Flurry Analytics a répondu à la pique de Steve Jobs qui s'est dit échaudé que la firme de statistiques ait pu repérer l'iPad à Cupertino lors de son développement (lire : Steve Jobs : Le PC est un camion). Le système de collecte des données de Flurry a été mis en cause : il envoie des informations vers les serveurs de la société sans avertir l'utilisateur.
Apple a réagi en interdisant la collecte de certaines données, ne la permettant que dans le seul cas où les statistiques sont liées à une régie publicitaire (ce qui ne ferme donc pas la porte à la concurrence d'iAd). Flurry a répondu qu'elle « se conformerait aux dispositions d'Apple » en la matière.
Flurry va donc mettre à jour son service de statistiques pour répondre à la clause 3.3.9 du contrat développeur de l'iPhone OS : « nous ne collecterons plus les informations identifiant l'appareil […] les modifications requises n'auront qu'un impact mineur sur ce que nous apportons d'utile aux développeurs ».
C'est un nouveau pas pour Flurry, après le projet « Privacy First Initiative » (« La vie privée d'abord »), qui oblige les développeurs utilisant la plateforme Flurry à afficher les conditions d'utilisation du service et à permettre à l'utilisateur de refuser la collecte des données. Il faudra aussi proposer un bouton permettant de supprimer les données déjà collectées, et la géolocalisation sera limitée à l'échelle de la ville.
Apple a réagi en interdisant la collecte de certaines données, ne la permettant que dans le seul cas où les statistiques sont liées à une régie publicitaire (ce qui ne ferme donc pas la porte à la concurrence d'iAd). Flurry a répondu qu'elle « se conformerait aux dispositions d'Apple » en la matière.
Flurry va donc mettre à jour son service de statistiques pour répondre à la clause 3.3.9 du contrat développeur de l'iPhone OS : « nous ne collecterons plus les informations identifiant l'appareil […] les modifications requises n'auront qu'un impact mineur sur ce que nous apportons d'utile aux développeurs ».
C'est un nouveau pas pour Flurry, après le projet « Privacy First Initiative » (« La vie privée d'abord »), qui oblige les développeurs utilisant la plateforme Flurry à afficher les conditions d'utilisation du service et à permettre à l'utilisateur de refuser la collecte des données. Il faudra aussi proposer un bouton permettant de supprimer les données déjà collectées, et la géolocalisation sera limitée à l'échelle de la ville.