
Ce genre de propos n'est pas nouveau dans la bouche d'un responsable d'Intel. En janvier 2008, lors du lancement du MacBook Air, Paul Otellini, le patron du fondeur avait présenté la réduction de la taille du Core 2 Duo utilisé par ce portable comme un challenge d'Apple lancé à ses équipes.
Malgré l'infidélité faite pour l'équipement en processeurs des appareils iOS, les deux entreprises ont travaillé main dans la main pour Thunderbolt, né dans les labos d'Intel et adopté pleinement et en priorité par la Pomme.
Kilroy a également écarté l'idée selon laquelle Apple pourrait remplacer les puces maison par des processeurs ARM dans de futures machines, et en particulier les portables (lire aussi ARM : le MacBook Air, le candidat idéal pour débuter la transition ?). La contrainte serait assez simple : l'écart de performances “Regardez les performances de ces plateformes. Ils prennent nos versions haut de gamme de la seconde génération Core, et ARM n'est pas en mesure d'offrir des capacités ne serait-ce qu'approchantes”.