« Avec iAd, Apple va passer de la création de publicités à la vente d'encarts publicitaires », explique John Battelle, qui considère Steve Jobs comme un des meilleurs spécialistes du marketing actuellement, si ce n'est le meilleur.
Ce rang un peu particulier de Steve Jobs, qui « rend magique tout ce qu'il fait », est, selon Battelle, un des arguments attirant les annonceurs vers iAd. Ainsi, lors des négociations avec les annonceurs, les représentants d'Apple auraient sorti leur botte secrète. Non content de faire leur démonstration sur ce qu'ils décrivent être « l'iPhone personnel de Steve Jobs », ils ont appris aux annonceurs que les premiers à acheter des iAds auront « l'honneur » « d'être mentionné par Steve Jobs sur scène » lors de ses keynotes.
Un chef d'agence a confié que cela « valait son pesant de cacahuètes ». Battelle fait de cet argument l'équivalent d'un billet d'or dans Charlie et la chocolaterie, un « cadeau », qui est la « chance d'être associé au génie du marketing » qu'est Steve Jobs, l'espace d'un keynote.
Plus sérieusement, ce « cadeau » est symptomatique d'un des aspects d'iAd : avec cette plateforme très fortement intégrée à l'iPhone OS, Apple ne vend pas que des espaces publicitaires. Elle vend des espaces publicitaires dans l'iPhone, dans l'iPod touch, bientôt dans l'iPad, produits qui ont atteint le statut d'icône. Pour Battelle, avec iAd, « Apple se vend elle-même ». Une image de marque très forte qui a elle seule peut attirer les annonceurs : « les annonceurs n'aiment rien de plus que d'être associés avec des environnements de qualité ».
Ce rang un peu particulier de Steve Jobs, qui « rend magique tout ce qu'il fait », est, selon Battelle, un des arguments attirant les annonceurs vers iAd. Ainsi, lors des négociations avec les annonceurs, les représentants d'Apple auraient sorti leur botte secrète. Non content de faire leur démonstration sur ce qu'ils décrivent être « l'iPhone personnel de Steve Jobs », ils ont appris aux annonceurs que les premiers à acheter des iAds auront « l'honneur » « d'être mentionné par Steve Jobs sur scène » lors de ses keynotes.
Un chef d'agence a confié que cela « valait son pesant de cacahuètes ». Battelle fait de cet argument l'équivalent d'un billet d'or dans Charlie et la chocolaterie, un « cadeau », qui est la « chance d'être associé au génie du marketing » qu'est Steve Jobs, l'espace d'un keynote.
Plus sérieusement, ce « cadeau » est symptomatique d'un des aspects d'iAd : avec cette plateforme très fortement intégrée à l'iPhone OS, Apple ne vend pas que des espaces publicitaires. Elle vend des espaces publicitaires dans l'iPhone, dans l'iPod touch, bientôt dans l'iPad, produits qui ont atteint le statut d'icône. Pour Battelle, avec iAd, « Apple se vend elle-même ». Une image de marque très forte qui a elle seule peut attirer les annonceurs : « les annonceurs n'aiment rien de plus que d'être associés avec des environnements de qualité ».