Alors que certains se posent des questions sur le portage sur Mac des jeux Valve (lire : Le Source Engine de Valve, pas natif OpenGL ?), Anandtech s'est livré à un rapide comparatif de Portal sur Mac et sous Windows.
Pour la petite histoire, le test a été réalisé sur un Hackintosh, ce qui a permis de faire le test sous Mac OS X 10.6.3 et sous Windows 7 Ultimate sur la même machine, équipée d'un processeur Intel Core i7 à 3,33 GHz, 6 Go de RAM, un disque SSD 120 Go, et une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 285.
La qualité de rendu d'image est différente entre la version Windows et la version Mac (en 2560x1600 au maximum des réglages) : les images de la version Windows sont plus détaillées, plus nettes, alors que la version Mac présente des frames moins détaillés, avec des textures moins marquées. La différence n'est pas frappante, mais visible lorsque l'on compare les deux versions côte-à-côte.
Côté performances pures, Anandtech relève l'approche assez conservative de Mac OS X en termes de pilotes graphiques, et le retard pris par Apple dans l'implémentation d'OpenGL (lire : Rendez-vous manqué avec OpenGL 3.0). Toujours en poussant les réglages au maximum, mais en variant les résolutions de 1280x800 à 2560x1600, la version Mac de Portal tourne au mieux à 66 % de la vitesse de la version Windows (1280x800), au pire à 54 % seulement (2560x1600).
En fait, la version Mac de Portal se comporte très différemment de la version Windows : alors que sous Windows, c'est le processeur qui limite dès lors que la carte graphique est suffisamment puissante, sous Mac OS X, c'est la carte graphique qui limite. Néanmoins, le framerate reste toujours relativement bon, avec une moyenne à 60 images par seconde.
En résumé, le portage Mac de Portal ne souffre pas trop et est largement utilisable, mais reste en retrait par rapport à la version Windows.
Pour la petite histoire, le test a été réalisé sur un Hackintosh, ce qui a permis de faire le test sous Mac OS X 10.6.3 et sous Windows 7 Ultimate sur la même machine, équipée d'un processeur Intel Core i7 à 3,33 GHz, 6 Go de RAM, un disque SSD 120 Go, et une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 285.
La qualité de rendu d'image est différente entre la version Windows et la version Mac (en 2560x1600 au maximum des réglages) : les images de la version Windows sont plus détaillées, plus nettes, alors que la version Mac présente des frames moins détaillés, avec des textures moins marquées. La différence n'est pas frappante, mais visible lorsque l'on compare les deux versions côte-à-côte.
La version Windows (cliquez pour agrandir)
La version Mac (cliquez pour agrandir)
Côté performances pures, Anandtech relève l'approche assez conservative de Mac OS X en termes de pilotes graphiques, et le retard pris par Apple dans l'implémentation d'OpenGL (lire : Rendez-vous manqué avec OpenGL 3.0). Toujours en poussant les réglages au maximum, mais en variant les résolutions de 1280x800 à 2560x1600, la version Mac de Portal tourne au mieux à 66 % de la vitesse de la version Windows (1280x800), au pire à 54 % seulement (2560x1600).
En fait, la version Mac de Portal se comporte très différemment de la version Windows : alors que sous Windows, c'est le processeur qui limite dès lors que la carte graphique est suffisamment puissante, sous Mac OS X, c'est la carte graphique qui limite. Néanmoins, le framerate reste toujours relativement bon, avec une moyenne à 60 images par seconde.
En résumé, le portage Mac de Portal ne souffre pas trop et est largement utilisable, mais reste en retrait par rapport à la version Windows.