Intel a (enfin) dévoilé sa gamme de processeurs Core i3, i5 et i7 de deuxième génération, plus connu sous le nom de Sandy Bridge. Ce sont pas moins de 29 nouveaux processeurs qui sont présentés, pour les ordinateurs portables comme pour les ordinateurs de bureau.
La plateforme Sandy Bridge, gravée en 32nm, s'approche d'un système-sur-puce en intégrant processeur central, processeur graphique et contrôleur mémoire sur la même puce. Cette nouvelle architecture permet de gagner de la place en intégrant les composants les uns aux autres, notamment dans les ordinateurs portables.
Intel jure que les unités graphiques HD 2000 et 3000 sont deux fois plus puissantes que la précédente génération : les premiers tests avaient montré des performances au niveau de cartes graphiques dédiées d'entrée de gamme comme la ATI Radeon HD 5450 pour le composant intégré au Core i5, celui du Core i3 tirant son épingle du jeu dans la décompression HD.
De même, Hyper Threading (cœurs virtuels) et Turbo Boost (désactivation des cœurs inutilisés pour augmenter la fréquence d'un seul cœur) ont été améliorés, Intel promettant une augmentation des performances de 60 % sur les modèles à quatre cœurs.
Le nom des processeurs change, même si les habitués du catalogue d'Intel ne seront pas dépaysés. Le nom commence toujours par « Intel Core », auquel il faut ajouter la gamme, i3, i5 ou i7. Le numéro du processeur passe à quatre chiffres : le premier est toujours un 2, pour indiquer qu'il s'agit de la deuxième génération. Enfin, une lettre est apposée en suffixe, K pour un modèle débloqué (on pourra les overclocker sur carte-mère P67 Express), S pour les processeurs optimisés performances, T pour les modèles optimisés énergie.
Des 29 nouveaux processeurs annoncés, 4 sont des Core i3, 12 des Core i5, 12 des Core i7, et un est un Core i7 Extreme. La plupart des nouveautés concernent les processeurs pour portables « SV » (Standard Voltage), tous compatibles avec l'Hyper Threading et le Turbo Boost (sauf le modèle Core i3). Les TDP s'établissent entre 35 et 55 W pour des fréquences de 2 à 2,7 GHz en 2 et 4 cœurs.
La gamme « éco » d'Intel pour les ordinateurs ultraportables (LV et ULV pour Low et Ultra Low Voltage) s'étend, avec 5 modèles dont 4 Core i7. On descend à 17 W de consommation en i5 comme en i7 avec des fréquences de 1,4 GHz à 1,6 GHz et la compatibilité Turbo Boost et Hyper Threading : pour peu que les performances graphiques soient décentes, on pourrait voir un de ses modèles dans le MacBook Air, puisqu'ils ne seront disponibles qu'au deuxième semestre 2011.
La ligne bureau est plus classique, avec des TDP à 95 W sauf pour la gamme i3 qui tourne à 65 W, et des fréquences entre 2,8 et 3,4 GHz en 2 et 4 cœurs. La segmentation est cette fois plus forte, les Core i5 devant se passer d'Hyper Threading. Comme pour les puces pour portales, les modèles quatre cœurs devraient être disponibles dès cette semaine, les modèles deux cœurs en février.
Intel a aussi annoncé Quick Sync, une technologie d'encodage matériel en H.264 et MPEG-2 qui serait 17 fois plus performante qu'une solution similaire avec les anciens composants graphiques Intel ; InTru 3D, une technologie de lecteur de Blu-ray 3D via HDMI et enfin WiDI 2.0, la nouvelle version de cette fonction de transmission vidéo sans fil, qui supporte désormais la HD 1080p. Ces trois technologies sont supportées par Sandy Bridge.
La plateforme Sandy Bridge, gravée en 32nm, s'approche d'un système-sur-puce en intégrant processeur central, processeur graphique et contrôleur mémoire sur la même puce. Cette nouvelle architecture permet de gagner de la place en intégrant les composants les uns aux autres, notamment dans les ordinateurs portables.
Intel jure que les unités graphiques HD 2000 et 3000 sont deux fois plus puissantes que la précédente génération : les premiers tests avaient montré des performances au niveau de cartes graphiques dédiées d'entrée de gamme comme la ATI Radeon HD 5450 pour le composant intégré au Core i5, celui du Core i3 tirant son épingle du jeu dans la décompression HD.
De même, Hyper Threading (cœurs virtuels) et Turbo Boost (désactivation des cœurs inutilisés pour augmenter la fréquence d'un seul cœur) ont été améliorés, Intel promettant une augmentation des performances de 60 % sur les modèles à quatre cœurs.
Le nom des processeurs change, même si les habitués du catalogue d'Intel ne seront pas dépaysés. Le nom commence toujours par « Intel Core », auquel il faut ajouter la gamme, i3, i5 ou i7. Le numéro du processeur passe à quatre chiffres : le premier est toujours un 2, pour indiquer qu'il s'agit de la deuxième génération. Enfin, une lettre est apposée en suffixe, K pour un modèle débloqué (on pourra les overclocker sur carte-mère P67 Express), S pour les processeurs optimisés performances, T pour les modèles optimisés énergie.
Des 29 nouveaux processeurs annoncés, 4 sont des Core i3, 12 des Core i5, 12 des Core i7, et un est un Core i7 Extreme. La plupart des nouveautés concernent les processeurs pour portables « SV » (Standard Voltage), tous compatibles avec l'Hyper Threading et le Turbo Boost (sauf le modèle Core i3). Les TDP s'établissent entre 35 et 55 W pour des fréquences de 2 à 2,7 GHz en 2 et 4 cœurs.
La gamme « éco » d'Intel pour les ordinateurs ultraportables (LV et ULV pour Low et Ultra Low Voltage) s'étend, avec 5 modèles dont 4 Core i7. On descend à 17 W de consommation en i5 comme en i7 avec des fréquences de 1,4 GHz à 1,6 GHz et la compatibilité Turbo Boost et Hyper Threading : pour peu que les performances graphiques soient décentes, on pourrait voir un de ses modèles dans le MacBook Air, puisqu'ils ne seront disponibles qu'au deuxième semestre 2011.
La ligne bureau est plus classique, avec des TDP à 95 W sauf pour la gamme i3 qui tourne à 65 W, et des fréquences entre 2,8 et 3,4 GHz en 2 et 4 cœurs. La segmentation est cette fois plus forte, les Core i5 devant se passer d'Hyper Threading. Comme pour les puces pour portales, les modèles quatre cœurs devraient être disponibles dès cette semaine, les modèles deux cœurs en février.
Intel a aussi annoncé Quick Sync, une technologie d'encodage matériel en H.264 et MPEG-2 qui serait 17 fois plus performante qu'une solution similaire avec les anciens composants graphiques Intel ; InTru 3D, une technologie de lecteur de Blu-ray 3D via HDMI et enfin WiDI 2.0, la nouvelle version de cette fonction de transmission vidéo sans fil, qui supporte désormais la HD 1080p. Ces trois technologies sont supportées par Sandy Bridge.