Dans le monde des hautes technologies, les brevets deviennent un enjeu de plus en plus important. On l'a vu encore dernièrement dans le conflit qui oppose Apple à Lodsys (lire : Lodsys : Apple répond et montre les dents). On se souvient également qu'il y a un peu plus d'un mois, Novell a vendu son portefeuille de 885 brevets à CPTN Holdings, une société mise sur pied par Microsoft, Apple, Oracle et EMC pour un montant estimé à 450 millions de dollars (lire : Novell vend ses brevets à Microsoft, Apple, Oracle et EMC).
Cette fois, la firme de Cupertino s'est entendue avec Freescale, l'ancienne division de Motorola, au sujet de plus de 200 brevets, dont certains sont en cours de validation. Les derniers ont été déposés fin 2010. Les brevets en question portent sur plusieurs technologies, qui ont attrait notamment au Wi-Fi, au signal cellulaire, ou encore à l'encodage des données. Apple semble vouloir renforcer sa propriété intellectuelle dans le domaine de la téléphonie mobile où les batailles juridiques sont monnaie courante.
Les détails de la transaction ne sont pas très clairs. On ignore si la firme de Cupertino a réellement acquis les brevets en question ou si elle a obtenu le droit de les utiliser. On ignore également le montant de la transaction (s’il y en a eu une, mais cela semble très probable).
Cette fois, la firme de Cupertino s'est entendue avec Freescale, l'ancienne division de Motorola, au sujet de plus de 200 brevets, dont certains sont en cours de validation. Les derniers ont été déposés fin 2010. Les brevets en question portent sur plusieurs technologies, qui ont attrait notamment au Wi-Fi, au signal cellulaire, ou encore à l'encodage des données. Apple semble vouloir renforcer sa propriété intellectuelle dans le domaine de la téléphonie mobile où les batailles juridiques sont monnaie courante.
Les détails de la transaction ne sont pas très clairs. On ignore si la firme de Cupertino a réellement acquis les brevets en question ou si elle a obtenu le droit de les utiliser. On ignore également le montant de la transaction (s’il y en a eu une, mais cela semble très probable).