Law.com offre une perspective intéressante sur les affaires de propriété intellectuelle dans lesquelles Apple est engagée en ce moment. Si Apple y utilise son portefeuille de brevets comme d'une arme, elle s'entoure aussi de la crème de la crème des avocats américains.
C'est ainsi Matthew Powers, le patron du département litiges de Weil, Gotshal & Manges, qui est en charge du dossier Kodak (lire : Brevets : Apple contre-attaque Kodak), tandis que William Lee, un des plus hauts cadres de Wilmer Cutler Pickering Hale and Dorr, s'occupe de défendre Apple dans l'affaire qui l'oppose à Nokia (lire : L'intégralité de l'affaire Nokia-Apple). Enfin, l'offensive de la firme de Cupertino contre HTC est portée par Robert Krupka, le spécialiste de la propriété intellectuelle chez Kirkland & Ellis (lire : Apple/HTC : message personnel).
Ces cabinets sont considérés comme les meilleurs dans le domaine de la défense de la propriété intellectuelle, et Matthew Powers comme William Lee et leurs équipes sont considérés comme l'élite dans le domaine aux Etats-Unis — une élite qui facture 1.000 $ de l'heure. Lors de l'annonce de ses résultats, Apple a indiqué avoir intégré dans ses prévisions de résultats futurs ses nouvelles dépenses juridiques (lire : Résultats Apple : un trimestre qui dépasse toutes les attentes).
L'enjeu est majeur et explique cette armée d'avocats : portefeuille de brevets contre portefeuille de brevets, Apple compte bien défendre sa propriété intellectuelle, visiblement échaudée par son passé. Le rôle de ses avocats est de dénicher les brevets enfreints par les concurrents pour contre-attaquer, et forcer les protagonistes à s'assoir autour d'une table et discuter plutôt que d'entamer un long et coûteux procès. L'affaire HTC est un cas particulier : c'est cette fois Apple qui attaque, et elle s'en est pris au fabricants de téléphones Android qui a le moins de brevets en stock.
C'est ainsi Matthew Powers, le patron du département litiges de Weil, Gotshal & Manges, qui est en charge du dossier Kodak (lire : Brevets : Apple contre-attaque Kodak), tandis que William Lee, un des plus hauts cadres de Wilmer Cutler Pickering Hale and Dorr, s'occupe de défendre Apple dans l'affaire qui l'oppose à Nokia (lire : L'intégralité de l'affaire Nokia-Apple). Enfin, l'offensive de la firme de Cupertino contre HTC est portée par Robert Krupka, le spécialiste de la propriété intellectuelle chez Kirkland & Ellis (lire : Apple/HTC : message personnel).
Ces cabinets sont considérés comme les meilleurs dans le domaine de la défense de la propriété intellectuelle, et Matthew Powers comme William Lee et leurs équipes sont considérés comme l'élite dans le domaine aux Etats-Unis — une élite qui facture 1.000 $ de l'heure. Lors de l'annonce de ses résultats, Apple a indiqué avoir intégré dans ses prévisions de résultats futurs ses nouvelles dépenses juridiques (lire : Résultats Apple : un trimestre qui dépasse toutes les attentes).
L'enjeu est majeur et explique cette armée d'avocats : portefeuille de brevets contre portefeuille de brevets, Apple compte bien défendre sa propriété intellectuelle, visiblement échaudée par son passé. Le rôle de ses avocats est de dénicher les brevets enfreints par les concurrents pour contre-attaquer, et forcer les protagonistes à s'assoir autour d'une table et discuter plutôt que d'entamer un long et coûteux procès. L'affaire HTC est un cas particulier : c'est cette fois Apple qui attaque, et elle s'en est pris au fabricants de téléphones Android qui a le moins de brevets en stock.