Google va lancer dans les prochains mois un nouveau système pour imprimer des documents au travers d'Internet. Google Cloud Print se destine d'abord à Chrome OS, le système d'exploitation actuellement en développement, mais il est prévu pour être compatible avec des applications web, natives ainsi qu'avec des systèmes d'exploitation mobiles comme Android ou de bureau comme Mac OS X, Windows et Linux.
Chrome OS, le système pour petits portables sera livré sans aucun pilote d'imprimante. Impossible donc, en l'état, d'imprimer un document sur son périphérique USB (ou Wi-Fi). Google n'entend pas se casser la tête à concevoir une palanquée de pilotes, il préfère mettre à profit ce qu'il maîtrise le mieux : le web.
Une application dans Chrome OS enverra vers le service en ligne Cloud Print une version PDF du document à imprimer, et celui-ci redescendra du Web vers votre imprimante (on appellera ça faire un grand détour…). Les imprimantes en question devront donc être connectées à Internet. Il est évidemment prévu que l'on ne puisse imprimer que sur des matériels que l'on aura enregistrés soi-même.
Là, deux solutions : soit c'est une fonction native du périphérique (Google a approché les fabricants afin de leur soumettre l'idée pour leurs prochaines générations de matériels) soit il suffira d'installer un logiciel sur son ordinateur pour déclarer son imprimante auprès de Cloud Print via un compte Google classique. L'ordinateur - mais ce peut être aussi un routeur - servant d'interface entre le périphérique et Cloud Print.
Et dans sa grande miséricorde, Google explique vouloir simplifier la vie de l'utilisateur en lui épargnant l'installation d'un énième pilote. Son gestionnaire d'impression sera intégré - mais par défaut désactivé - avec son navigateur Chrome. Derrière la politesse, on voit aussi une nouvelle manière de pousser à l'installation du navigateur…
Potentiellement n'importe quelles applications, de Gmail via un navigateur Web à Word, sont susceptibles de tirer avantage de ce service. Son API sera distribuée en open source, d'abord pour Windows et ensuite pour Mac OS X et Linux.
Quant aux questions de confidentialité, deux situations vont se présenter. Si le contenu à imprimer est déjà en ligne (par exemple un document Google Doc ou un courrier sur Gmail), il sera simplement transmis vers Cloud Print. Si le document réside sur votre ordinateur, il restera en ligne le temps d'achever son impression et sera ensuite supprimé. Toutefois, des options d'archivage seront proposées.
Aucune date de disponibilité du service n'est donnée mais Chrome OS est attendu pour la fin de l'année. A noter au passage que cette question de l'impression se pose aussi pour l'iPad qui, en l'état, n'offre aucun moyen de se connecter à une imprimante, même Wi-Fi.
Chrome OS, le système pour petits portables sera livré sans aucun pilote d'imprimante. Impossible donc, en l'état, d'imprimer un document sur son périphérique USB (ou Wi-Fi). Google n'entend pas se casser la tête à concevoir une palanquée de pilotes, il préfère mettre à profit ce qu'il maîtrise le mieux : le web.
Une application dans Chrome OS enverra vers le service en ligne Cloud Print une version PDF du document à imprimer, et celui-ci redescendra du Web vers votre imprimante (on appellera ça faire un grand détour…). Les imprimantes en question devront donc être connectées à Internet. Il est évidemment prévu que l'on ne puisse imprimer que sur des matériels que l'on aura enregistrés soi-même.
Là, deux solutions : soit c'est une fonction native du périphérique (Google a approché les fabricants afin de leur soumettre l'idée pour leurs prochaines générations de matériels) soit il suffira d'installer un logiciel sur son ordinateur pour déclarer son imprimante auprès de Cloud Print via un compte Google classique. L'ordinateur - mais ce peut être aussi un routeur - servant d'interface entre le périphérique et Cloud Print.
Et dans sa grande miséricorde, Google explique vouloir simplifier la vie de l'utilisateur en lui épargnant l'installation d'un énième pilote. Son gestionnaire d'impression sera intégré - mais par défaut désactivé - avec son navigateur Chrome. Derrière la politesse, on voit aussi une nouvelle manière de pousser à l'installation du navigateur…
Potentiellement n'importe quelles applications, de Gmail via un navigateur Web à Word, sont susceptibles de tirer avantage de ce service. Son API sera distribuée en open source, d'abord pour Windows et ensuite pour Mac OS X et Linux.
Quant aux questions de confidentialité, deux situations vont se présenter. Si le contenu à imprimer est déjà en ligne (par exemple un document Google Doc ou un courrier sur Gmail), il sera simplement transmis vers Cloud Print. Si le document réside sur votre ordinateur, il restera en ligne le temps d'achever son impression et sera ensuite supprimé. Toutefois, des options d'archivage seront proposées.
Aucune date de disponibilité du service n'est donnée mais Chrome OS est attendu pour la fin de l'année. A noter au passage que cette question de l'impression se pose aussi pour l'iPad qui, en l'état, n'offre aucun moyen de se connecter à une imprimante, même Wi-Fi.