C'est aujourd'hui qu'Onlive ouvre ses portes au public américain. Le service permet d'exécuter des jeux vidéos dont les images sont calculées à distance par le serveur, votre ordinateur se contentant d'afficher le résultat comme une banale vidéo et d'envoyer vos commandes au serveur.
Cette technologie présente des intérêts multiples : plus de temps de chargement, plus d'espace utilisé sur le disque dur, des logiciels toujours à jour, l'accès à des jeux qui jusqu'ici n'étaient pas disponibles sur Mac, et des graphismes qui peuvent dépasser les capacités de votre machine. A tel point qu'Onlive commercialisera prochainement une "micro-console", à brancher sur un téléviseur, dont les capacités se limitent aux mêmes fonctions. Onlive se plaît à la décrire comme "la dernière console que vous achèterez", puisque les serveurs seront toujours à même d'afficher les derniers jeux les plus gourmands sans que vous ayez à mettre à jour votre matériel.
Ainsi, dans la vingtaine de titres disponibles, il devient désormais possible de jouer, en "plus natif que natif", à Assassin's Creed II, Batman: Arkham Asylum, Borderlands, Colin McRae: Dirt 2, Just Cause 2, Lego Harry Potter: Years 1-4, Mass Effect 2, NBA 2K10, Prince of Persia: Forgotten Sands, Splinter Cell: Conviction ou encore Dragon Age Origin, par ailleurs déjà disponible sur Mac auparavant. D'autres s'ajouteront au fur et à mesure. Onlive indique que tous ces jeux fonctionnent sans problème sur n'importe quel Mac à base de processeur Intel. Chaque jeu ajouté au service est immédiatement disponible sur toutes les plateformes sans autre forme de procès.
Le service propose nombre de fonctionnalités supplémentaires, comme la possibilité d'assister à des matches en ligne, de sauvegarder les dernières 30 secondes de vos exploits pour les faire connaître au monde entier, de commencer une partie sur une machine pour la poursuivre sur une autre, d'empêcher la triche (tout comme le piratage et la revente sur le marché de l'occasion), etc… Bref, il s'agit là de rien de moins qu'un véritable révolution pour l'industrie du jeu vidéo, que certains acteurs regardent avec quelque inquiétude, et d'autres avec un enthousiasme manifeste.
Par exemple, on retrouve dans Onlive nombre de fonctions qui ont été ajoutées à la dernière version de Steam, et il est probable que l'arrivée d'Onlive aura participé à la décision de Valve Software d'investir le Mac.
Il faut s'acquitter d'un abonnement mensuel en plus des jeux qu'on souhaite acheter sur le magasin, quoi qu'AT&T a subventionné un an d'abonnement pour une quantité limitée d'utilisateurs. Onlive a commencé à signer des accords avec des opérateurs européens (lire Onlive arrive en Europe), mais aucune date n'a encore été avancée pour la France.
Enfin, pour démontrer les facultés d'adaptation de son service, Onlive a présenté une démonstration sur un iPad, clairement incapable sur le papier de faire fonctionner ces jeux. Au delà de la démonstration, Onlive réfléchit à proposer un client officiel sur l'App Store, mais il reste de nombreuses questions à régler, tant sur le plan de la maniabilité pour une interface homme-machine si radicalement différente et non prise en compte par les jeux concernés, que sur des questions de lisibilité sur le petit écran de l'iPhone par exemple.
Cette technologie présente des intérêts multiples : plus de temps de chargement, plus d'espace utilisé sur le disque dur, des logiciels toujours à jour, l'accès à des jeux qui jusqu'ici n'étaient pas disponibles sur Mac, et des graphismes qui peuvent dépasser les capacités de votre machine. A tel point qu'Onlive commercialisera prochainement une "micro-console", à brancher sur un téléviseur, dont les capacités se limitent aux mêmes fonctions. Onlive se plaît à la décrire comme "la dernière console que vous achèterez", puisque les serveurs seront toujours à même d'afficher les derniers jeux les plus gourmands sans que vous ayez à mettre à jour votre matériel.
Ainsi, dans la vingtaine de titres disponibles, il devient désormais possible de jouer, en "plus natif que natif", à Assassin's Creed II, Batman: Arkham Asylum, Borderlands, Colin McRae: Dirt 2, Just Cause 2, Lego Harry Potter: Years 1-4, Mass Effect 2, NBA 2K10, Prince of Persia: Forgotten Sands, Splinter Cell: Conviction ou encore Dragon Age Origin, par ailleurs déjà disponible sur Mac auparavant. D'autres s'ajouteront au fur et à mesure. Onlive indique que tous ces jeux fonctionnent sans problème sur n'importe quel Mac à base de processeur Intel. Chaque jeu ajouté au service est immédiatement disponible sur toutes les plateformes sans autre forme de procès.
Le service propose nombre de fonctionnalités supplémentaires, comme la possibilité d'assister à des matches en ligne, de sauvegarder les dernières 30 secondes de vos exploits pour les faire connaître au monde entier, de commencer une partie sur une machine pour la poursuivre sur une autre, d'empêcher la triche (tout comme le piratage et la revente sur le marché de l'occasion), etc… Bref, il s'agit là de rien de moins qu'un véritable révolution pour l'industrie du jeu vidéo, que certains acteurs regardent avec quelque inquiétude, et d'autres avec un enthousiasme manifeste.
Par exemple, on retrouve dans Onlive nombre de fonctions qui ont été ajoutées à la dernière version de Steam, et il est probable que l'arrivée d'Onlive aura participé à la décision de Valve Software d'investir le Mac.
Il faut s'acquitter d'un abonnement mensuel en plus des jeux qu'on souhaite acheter sur le magasin, quoi qu'AT&T a subventionné un an d'abonnement pour une quantité limitée d'utilisateurs. Onlive a commencé à signer des accords avec des opérateurs européens (lire Onlive arrive en Europe), mais aucune date n'a encore été avancée pour la France.
Enfin, pour démontrer les facultés d'adaptation de son service, Onlive a présenté une démonstration sur un iPad, clairement incapable sur le papier de faire fonctionner ces jeux. Au delà de la démonstration, Onlive réfléchit à proposer un client officiel sur l'App Store, mais il reste de nombreuses questions à régler, tant sur le plan de la maniabilité pour une interface homme-machine si radicalement différente et non prise en compte par les jeux concernés, que sur des questions de lisibilité sur le petit écran de l'iPhone par exemple.