"Nous avons convenu de ne pas dévoiler le contenu de notre accord". Yusuf Mehdi, Senior Vice President Online Audience Business Group chez Microsoft a, sans surprise, botté en touche à la question de savoir quels étaient les termes de l'arrangement qui a vu Bing rejoindre Yahoo et Google dans Safari.
Mozilla par exemple fait la majorité de son chiffre d'affaires au moyen d'accords avec les sociétés listées dans son moteur de recherche. On y trouve Amazon ou Yahoo, mais Google a représenté 91% du chiffre d'affaires de la fondation pour 2008…
Il va sans dire qu'Apple n'a pas dû proposer un siège à Microsoft dans Safari par simple gentillesse. Mais à en croire Yusuf Mehdi, qui s'exprimait lors d'une conférence sur les moteurs de recherche, c'est nous, les utilisateurs, qui avons pesé dans cette décision.
"Ils [Apple] nous ont dit 'nos clients disent qu'ils adoreraient essayer Bing, et le choix est une bonne chose pour les clients". Face à tous ces utilisateurs chez qui, pas un seul instant, il n'était venu l'idée de taper bing.com dans le champ d'adresse de Safari… Apple a donc donné son feu vert "Ce fut du coup une discussion très aisée" a continué Mehdi.
Apple aurait été également très séduite par ce que Microsoft prépare avec le HTML5 pour la future mise à jour de l'application Bing pour iPhone (elle a été un temps disponible sur l'App Store français avant de ne l'être plus que sur l'américain). Une révision attendue ces prochains mois.
Mehdi a toutefois concédé que beaucoup de travail restait à faire sur Bing, dont certaines sections marchent fort (shopping, recherche de recettes de cuisine en fonction d'une liste d'aliments…) alors que d'autres initiatives ont échoué (réduction sur des achats faits après une recherche sur Bing).
Mozilla par exemple fait la majorité de son chiffre d'affaires au moyen d'accords avec les sociétés listées dans son moteur de recherche. On y trouve Amazon ou Yahoo, mais Google a représenté 91% du chiffre d'affaires de la fondation pour 2008…
Il va sans dire qu'Apple n'a pas dû proposer un siège à Microsoft dans Safari par simple gentillesse. Mais à en croire Yusuf Mehdi, qui s'exprimait lors d'une conférence sur les moteurs de recherche, c'est nous, les utilisateurs, qui avons pesé dans cette décision.
"Ils [Apple] nous ont dit 'nos clients disent qu'ils adoreraient essayer Bing, et le choix est une bonne chose pour les clients". Face à tous ces utilisateurs chez qui, pas un seul instant, il n'était venu l'idée de taper bing.com dans le champ d'adresse de Safari… Apple a donc donné son feu vert "Ce fut du coup une discussion très aisée" a continué Mehdi.
Apple aurait été également très séduite par ce que Microsoft prépare avec le HTML5 pour la future mise à jour de l'application Bing pour iPhone (elle a été un temps disponible sur l'App Store français avant de ne l'être plus que sur l'américain). Une révision attendue ces prochains mois.
Mehdi a toutefois concédé que beaucoup de travail restait à faire sur Bing, dont certaines sections marchent fort (shopping, recherche de recettes de cuisine en fonction d'une liste d'aliments…) alors que d'autres initiatives ont échoué (réduction sur des achats faits après une recherche sur Bing).