
Mais l'affaire pour le moment est mal engagée pour le cofondateur de Microsoft. Le juge chargé d'examiner la plainte estime que la requête de Paul Allen manque de précision. Le plaignant a jusqu'au 28 décembre pour revoir sa copie et repréciser l'objet de sa plainte.
Cette décision n'est pas tout à fait surprenante. En octobre dernier, Google, Apple et quelques autres avaient tenté d'annuler l'attaque en justice estimant que le dossier était d'une rare faiblesse et qu'il était impossible pour eux d'y répondre (lire : Apple contre-attaque à son tour Paul Allen). Paul Allen a d'ores et déjà fait savoir qu'il ne comptait pas en rester là.