur les rangs RIM, Ericsson, RPX et Nokia.
Si le département américain de la justice ne s'inquiète pas de l'éventualité d'un rachat du portefeuille de brevets de Nortel par Google, ce n'est pas le cas de Microsoft. Redmond a fait part de ses réserves en début de semaine, car il avait signé à ce sujet en 2006 avec la firme canadienne. Elle a déposé une requête auprès du tribunal de Delaware afin qu'une clause soit ajoutée à la session, imposant à l'acquéreur de respecter les précédents accords.
Google est sans doute l’entreprise qui joue le plus gros dans cette affaire. Par rapport à ses concurrents, le géant de l'internet dispose de très peu de brevets (lire : Les brevets : le point faible de HTC et de Google ?). C'est incontestablement l’un de ses principaux points faibles face à des sociétés comme Microsoft, Nokia, et Apple. D'ailleurs suite à l'accord intervenu dans la semaine entre Apple et Nokia (lire : Retour sur l'accord Apple-Nokia), certains observateurs estimaient que les services juridiques des deux compagnies allaient pouvoir concentrer leurs efforts sur Android. À suivre…