The Document Foundation (TDF), l'organisation qui supervise le développement de LibreOffice a donné quelques détails sur les évolutions attendues dans cette suite dérivée d'OpenOffice.org (lire OpenOffice.org divorce et devient LibreOffice). Dans une mailing liste, Florian Effenberger l'un des responsables de la nouvelle équipe écrit :
"LibreOffice 3.3 est basée sur OOo 3.3, avec des optimisations de code et de nombreuses nouvelles fonctionnalités, qui vont offrir un premier aperçu des orientations de développement pour 2011 et au-delà. Les fondateurs de la TDF envisagent un avenir complètement différent pour le paradigme de la suite bureautique qui dans sa forme actuelle a plus de 20 ans. Il sera basé sur le document (où le logiciel est une couche responsable de la création ou de la présentation du contenu).”
Les développeurs engagés derrière Libre Office [3.3 bêta - 174 Mo - ressources VF/14 Mo] travaillent pour l'heure à l'amélioration de la qualité générale du code d'OpenOffice.org, avec comme autre objectif de rendre les tests et le contrôle qualité du logiciel plus simples. Il y aurait un peu plus de 90 personnes attelées à cette tâche. C'est aussi pourquoi la version actuelle ne montre pas encore de gros changements.
Florian Effenberger explique ensuite que les modules constituant la suite vont être amplement réécrits. Premier à y passer, le tableur Calc. Il sera doté d'un nouveau moteur (baptisé Ixion) donné comme plus performant, véritablement “versatile” et proposant une fonction de base de données et le support des macros VBA de Microsoft.
Writer, le traitement de texte devrait s'améliorer sur le respect de la mise en page tandis qu'Impress, l'outil de présentation va revoir la précision de ses diaporamas.
Les changements à venir se partageront entre un maintien de la compatibilité avec Office et l'arrivée “d'innovations radicales”. Il s'agit aussi explique Effenberger d'être plus efficace dans la conversion de fichiers entre différents formats ; de “libérer les contenus” et de réduire la dépendance à Java.
“Les utilisateurs lisent, rédigent, modifient et partagent des documents, et ils sont plus focalisés sur les contenus que sur les fonctionnalités. Après 20 ans de fonctions orientées vers le logiciel, l'heure est venue de remettre le contenu au centre des préoccupations de l'utilisateur” conclut en guise de profession de foi Italo Vignoli, autre responsable de la TDF.
"LibreOffice 3.3 est basée sur OOo 3.3, avec des optimisations de code et de nombreuses nouvelles fonctionnalités, qui vont offrir un premier aperçu des orientations de développement pour 2011 et au-delà. Les fondateurs de la TDF envisagent un avenir complètement différent pour le paradigme de la suite bureautique qui dans sa forme actuelle a plus de 20 ans. Il sera basé sur le document (où le logiciel est une couche responsable de la création ou de la présentation du contenu).”
Les développeurs engagés derrière Libre Office [3.3 bêta - 174 Mo - ressources VF/14 Mo] travaillent pour l'heure à l'amélioration de la qualité générale du code d'OpenOffice.org, avec comme autre objectif de rendre les tests et le contrôle qualité du logiciel plus simples. Il y aurait un peu plus de 90 personnes attelées à cette tâche. C'est aussi pourquoi la version actuelle ne montre pas encore de gros changements.
Florian Effenberger explique ensuite que les modules constituant la suite vont être amplement réécrits. Premier à y passer, le tableur Calc. Il sera doté d'un nouveau moteur (baptisé Ixion) donné comme plus performant, véritablement “versatile” et proposant une fonction de base de données et le support des macros VBA de Microsoft.
Writer, le traitement de texte devrait s'améliorer sur le respect de la mise en page tandis qu'Impress, l'outil de présentation va revoir la précision de ses diaporamas.
Les changements à venir se partageront entre un maintien de la compatibilité avec Office et l'arrivée “d'innovations radicales”. Il s'agit aussi explique Effenberger d'être plus efficace dans la conversion de fichiers entre différents formats ; de “libérer les contenus” et de réduire la dépendance à Java.
“Les utilisateurs lisent, rédigent, modifient et partagent des documents, et ils sont plus focalisés sur les contenus que sur les fonctionnalités. Après 20 ans de fonctions orientées vers le logiciel, l'heure est venue de remettre le contenu au centre des préoccupations de l'utilisateur” conclut en guise de profession de foi Italo Vignoli, autre responsable de la TDF.