On l'a déjà dit : ouverture et flexibilité sont des points forts de la plateforme HTML5, mais il manque encore à ces technologies standard un environnement de développement intégré. Il semble qu'un Flash pour HTML5 soit plus ou moins en route si l'on en croit Kevin Lynch, le directeur technique d'Adobe.
« Ce n'est pas HTML5 contre Flash [la technologie]. Ils s'enrichissent l'un l'autre. » Certes, mais avec une petite pique quand même : « la question la plus importante est celle de la liberté de choix sur le Web ».
Il est évident que le logiciel Flash a fait une partie du succès de cette technologie en favorisant la création de contenu, et Adobe semble vouloir ne pas manquer l'occasion de faire la même chose pour le HTML5 : « nous allons faire de bons outils pour le HTML5. Nous allons faire les meilleurs outils du monde pour le HTML5 ». Reste à savoir si c'est Dreamweaver qui sera perfectionné, ou si Adobe a quelque chose d'autre en tête.
En attendant, c'est ARM qui s'est positionné dans la guerre de communication à l'encontre de Flash. Dans sa lettre, Steve Jobs rappelait que Flash aurait dû arriver sur smartphones début 2009, et y débarque à peine. Pour Ian Drew, vice-président marketing d'ARM, ce retard serait en partie responsable du peu d'enthousiasme pour les smartbooks, appareils entre smartphones et netbooks — on vous laisse trouver les autres responsables du manque d'intérêt autour de ce segment.
« Ce n'est pas HTML5 contre Flash [la technologie]. Ils s'enrichissent l'un l'autre. » Certes, mais avec une petite pique quand même : « la question la plus importante est celle de la liberté de choix sur le Web ».
Il est évident que le logiciel Flash a fait une partie du succès de cette technologie en favorisant la création de contenu, et Adobe semble vouloir ne pas manquer l'occasion de faire la même chose pour le HTML5 : « nous allons faire de bons outils pour le HTML5. Nous allons faire les meilleurs outils du monde pour le HTML5 ». Reste à savoir si c'est Dreamweaver qui sera perfectionné, ou si Adobe a quelque chose d'autre en tête.
En attendant, c'est ARM qui s'est positionné dans la guerre de communication à l'encontre de Flash. Dans sa lettre, Steve Jobs rappelait que Flash aurait dû arriver sur smartphones début 2009, et y débarque à peine. Pour Ian Drew, vice-président marketing d'ARM, ce retard serait en partie responsable du peu d'enthousiasme pour les smartbooks, appareils entre smartphones et netbooks — on vous laisse trouver les autres responsables du manque d'intérêt autour de ce segment.