Les anglais de Realmac Sofware se joignent au cortège naissant des éditeurs disposés à figurer sur le prochain Mac App Store (lire aussi Ils veulent être sur le Mac App Store). Ils vont y proposer RapidWeaver (éditeur de sites web), LittleSnapper (catalogueur de pages web), Socialite (gestion de services de réseaux sociaux) et Courier (expédition d'images sur Flickr, Facebook, un FTP, YouTube…).
De leur point de vue, cette boutique offre des avantages indéniables mais des questions restent encore sans réponses. Côté verre plein “pour la majorité de la communauté Mac cela signifie que la gestion des ventes, la facturation, les emails de confirmation, l'enregistrement des numéros de série et toutes sortes de procédures d'installation appartiendront au passé. Et ce ne peut être qu'une bonne chose”
Côté verre vide ou plutôt flou il y a le fait que le Mac App Store n'autorise pas les mises à jour payantes, et le fait que Realmac a déjà sa boutique. Jobs a bien précisé que son store serait l'une des échoppes possibles pour acheter des logiciels Mac mais les développeurs devront proposer une offre cohérente, ne serait-ce que sur les prix. Realmac sur ce point ne détaille pas encore sa position.
L'éditeur se dit cependant en parfait accord avec les règles de validation d'Apple. Il trouve aussi, pour sa part, que la Pomme depuis un peu plus de deux ans est davantage à l'écoute de ses partenaires et de leurs remarques à propos des règles de validation.
Pour mémoire, Apple impose différentes restrictions aux logiciels candidats à apparaître sur cette boutique. Ne sont pas les bienvenues :
• Les applications avec des fonctionnalités cachées : les logiciels incluant des fonctions non documentées ou cachées sans rapport avec la description de l'application.
• Les applications en versions bêta ou les versions de démonstration
• Les clones d'applications déjà présentes dans l'App Store, en particulier si la catégorie en compte beaucoup
• Les applications incitant à la consommation de drogue ou d'alcool
• Les applications nécessitant l'utilisation d'une clé (numéro de série)
• Les applications utilisant des technologies annexes optionnelles comme Java ou Rosetta (l'émulateur PowerPC pour Mac Intel)
• Les applications qui se lancent automatiquement au démarrage du Mac
• Les applications qui ajoutent automatiquement leur icône au Dock ou sur le bureau
• Les applications copiant les produits Apple comme le Finder, iChat, iTunes ou Dashboard
• Les applications qui modifient l'interface de Mac OS X
• Les applications qui incluent du contenu à louer qui expire après un certain temps
• Les applications qui récupèrent du contenu sur Internet sans nouveauté comme celles qui se contentent de récupérer des liens sur Internet
• Les applications qui collectent des données sur l'utilisateur et qui les transmettent sans l'accord de l'utilisateur
• Les clones de Chatroulette
• Les applications qui contiennent du contenu sujet à caution
• Les applications pornographiques
• Les applications de jeu d'argent
• Les applications de partage de fichiers (P2P, Torrent, etc.)
• Les applications religieuses doivent avoir un caractère informatif
Sur le même sujet :
- Test de Courier
De leur point de vue, cette boutique offre des avantages indéniables mais des questions restent encore sans réponses. Côté verre plein “pour la majorité de la communauté Mac cela signifie que la gestion des ventes, la facturation, les emails de confirmation, l'enregistrement des numéros de série et toutes sortes de procédures d'installation appartiendront au passé. Et ce ne peut être qu'une bonne chose”
Côté verre vide ou plutôt flou il y a le fait que le Mac App Store n'autorise pas les mises à jour payantes, et le fait que Realmac a déjà sa boutique. Jobs a bien précisé que son store serait l'une des échoppes possibles pour acheter des logiciels Mac mais les développeurs devront proposer une offre cohérente, ne serait-ce que sur les prix. Realmac sur ce point ne détaille pas encore sa position.
L'éditeur se dit cependant en parfait accord avec les règles de validation d'Apple. Il trouve aussi, pour sa part, que la Pomme depuis un peu plus de deux ans est davantage à l'écoute de ses partenaires et de leurs remarques à propos des règles de validation.
Pour mémoire, Apple impose différentes restrictions aux logiciels candidats à apparaître sur cette boutique. Ne sont pas les bienvenues :
• Les applications avec des fonctionnalités cachées : les logiciels incluant des fonctions non documentées ou cachées sans rapport avec la description de l'application.
• Les applications en versions bêta ou les versions de démonstration
• Les clones d'applications déjà présentes dans l'App Store, en particulier si la catégorie en compte beaucoup
• Les applications incitant à la consommation de drogue ou d'alcool
• Les applications nécessitant l'utilisation d'une clé (numéro de série)
• Les applications utilisant des technologies annexes optionnelles comme Java ou Rosetta (l'émulateur PowerPC pour Mac Intel)
• Les applications qui se lancent automatiquement au démarrage du Mac
• Les applications qui ajoutent automatiquement leur icône au Dock ou sur le bureau
• Les applications copiant les produits Apple comme le Finder, iChat, iTunes ou Dashboard
• Les applications qui modifient l'interface de Mac OS X
• Les applications qui incluent du contenu à louer qui expire après un certain temps
• Les applications qui récupèrent du contenu sur Internet sans nouveauté comme celles qui se contentent de récupérer des liens sur Internet
• Les applications qui collectent des données sur l'utilisateur et qui les transmettent sans l'accord de l'utilisateur
• Les clones de Chatroulette
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• Les applications de jeu d'argent
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• Les applications religieuses doivent avoir un caractère informatif
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